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La pierre de sang
Christiane Poussier (traduit par), Nelly Markovic (traduit par)
Date de parution : 20/06/2013
Éditeurs :
12-21

La pierre de sang

Christiane Poussier (traduit par), Nelly Markovic (traduit par)
Date de parution : 20/06/2013

Décembre, 1380. Lorsque le cadavre de Sir Robert Kilverby est découvert dans une pièce fermée à clé, Frère Athelstan est appelé pour aider le coroner du roi dans son enquête....

Décembre, 1380. Lorsque le cadavre de Sir Robert Kilverby est découvert dans une pièce fermée à clé, Frère Athelstan est appelé pour aider le coroner du roi dans son enquête. Car Sir Robert avait en sa possession une relique inestimable, une pierre de sang sacrée, qui a maintenant disparu. Sir...

Décembre, 1380. Lorsque le cadavre de Sir Robert Kilverby est découvert dans une pièce fermée à clé, Frère Athelstan est appelé pour aider le coroner du roi dans son enquête. Car Sir Robert avait en sa possession une relique inestimable, une pierre de sang sacrée, qui a maintenant disparu. Sir Robert est-il mort d’une cause naturelle ou a-t-il été assassiné ? Athelstan se montre sceptique vis-à-vis des rumeurs de malédiction qui plane sur Sir Robert, mais quand il découvre qu'un deuxième soldat a été horriblement assassiné dans la même nuit, les rumeurs ne semblent plus si farfelues…

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EAN : 9782823806274
Code sériel : 4686
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823806274
Code sériel : 4686
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • zakfm 17/08/2022
    Le Londres du XIV° siècle nous saute au visage grâce aux descriptions réalistes de Paul Doherty. C'est d'ailleurs un objectif qu'il se donne à chacun de ses romans. L'inconvénient en est quelques longueurs qui essaient de masquer que nous tournons un peu en rond comme le font nos enquêteurs pour trouver les coupables de crimes bien mystérieux. Encore une chambre close ! Heureusement le dénouement nous laisse sur une relativement bonne impression.
  • hellrick 31/05/2018
    Paul Doherty (parfois dissimulé sous divers pseudonymes comme C.L. Grace, Paul Harding, Michael Clynes, Ann Dukthas, Anna Apostolou et Vanessa Alexander) est un incontournable forçat du « thriller historique », ficelant avec une facilité déconcertante de tortueuses énigmes (pratiquement toujours assorties de meurtres en chambre close et autre crime impossible) que vont résoudre ses limiers tels Hugh Corbett ou Frère Athelstan. C’est ce dernier qui officie dans LA PIERRE DE SANG, onzième enquête qui nécessite la sagacité du débonnaire homme d’Eglise. AU XIVème siècle, la compagnie des Guivres revient de la campagne de Poitiers avec une pierre sacrée, le Passio Christi formé, selon la légende, par le sang du Christ. Cette pierre de sang atterrit dans les mains de Sir Robert Kilverby. Bien des années plus tard, en 1380, alors que Kilberby doit rendre le joyau à l’abbaye de St Fulcher, il meurt mystérieusement empoisonné dans sa chambre close. Son assassin réussit également à s’emparer du Passio Christi sans que nul ne puisse expliquer ce miracle. La même nuit un soldat membre de la compagnie des Guivres est décapité. Frère Athelstan, accompagné du coroner londonien John Cranston, va mener l’enquête. Apparus pour la première fois dans LA GALLERIE DU ROSSIGNOL, les deux limiers moyenâgeux revinrent ensuite à intervalles réguliers puisque Doherty leur écrivit huit aventures supplémentaires en autant d’années. Après LA TAVERNE DES OUBLIES, publié en 2003, l’ecclésiastique avait lui aussi été oublié du romancier, occupé à d’autres époques (une trilogie consacrée à Alexandre le Grand, une autre – inédite en français – dédiée à Akhénaton). Heureusement, en 2011, Cranston et Athelstan revinrent pour une enquête particulièrement complexe…les explications des différents crimes (dont un meurtre en chambre close et un incendie « impossible » dans une pièce fermée) occupent d’ailleurs le dernier chapitre, long d’une vingtaine de pages, et intitulé logiquement « le jugement ». Comme souvent, Doherty prend son temps pour présenter la vie et les mœurs de l’époque : c’est très détaillé et précis bien que parfois un brin didactique. Il y a donc quelques longueurs et quelques lourdeurs. Rien de vraiment rédhibitoire, d’ailleurs on peut dire cela de tous les romans de Doherty : certains de ses collègues choisissent de reléguer ces détails à la fin du récit, dans des annexes explicatives, lui préfère les intégrer directement dans l’intrigue. C’est son choix et il n’est pas plus mauvais que l’autre, au lecteur de trancher selon sa sensibilité ou son envie d’aller directement à l’énigme proprement dite quitte à survoler certains passages plus descriptifs. Néanmoins, les crimes se multiplient rapidement (une demi-douzaine !) permettant au roman d’avancer à un rythme soutenu en suivant les pas d’un Athelstan quelque peu dépassé par tous ces mystères : un commerçant empoisonné dans une pièce fermée, une pierre dérobée sans que l’on puisse comprendre la méthode employée, un incendie tout aussi incompréhensible, une décapitation, etc. Les explications des mystères se montrent assez simples et crédibles (nous sommes loin des procédés parfois invraisemblables – mais tellement divertissants – d’un John Dickson Carr ou d’un Paul Halter) mais la résolution des crimes demande un bon niveau d’attention pour ne pas se perdre dans la multitude de protagonistes. Au final un bon polar historique, sans doute pas le meilleur du genre ni de son auteur mais une lecture agréable, instructive et plaisante à conseiller aux amateurs de récits médiévaux et de whodunit complexe. Paul Doherty (parfois dissimulé sous divers pseudonymes comme C.L. Grace, Paul Harding, Michael Clynes, Ann Dukthas, Anna Apostolou et Vanessa Alexander) est un incontournable forçat du « thriller historique », ficelant avec une facilité déconcertante de tortueuses énigmes (pratiquement toujours assorties de meurtres en chambre close et autre crime impossible) que vont résoudre ses limiers tels Hugh Corbett ou Frère Athelstan. C’est ce dernier qui officie dans LA PIERRE DE SANG, onzième enquête qui nécessite la sagacité du débonnaire homme d’Eglise. AU XIVème siècle, la compagnie des Guivres revient de la campagne de Poitiers avec une pierre sacrée, le Passio Christi formé, selon la légende, par le sang du Christ. Cette pierre de sang atterrit dans les mains de Sir Robert Kilverby. Bien des années plus tard, en 1380, alors que Kilberby doit rendre le joyau à l’abbaye de St Fulcher, il meurt mystérieusement empoisonné dans sa chambre close. Son assassin réussit également à s’emparer du Passio Christi sans que nul ne puisse expliquer ce miracle. La même nuit un soldat membre de la compagnie des Guivres est décapité. Frère Athelstan, accompagné du coroner londonien John Cranston, va mener l’enquête. Apparus pour la première fois dans LA GALLERIE DU ROSSIGNOL,...
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  • jaiuneheurealire 26/03/2016
    Je termine "La pierre de sang". C'est le premier livre de Paul Doherty que je découvre et c'est une perle. J'ai craint un moment me confronter à une pâle copie du "Nom de la rose". Comme Guillaume de Baskerville, frère Athelstan use de la logique pour démêler une affaire compliquée. Mais on reste très éloigné du livre de Umberto Eco. L'univers de Doherty est ancré dans le Londres médiéval où les caractères de ses personnages ne sont pas aussi fixés dans leurs convictions que ceux du "Nom de la Rose". D'ailleurs, est-ce juste de comparer les deux? Donc, une lecture captivante et appréciée qui invite à lire les premiers épisodes.
  • macfeuillade 03/08/2013
    Quel plaisir de retrouver frère Athelstan entouré de ses ouailles et du fameux Cranston pour une nouvelle enquête à travers Londres peuplée d'assassins !
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