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La quête d'Erekosë - tome 2
Les Guerriers d'argent
Arnaud Mousnier-Lompre (traduit par)
Date de parution : 07/08/2014
Éditeurs :
12-21
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La quête d'Erekosë - tome 2

Les Guerriers d'argent

Arnaud Mousnier-Lompre (traduit par)
Date de parution : 07/08/2014
« Il était l'immortel, le vagabond des univers, voué à combattre indéfiniment la tyrannie. Une fois de plus les voix l'appelèrent et il tomba dans les couloirs de l'éternité...
Une autre...
« Il était l'immortel, le vagabond des univers, voué à combattre indéfiniment la tyrannie. Une fois de plus les voix l'appelèrent et il tomba dans les couloirs de l'éternité...
Une autre incarnation. La Terre du Grand Crépuscule. Les bas nuages bruns, le ciel obscur, l'océan triste. Il était Comte des Déserts...
« Il était l'immortel, le vagabond des univers, voué à combattre indéfiniment la tyrannie. Une fois de plus les voix l'appelèrent et il tomba dans les couloirs de l'éternité...
Une autre incarnation. La Terre du Grand Crépuscule. Les bas nuages bruns, le ciel obscur, l'océan triste. Il était Comte des Déserts blancs, Seigneur de la Forteresse Gelée, Maître de l'Épée Froide...
- L'Épée Froide ? Pas l'Épée Noire ?
- L'Épée Froide. C'était la fin des temps, voilà tout. La race humaine était condamnée. Pensez aux peaux blafardes, aux appétits malsains, aux horreurs dérisoires. Pensez à l'Évêque Belphig, le dégoûtant Seigneur Spirituel de la cité obsidienne. Alors, l'invasion des guerriers d'argent, habitants incandescents de Lune, irait nourrir le Soleil. La Dame au Calice l'avait dit. Alors, Erekosë allait reprendre l'épée. C'était la seule chose à faire. Il ferait mal et aurait mal. Et son cœur torturé ne connaîtrait pas le repos. »
 
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EAN : 9782823819168
Code sériel : 5935
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
12-21
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EAN : 9782823819168
Code sériel : 5935
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • aureliestrega 14/05/2023
    J'ai un peu moins apprécié Erekose qu'Elric ou Hawkmoon mais c'est un personnage plus trouble. Contrairement aux deux autres il n'a pas de personnalité affirmée au début mais sa mémoire contient toutes ses incarnations passées et en même temps il a l'impression d'avoir peu de latitude pur décider. Les Xénans sont décrits de manière merveilleuse. La dualité du personnage et son envie de faire au mieux était intéressante. J'ai hâte de voir comment il évolue dans les tomes suivants.
  • lokipg 04/12/2017
    Moorcock fait partie des incontournables de la fantasy, avec Tolkien, Howard, Vance, Leiber... mais autant j'ai lu et apprécié ces derniers, autant je suis passé à côté du père d'Elric le Nécromancien. Il y a une vingtaine d'année, j'étais parti à la découverte de l'auteur avec la quête d'Erekosë. J'avais choisi ce cycle parce que c'était le plus court (sans doute l'une des pires raisons de choisir une lecture, soit dit en passant) et j'en avais gardé un mauvais souvenir. Refroidi par cette expérience, je n'ai pas souhaité lire le reste de sa production. Vingt ans après, j'ai décidé de lui redonner une chance. Dans ce premier tome, Erekosë, mort depuis des millénaires, est rappelé à la vie par la prière de Rigenos, roi de Nécranal, et sommé de tenir son serment de protéger l'humanité contre les Xénans. Pour le roi, la protection de son peuple passe par une éradication totale de ses ennemis, femmes et enfants inclus. Erekosë est l'une des nombreuses déclinaisons du Champion Éternel, thème que Moorcock a développé dans plusieurs cycles et dont Elric est le plus célèbre représentant. Ce héros a ceci de particulier qu'il garde quelques bribes de souvenirs de ses précédentes incarnations. Peut-être que cet aspect sera plus déterminant par la suite mais force est de constater que, dans ce premier tome, ces souvenirs n'ont aucune influence sur le court du récit. Ils m'ont par contre donné envie de découvrir les autres cycles de l'auteur. Certaines images sont à ce titre particulièrement évocatrices et prometteuses d'aventures épiques. De ce roman en lui-même, je retiendrais un style direct et efficace, mais frustrant à bien des égards. Moorcock développe une intrigue simple – mais pas simpliste – en allant droit au but, sans s'embarrasser de fioritures inutiles. de longues années de batailles sont expédiées en quelques lignes et les lieux traversés sont traités à grands traits, ce qui donne par moment l'impression de voyager dans un décor de cinéma. de jolis décors, mais qui sonnent creux. L'accent est porté sur les personnages. Erekosë est un héros tiraillé par des émotions contraires. Rappelé à la vie dans un monde dont il ne se souvient plus de rien, il est obligé de servir une cause dont il n'est pas sûr qu'elle soit juste. Aspirant à la paix, il est forcé de faire la guerre. Ses alliés humains l'envient et se méfient de lui et certains, comme le roi Rigenos et le comte Roldero ont un peu plus de profondeur qu'ils n'en donnent l'impression de prime abord. Quant aux Xénans, dont Moorcock prend bien soin d'entretenir le mystère sur à leur nature, je n'ai pas été déçu quand, finalement, on en apprend plus sur eux et je n'en dirais pas plus. En définitive, je suis content d'avoir relu ce roman. Bien que je lui trouve tout un tas de défauts, j'en ressors avec une impression positive. Moorcock a un style accrocheur et imagé. Il donne envie d'en savoir plus et je vais entamer le tome deux sans attendre.Moorcock fait partie des incontournables de la fantasy, avec Tolkien, Howard, Vance, Leiber... mais autant j'ai lu et apprécié ces derniers, autant je suis passé à côté du père d'Elric le Nécromancien. Il y a une vingtaine d'année, j'étais parti à la découverte de l'auteur avec la quête d'Erekosë. J'avais choisi ce cycle parce que c'était le plus court (sans doute l'une des pires raisons de choisir une lecture, soit dit en passant) et j'en avais gardé un mauvais souvenir. Refroidi par cette expérience, je n'ai pas souhaité lire le reste de sa production. Vingt ans après, j'ai décidé de lui redonner une chance. Dans ce premier tome, Erekosë, mort depuis des millénaires, est rappelé à la vie par la prière de Rigenos, roi de Nécranal, et sommé de tenir son serment de protéger l'humanité contre les Xénans. Pour le roi, la protection de son peuple passe par une éradication totale de ses ennemis, femmes et enfants inclus. Erekosë est l'une des nombreuses déclinaisons du Champion Éternel, thème que Moorcock a développé dans plusieurs cycles et dont Elric est le plus célèbre représentant. Ce héros a ceci de particulier qu'il garde quelques bribes de souvenirs de ses précédentes incarnations. Peut-être que cet...
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  • BazaR 15/10/2017
    A tort ou à raison, quand je choisis de lire un Moorcock c’est avant tout en espérant me détendre grâce à une histoire fantasy pleine d’action, de bruit et de fureur avec un léger petit fond à message, comme le fond de fruit sous certains yaourts. Je ne m’attends pas à réfléchir beaucoup sur ce que je lis. Eh bien là mon espoir est tombé sur un os nécessitant réflexion. Erekosë est rappelé sur Terre (enfin, une Terre), guerrier légendaire ressuscité afin de sauver une humanité aux abois menacée d’extinction par les horribles Xenans. Mais le guerrier ne se souvient guère de sa première vie. Il a au contraire la certitude d’être un banal individu lambda de notre Terre, John Daker, déplacé et réincarné dans un monde qu’il ne connait pas. S’aidant d’une narration à la première personne maitrisée, Michael Moorcock parvient à synchroniser l’évolution des convictions du lecteur à celle d’Erekosë (en tout cas ça a fonctionné comme ça pour moi). Au début, le guerrier m’a fait l’impression d’une coquille vide, sans personnalité propre et atteint d’une espèce de schizophrénie multiple s’éveillant dans ses rêves. Mais petit à petit Erekosë trouve ses marques. Il commence à faire ce pour quoi il est venu. Mais il ne peut s’empêcher de penser qu’il y a quelque chose de pourri au royaume de l’Humanité, au moment même où le lecteur se pose la question. Moorcock ne nous aurait donc pas concocté un monde manichéen ? La personnalité qui se cristallise chez Erekosë est celle d’un chevalier courtois, adepte des lois de l’honneur et du respect de l’adversaire. Il est guerrier, mais pas barbare. Pourquoi, lorsqu’il se rend compte tous les humains ne partagent pas ce code, fait-il ce serment profondément stupide menant au carnage absolu ? J’ai retourné la question un moment. J’ai pensé à un Deux ex machina – Moorcock déviant le flot naturel de l’action, la forçant à aller là où le souhaitait même si cela ruinait la cohérence du récit. Peut-être mais peut-être pas. Peut-être simplement sa nature profonde de Champion de l’Humanité l’oblige-t-elle à agir ainsi. Il n’a jamais été question qu’Erekosë fasse germer une personnalité propre ; il est là seulement en tant que réceptacle de la mort de l’ennemi des hommes. Et dès qu’il étouffe sa personnalité pour agir en automate du destin, ses rêves fous disparaissent. Mais ce n’est pas ça non plus. Personnalité propre et incarnation du Destin continuent à lutter en lui. Il se raisonne, change. Mais à nouveau il ne peut faire autrement que porter le carnage. De fait, les maîtres de la Loi ou du Chaos qui l’ont envoyé ici se fichent bien de l’humanité. Seul compte le massacre. Et leur gentil pion ne doit pas se poser de question s’il veut être « en paix » avec lui-même. De coquille vide, Erekosë finit en personnage complexe, tragique et déchiré. Peut-être ai-je trop intellectualisé cette aventure. Car il y a de l’action, beaucoup. Et on peut aussi lire ce récit au premier degré. Mais ces réflexions se sont imposées à moi. Je ne m’y attendais pas et j’en suis ravi. A tort ou à raison, quand je choisis de lire un Moorcock c’est avant tout en espérant me détendre grâce à une histoire fantasy pleine d’action, de bruit et de fureur avec un léger petit fond à message, comme le fond de fruit sous certains yaourts. Je ne m’attends pas à réfléchir beaucoup sur ce que je lis. Eh bien là mon espoir est tombé sur un os nécessitant réflexion. Erekosë est rappelé sur Terre (enfin, une Terre), guerrier légendaire ressuscité afin de sauver une humanité aux abois menacée d’extinction par les horribles Xenans. Mais le guerrier ne se souvient guère de sa première vie. Il a au contraire la certitude d’être un banal individu lambda de notre Terre, John Daker, déplacé et réincarné dans un monde qu’il ne connait pas. S’aidant d’une narration à la première personne maitrisée, Michael Moorcock parvient à synchroniser l’évolution des convictions du lecteur à celle d’Erekosë (en tout cas ça a fonctionné comme ça pour moi). Au début, le guerrier m’a fait l’impression d’une coquille vide, sans personnalité propre et atteint d’une espèce de schizophrénie multiple s’éveillant dans ses rêves. Mais petit à petit Erekosë trouve ses marques. Il commence à faire ce pour quoi il est...
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  • Tatooa 12/10/2017
    Je kiffe Moorcock quand il est aussi bon ! *pluie de petits coeurs sur lui* Arfeu ! Il est vrai que je ne me souviens plus tellement de la saga d'Elric, je l'ai lu il y a trop longtemps, elle mériterait sans doute que je la ressorte de mes étagères. Ici, c'est une autre incarnation du héros éternel, différente mais tout aussi intéressante, profonde de par le fait qu'il se "souvient" de ses autres vies, par ses interrogations, par ses dilemmes et ses émotions si mitigées, si humaines. C'est bien écrit, rapide, contrairement aux sagas actuelles qui ont une fâcheuse propension à traîner en longueur. Ce tome 1 peut en plus se suffire à lui-même (si on n'a pas envie de lire la suite, mais COMMENT pourrait-on ne pas en avoir envie, m'enfin ?!!!). L'action est omniprésente, le bouquin est donc bien fun, mais les questionnements philosophiques et moraux sont nombreux, des choix difficiles se posent, et plus on avance, plus on le comprend, ce pauvre Erekosë. Et le point le plus important : j'ai positivement ADORE la fin de ce tome 1. Si si je vous jure. ça fait longtemps que je me dis que ce serait une solution... C'est mon côté marseillais parait-il. Et non j'ai rien dit, pas spoilé ! Mdr ! Je kiffe Moorcock quand il est aussi bon ! *pluie de petits coeurs sur lui* Arfeu ! Il est vrai que je ne me souviens plus tellement de la saga d'Elric, je l'ai lu il y a trop longtemps, elle mériterait sans doute que je la ressorte de mes étagères. Ici, c'est une autre incarnation du héros éternel, différente mais tout aussi intéressante, profonde de par le fait qu'il se "souvient" de ses autres vies, par ses interrogations, par ses dilemmes et ses émotions si mitigées, si humaines. C'est bien écrit, rapide, contrairement aux sagas actuelles qui ont une fâcheuse propension à traîner en longueur. Ce tome 1 peut en plus se suffire à lui-même (si on n'a pas envie de lire la suite, mais COMMENT pourrait-on ne pas en avoir envie, m'enfin ?!!!). L'action est omniprésente, le bouquin est donc bien fun, mais les questionnements philosophiques et moraux sont nombreux, des choix difficiles se posent, et plus on avance, plus on le comprend, ce pauvre Erekosë. Et le point le plus important : j'ai positivement ADORE la fin de ce tome 1. Si si je vous jure. ça fait longtemps que je me dis que ce serait une...
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  • Foxfire 10/10/2017
    Je ne voulais pas me lancer dans un autre cycle de Moorcock avant d'avoir fini celui d'Elric. Finalement, le destin (et une lecture commune) en ont décidé autrement et me voilà lancée dans le cycle d'Erekose. Erekose étant une autre incarnation du champion éternel, il est impossible de ne pas faire de comparaison avec Elric. Je pense que globalement, je préfère le personnage d'Elric à celui d'Erekose. Elric me semble plus profond, plus complexe qu'Erekose, plus réfléchi aussi et son côté mélancolique me séduit pas mal. Mais Erekose est tout de même un personnage passionnant. Sa caractéristique la plus intéressante est qu'il a conscience de ses autres personnalités, ce qui lui donne un côté schizophrène assez fascinant. Un peu comme Elric, il répugne à se battre malgré son statut de guerrier ultime et éternel (et ce même s'il semble prendre plaisir pendant le combat lui-même). Le voir confronté à des questionnements sur la légitimité d'une extermination ou sur la valeur de la parole donnée donne au roman une dimension profonde et une richesse qui vont au delà du simple divertissement. Ceci dit, l'aspect divertissement est bien là. Et c'est tant mieux. Je crois que c'est le Moorcock que j'ai lu le plus vite. L'écriture est simple et vive. On y trouve moins le côté poétique et lyrique qui faisait d'Elric une lecture à la musicalité très particulière. Les scènes de batailles sont nombreuses et épiques à souhait. Le roman est vraiment très prenant. Comme j'ai beaucoup aimé ce "champion éternel", me voici donc avec un nouveau cycle sur le dos... pour mon plus grand plaisir. Challenge ABC 2017-2018 - 6/26Je ne voulais pas me lancer dans un autre cycle de Moorcock avant d'avoir fini celui d'Elric. Finalement, le destin (et une lecture commune) en ont décidé autrement et me voilà lancée dans le cycle d'Erekose. Erekose étant une autre incarnation du champion éternel, il est impossible de ne pas faire de comparaison avec Elric. Je pense que globalement, je préfère le personnage d'Elric à celui d'Erekose. Elric me semble plus profond, plus complexe qu'Erekose, plus réfléchi aussi et son côté mélancolique me séduit pas mal. Mais Erekose est tout de même un personnage passionnant. Sa caractéristique la plus intéressante est qu'il a conscience de ses autres personnalités, ce qui lui donne un côté schizophrène assez fascinant. Un peu comme Elric, il répugne à se battre malgré son statut de guerrier ultime et éternel (et ce même s'il semble prendre plaisir pendant le combat lui-même). Le voir confronté à des questionnements sur la légitimité d'une extermination ou sur la valeur de la parole donnée donne au roman une dimension profonde et une richesse qui vont au delà du simple divertissement. Ceci dit, l'aspect divertissement est bien là. Et c'est tant mieux. Je crois que c'est le Moorcock que j'ai lu le plus...
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