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La rate au court-bouillon
Date de parution : 10/03/2011
Éditeurs :
12-21

La rate au court-bouillon

Date de parution : 10/03/2011

Je ne pouvais pas imaginer qu'un jour je verrais un spectacle pareil !
Bérurier évoluant parmi l'élite mondiale, cohabitant avec tout ce que la Terre a pu produire comme rois, reines,...

Je ne pouvais pas imaginer qu'un jour je verrais un spectacle pareil !
Bérurier évoluant parmi l'élite mondiale, cohabitant avec tout ce que la Terre a pu produire comme rois, reines, présidents, milliardaires, sommités artistiques...
Je vous jure qu'il faut avoir vu ça au moins une fois dans son existence !
Et...

Je ne pouvais pas imaginer qu'un jour je verrais un spectacle pareil !
Bérurier évoluant parmi l'élite mondiale, cohabitant avec tout ce que la Terre a pu produire comme rois, reines, présidents, milliardaires, sommités artistiques...
Je vous jure qu'il faut avoir vu ça au moins une fois dans son existence !
Et si tout ce gratin (dont nous étions) n'avait pas été à deux doigts de l'anéantissement atomique, j'aurais ri, mais ri à m'en mettre la rate au court-bouillon ! 

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EAN : 9782265089877
Code sériel : 58
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265089877
Code sériel : 58
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JML38 13/02/2023
    C'est toujours un plaisir de relire un San-Antonio des années soixante, la meilleure période selon moi. Cet opus aurait pu s'intituler « Moi, vous me connaissez ? » – le lire pour comprendre –, titre que Frédéric Dard utilisera finalement quelques années plus tard. Le commissaire profite de son mois de congés pour pratiquer son sport favori en compagnie de Gloria Victis, fifille d'un richissime papa. La demoiselle, mais surtout le flouze du paternel, attirant les convoitises, il doit s'employer pour faire avorter une tentative de kidnappinge. Il se trouve alors promu garde du corps de la belle qui doit représenter son père lors d'un séjour organisé par Okapis, un armateur ayant transformé l'île de Konkipok, récit corallien des Galapagos, en paradis terrestre pour nantis et têtes couronnées. C'est d'ailleurs rapidement à un défilé d'hôtes de marque qu'assiste Sana. Avec pour n'en citer que quelques-uns, le Prince Salim Tanksapeuh, le ministre Grand-Breton lord Loge-Parlente, l'ambassadeur japonais Yapa Lmétro Akyoto, le roi Foscao 1er, la reine-vioque Mélanie de Brabance, dont vous pourrez retrouver tous les détails curriculum-vitains dans un bottin mondain de 1965. Sana espère profiter peinardement d'un séjour qui s'annonce de manière bien sympathique à la vue des physiques et des regards pleins de promesses de la fille et de la seconde épouse de l'armateur. Mais une deuxième tentative d'enlèvement et d'autres évènements font craindre au contraire qu'un péril menace l'île de Konkipok, et qu'un huis clos insulaire à la sauce Agathesque – mais évidemment en moins feutré – n'est pas à exclure. Quid des collaborateurs du commissaire ? Rassurez-vous, Béru est bien de la partie. Un Alexandre-Benoît qui fait illusion un moment en usant d'un ton docte et d'un maintien irréprochable en costar blanc... jusqu'au premier repas et sa première biture. Je spoile légèrement, mais vraiment très peu je vous promets. Le duo de choc reconstitué pour le plaisir de ses fans, la suite est d'un bon niveau, même si je reconnais avoir trouvé que l'intrigue manquait un chouïa de consistance et qu'on était assez loin du rythme épique du génial « Viva Bertaga ». Il n'en reste pas moins quelques scènes qui m'ont fait éclater de rire. Notamment une explosive remise de décorations et un improbable duo où Béru chante sa chanson fétiche, « Les Matelassiers », avec une cantatrice italienne bien dépassée par la puissance vocale du Gros. C'est toujours un plaisir de relire un San-Antonio des années soixante, la meilleure période selon moi. Cet opus aurait pu s'intituler « Moi, vous me connaissez ? » – le lire pour comprendre –, titre que Frédéric Dard utilisera finalement quelques années plus tard. Le commissaire profite de son mois de congés pour pratiquer son sport favori en compagnie de Gloria Victis, fifille d'un richissime papa. La demoiselle, mais surtout le flouze du paternel, attirant les convoitises, il doit s'employer pour faire avorter une tentative de kidnappinge. Il se trouve alors promu garde du corps de la belle qui doit représenter son père lors d'un séjour organisé par Okapis, un armateur ayant transformé l'île de Konkipok, récit corallien des Galapagos, en paradis terrestre pour nantis et têtes couronnées. C'est d'ailleurs rapidement à un défilé d'hôtes de marque qu'assiste Sana. Avec pour n'en citer que quelques-uns, le Prince Salim Tanksapeuh, le ministre Grand-Breton lord Loge-Parlente, l'ambassadeur japonais Yapa Lmétro Akyoto, le roi Foscao 1er, la reine-vioque Mélanie de Brabance, dont vous pourrez retrouver tous les détails curriculum-vitains dans un bottin mondain de 1965. Sana espère profiter peinardement d'un séjour qui s'annonce de manière bien sympathique à la vue des physiques et...
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  • Tans78 02/01/2023
    En vacances, San-Antonio drague une riche héritière et la sauvé d’une tentative de kidnapping. Il est « engagé «  comme garde du corps et l’accompagne dans une réunion de souverains et de milliardaires sur une île isolée dans le pacifique. Suit une série d’événements loufoques et un San-Antonio sauveur de ces dames. Un San-Antonio de la grande époque (années 60) avec rebondissements, délires et jeux de mots pourris comme on les aime.
  • Wyoming 09/01/2019
    Dans ce numéro 58, paru en 1965, San-Antonio doit protéger une riche héritière victime de plusieurs tentatives d'enlèvement. Le scénario est plutôt faible, de bons moments de verbiage néanmoins, pour un San-Antonio en forme, toujours agréable à lire.
  • lecassin 25/04/2018
    Nous sommes dans la grande période San-Antonio ; enfin, celle que je préfère… Malgré tout, après l'excellent « Bérurier au sérail », on pouvait s'attendre à du moins bon pour ce « La rate au court bouillon », qui ne me rappelait rien … Et c'est le cas. Ce n'est pas mauvais. On retrouve pas mal d'ingrédients qui font le très bon : calembours, notes de bas de page, whisky et petites pépées, quelques digressions et énumérations comme seul sait le faire Frédéric Dard, mais bon… On a l'impression que ça n'avance pas. Pourtant l'intrigue se tient. Ça commence fort : le Palm Beach Hotel, une rencontre (et plus car affinités), la belle Gloria Victis. Elle est victime d'une tentative rapt, mais Zorro San-Antonio veille… Il faut dire que la belle n'est autre qu'une riche héritière qui n'en est pas à sa première tentative d'enlèvement. Mieux, elle est invitée sur l'île du Konkipok, dans l'archipel des Galapagos où se déroulera la pendaison de crémaillère organisée par le richissime armateur Okapis : il a acheté l'île du Konkipok et l'a littéralement transformée en paradis terrestre. Un grand rendez-vous de têtes couronnées… Gloria, apeurée, demande à son chevalier servant de l'accompagner. Et lui, vous le connaissez… Au final, une intrigue qui manque un peu de peps , des longueurs et un final bâclé (pour ne pas dire raté)… Jusqu'à la couverture Gourdon de cet avant-dernier "type B2" n'est pas à ranger dans les meilleures. M'étonne pas qu'il ne me reste rien de cet épisode… Nous sommes dans la grande période San-Antonio ; enfin, celle que je préfère… Malgré tout, après l'excellent « Bérurier au sérail », on pouvait s'attendre à du moins bon pour ce « La rate au court bouillon », qui ne me rappelait rien … Et c'est le cas. Ce n'est pas mauvais. On retrouve pas mal d'ingrédients qui font le très bon : calembours, notes de bas de page, whisky et petites pépées, quelques digressions et énumérations comme seul sait le faire Frédéric Dard, mais bon… On a l'impression que ça n'avance pas. Pourtant l'intrigue se tient. Ça commence fort : le Palm Beach Hotel, une rencontre (et plus car affinités), la belle Gloria Victis. Elle est victime d'une tentative rapt, mais Zorro San-Antonio veille… Il faut dire que la belle n'est autre qu'une riche héritière qui n'en est pas à sa première tentative d'enlèvement. Mieux, elle est invitée sur l'île du Konkipok, dans l'archipel des Galapagos où se déroulera la pendaison de crémaillère organisée par le richissime armateur Okapis : il a acheté l'île du Konkipok et l'a littéralement transformée en paradis terrestre. Un grand rendez-vous de têtes couronnées… Gloria, apeurée, demande à son chevalier servant de l'accompagner. Et lui, vous le connaissez… Au...
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  • domisylzen 15/10/2015
    Rencontré lors d'un cocktail, San-Antonio emmène Gloria faire un balade entre Cannes et Saint-Raphaël. Lors de cette virée, ils seront victimes d'une tentative d'enlèvement. La belle milliardaire est blasée c'est la quatrième fois en six mois, que cela se produit. Elle demande alors à Sana de devenir son garde du corps, elle part pour l'île de Kontipok dans deux jours. Une très bonne intrigue, à la Frédéric Dard, c'est drôle et divertissant. Le langage est particulier, enfin très particulier, donc pas pour les puristes de la langue française. Mais on peut aimer les grands auteurs et se lâcher par moment. Non ! Ah bon !
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