Bernard Michal a été notamment journaliste politique, grand reporter, chef du service politique et rédacteur en chef adjoint à Paris Presse, L'Aurore, Le Parisien libéré, Historama, Investir et auteur producteur d'émissions historiques à TF1.
Trente-six ans après la fin du Premier Empire, celui que Victor Hugo appelait Napoléon le Petit et qu'Adolphe Thiers traitait de « crétin », aura réalisé son rêve : succéder à son oncle. Comment le complot -a-t-il réussi ?
Le 2 décembre 1851, quand les Parisiens s’éveillent, ils apprennent par voie d’affiche que l’Assemblée et le Conseil d’Etat sont dissous, que le suffrage universel est rétabli et que l’état...
Le 2 décembre 1851, quand les Parisiens s’éveillent, ils apprennent par voie d’affiche que l’Assemblée et le Conseil d’Etat sont dissous, que le suffrage universel est rétabli et que l’état de siège est proclamé. Louis-Napoléon Bonaparte, « neveu » de l’Empereur, vient, cinquante-deux ans après son « oncle », de...
Le 2 décembre 1851, quand les Parisiens s’éveillent, ils apprennent par voie d’affiche que l’Assemblée et le Conseil d’Etat sont dissous, que le suffrage universel est rétabli et que l’état de siège est proclamé. Louis-Napoléon Bonaparte, « neveu » de l’Empereur, vient, cinquante-deux ans après son « oncle », de réussir son coup d’Etat, préparé de longue date. De sanglants massacres suivront pourtant et Morny, son demi-frère, la cheville ouvrière du complot, se contentera de dire : « Emeute vaincue et terrifiée ! » Moins d’un an plus tard, Louis-Napoléon accède au trône sous le nom de Napoléon III.
Bernard Michal a été notamment journaliste politique, grand reporter, chef du service politique et rédacteur en chef adjoint à Paris Presse, L'Aurore, Le Parisien libéré, Historama, Investir et auteur producteur d'émissions historiques à TF1.