Bernard Michal a été notamment journaliste politique, grand reporter, chef du service politique et rédacteur en chef adjoint à Paris Presse, L'Aurore, Le Parisien libéré, Historama, Investir et auteur producteur d'émissions historiques à TF1.
« Qu’on démolisse la vieille société : on trouvera la nouvelle sous les décombres ! Le dernier coup de pioche l’amènera au jour, triomphante ! » Cet extrait d’un long plaidoyer de la révolution pour la révolution a été écrit en 1850. Son auteur ? Louis-Auguste Blanqui.
Petit, maigre, les yeux enfoncés dans les orbites, vêtu de noir, Louis-Auguste Blanqui est, au XIXe siècle, l’apôtre de la révolution permanente. Ses nombreux séjours en prison sous différents régimes...
Petit, maigre, les yeux enfoncés dans les orbites, vêtu de noir, Louis-Auguste Blanqui est, au XIXe siècle, l’apôtre de la révolution permanente. Ses nombreux séjours en prison sous différents régimes lui valent le surnom de « l’enfermé ». Blanqui fut-il un simple agitateur, un théoricien de génie ou un individu...
Petit, maigre, les yeux enfoncés dans les orbites, vêtu de noir, Louis-Auguste Blanqui est, au XIXe siècle, l’apôtre de la révolution permanente. Ses nombreux séjours en prison sous différents régimes lui valent le surnom de « l’enfermé ». Blanqui fut-il un simple agitateur, un théoricien de génie ou un individu douteux manipulé par les polices secrètes ? A la fin de sa vie, alors que, de ville en ville, il se fait acclamer par des milliers de personnes, Blanqui dit : « Trop tard ! Si j’avais eu plus tôt ce bel élan, cette force jeune avec moi, j’aurais soulevé le monde. »
Bernard Michal a été notamment journaliste politique, grand reporter, chef du service politique et rédacteur en chef adjoint à Paris Presse, L'Aurore, Le Parisien libéré, Historama, Investir et auteur producteur d'émissions historiques à TF1.