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Jalna. La Saga des Whiteoak – T.1 : La Naissance de Jalna
G. Lalande (traduit par)
Date de parution : 22/02/2018
Éditeurs :
Omnibus

Jalna. La Saga des Whiteoak – T.1 : La Naissance de Jalna

G. Lalande (traduit par)
Date de parution : 22/02/2018
La célèbre saga des Jalna enfin disponible en numérique !
« Mazo De la Roche a créé un microcosme étourdissant de vie, des personnages (Adeline, Renny, Finch et les autres) inoubliables, et bien que ce monument littéraire soit ignoré par... « Mazo De la Roche a créé un microcosme étourdissant de vie, des personnages (Adeline, Renny, Finch et les autres) inoubliables, et bien que ce monument littéraire soit ignoré par la plupart de nos dictionnaires, elle mérite bien de figurer parmi les plus grands écrivains de son pays. » Janet... « Mazo De la Roche a créé un microcosme étourdissant de vie, des personnages (Adeline, Renny, Finch et les autres) inoubliables, et bien que ce monument littéraire soit ignoré par la plupart de nos dictionnaires, elle mérite bien de figurer parmi les plus grands écrivains de son pays. » Janet Erié
En seize romans, la vie de la famille Whiteoak à travers quatre générations, depuis le mariage du capitaine Philippe Whiteoak et d'Adeline Court au milieu du XIXe siècle jusqu'au centenaire de leur bien-aimé domaine de Jalna. Un best-seller mondial depuis les années 1930.
Volume 1 sur 16.


 
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EAN : 9782258151574
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258151574
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LizzieC12 08/05/2023
    J’ai lu le 1er tome de la saga de Jalna (la saga des Whiteoak) dans le cadre d’une lecture commune. Et je peux dire que j’ai été très emballée par cette lecture. Philippe et Adeline Whiteoak, vivent dans une garnison dans les Indes Britanniques. Ils souhaitent changer de vie et émigrer au Canada, nouvelle terre promise des Britanniques en mal d’aventures. Nous les suivons dans leur quotidien entre long voyage en bateau, découverte du Canada et la construction de leur domaine de Jalna qui abritera leur grande famille. Malgré un début poussif j’ai trouvé cette chronique de la vie quotidienne de la famille Whiteoak, que l’on va suivre sur plusieurs générations, vraiment passionnante. La plume de Mazo de la Roche est addictive. Les superbes descriptions de la nature canadienne, les nombreux personnages au caractère complexe et les dialogues incisifs et directs ont été un réel plaisir à lire. Concernant les personnages, ils sont tous charismatiques et bien écrits. C’est un régal de suivre leurs aventures, qu’on les aime (Gussie, Wilmott…) ou qu’on les déteste (comme Daisy qui est affreusement horripilante). L’autrice a même réussi l’exploit de me faire apprécier Adeline, héroïne vive, libre, intelligente et séduisante mais aussi capricieuse, enfant gâtée et très égoïste, qui rappelle beaucoup Scarlett O’Hara. Elle n’a pas vraiment la fibre maternelle et considère sa fille Augusta (la première née) comme un fardeau. La pauvre petite est plusieurs fois laissée de côté, critiquée ou rabrouée, à l’inverse de ses deux jeunes frères qui sont admirés. Mais malgré tous ses défauts, Adeline est un vent de fraîcheur et d’impertinence bienvenu dans le roman. J’ai donc beaucoup aimé cette lecture, que j’ai trouvé vraiment passionnante malgré certains points négatifs, comme la description romanesque d’Adeline et Philippe qui m’a plusieurs fois fait lever les yeux au ciel. L’auteure appuie régulièrement sur la grande beauté et la perfection du couple. Partout où ils passent, tout le monde tombe sous leur charme ce qui est assez énervant et irréaliste. Mais ce premier tome est une grande réussite et s’inscrit dans la veine des grandes sagas familiales romanesques. J’ai lu le 1er tome de la saga de Jalna (la saga des Whiteoak) dans le cadre d’une lecture commune. Et je peux dire que j’ai été très emballée par cette lecture. Philippe et Adeline Whiteoak, vivent dans une garnison dans les Indes Britanniques. Ils souhaitent changer de vie et émigrer au Canada, nouvelle terre promise des Britanniques en mal d’aventures. Nous les suivons dans leur quotidien entre long voyage en bateau, découverte du Canada et la construction de leur domaine de Jalna qui abritera leur grande famille. Malgré un début poussif j’ai trouvé cette chronique de la vie quotidienne de la famille Whiteoak, que l’on va suivre sur plusieurs générations, vraiment passionnante. La plume de Mazo de la Roche est addictive. Les superbes descriptions de la nature canadienne, les nombreux personnages au caractère complexe et les dialogues incisifs et directs ont été un réel plaisir à lire. Concernant les personnages, ils sont tous charismatiques et bien écrits. C’est un régal de suivre leurs aventures, qu’on les aime (Gussie, Wilmott…) ou qu’on les déteste (comme Daisy qui est affreusement horripilante). L’autrice a même réussi l’exploit de me faire apprécier Adeline, héroïne vive, libre, intelligente et séduisante mais aussi capricieuse, enfant gâtée et...
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  • Kyokoandbooks 18/04/2023
    Les Jalna, c'est la saga familiale préférée de ma Maman. Depuis l'adolescence, elle m'a encouragée à la lire, mais les 16 tomes me rebutaient un peu. Et puis à force de lire, j'ai fini par me rendre compte que les saga familiales étaient parmi mes genres préférés, que puisque je lisais davantage, la longueur d'une série ne me faisait plus aussi peur (et que rien ne m'interdisait de toute facon d'arrêter avant la fin si je le souhaitais). Je me suis donc enfin lancée dans la lecture de ce premier tome, La Naissance de Jalna. Premier tome dans l'ordre chronologique de l'histoire, mais pas dans l'ordre de l'écriture; je pense qu'il est important de le noter, car j'ai lu des avis plutôt mitigés sur ce tome, alors que Jalna (le premier écrit) est celui qui a eu le plus grand succès. D'ailleurs j'ai hésité à commencer par celui-ci, mais mon côté psychorigide de la lecture "dans l'ordre de l'histoire" a décidé pour moi. Dans La Naissance de Jalna, nous faisons connaissance avec Adeline et Philippe Whiteoak, les fondateurs de la dynastie des Whiteoak que nous suivrons pendant toute la saga. Nous découvrons brièvement leur rencontre, leur mariage et leur départ des Indes, mais le propos principal du roman, c'est bien leur émigration et leur installation au Canada, où ils vont bâtir leur famille et la demeure qui la verra grandir, la fameuse Jalna. Il m'a fallu un petit temps d'adaptation pour me faire au style d'écriture. Je ne sais pas si c'est dû à ma traduction qui date un peu, ni si ca a été modifié dans les rééditions récentes, mais je trouvais le début du roman très marqué "romance". Adeline et Philippe, ce sont les plus beaux, ils sont parfaits physiquement, personne, homme ou femme ne peut s'empêcher d'être attiré par eux... J'exagère à peine et je me suis demandée où j'avais mis les pieds ^^' J'ai également trouvé le début un peu long (pour faire court, jusqu'à l'arrivée au Canada). Et puis ensuite, le charme a opéré, et je suis moi aussi tombée sous le charme des Whiteoak. Plus précisément, surtout sous le charme d'Adeline, dont j'ai beaucoup apprécié le caractère. C'est une femme décidée, elle sait ce qu'elle veut, elle sait ce qu'elle vaut. Son petit côté enfant gâtée, à la Scarlett O'Hara, pourrait être horripilant, mais comme pour Scarlett, cela m'a au contraire rendu le personnage plus attachant, plus humain. Il m'a fallu plus de temps pour apprécier Philippe, que je trouvais fade et lisse, et un peu aveugle parfois. Mais j'ai apprécié la liberté et la confiance qu'il accorde à son épouse, d'autant plus pour l'époque où se déroule l'histoire. En revanche j'ai été surprise par l'attention portée (ou pas) par Adeline et Philippe à leurs enfants, principalement à Gusta. Alors je sais bien qu'à l'époque, il était habituel dans la haute société que les enfants soient élevés par leur nurse et ne voient leurs parents que très peu, je sais aussi que le fait d'avoir une fille comme premier-né n'était pas le choix de prédilection de ces familles qui souhaitaient avant tout un héritier qui ferait perdurer le nom, qu'il était fréquent par exemple qu'une jeune fille soit envoyée pour de longs séjours dans la famille éloignée. Mais tout de même, l'attitude des Whiteoak pour Gusta m'a tellement attristée, que je me suis vraiment prise d'affection pour ce personnage. Pour conclure, même si j'en attendais plus et mieux, je suis ravie d'avoir fait la connaissance de la famille Whiteoak, et je poursuivrai la série pour en savoir plus sur eux; pas forcément sur Philippe et Adeline, qui ne me semblent pas les personnages les plus intéressants (enfin, surtout lui), mais pour voir l'avenir de leurs descendants, qui me semble très prometteur.Les Jalna, c'est la saga familiale préférée de ma Maman. Depuis l'adolescence, elle m'a encouragée à la lire, mais les 16 tomes me rebutaient un peu. Et puis à force de lire, j'ai fini par me rendre compte que les saga familiales étaient parmi mes genres préférés, que puisque je lisais davantage, la longueur d'une série ne me faisait plus aussi peur (et que rien ne m'interdisait de toute facon d'arrêter avant la fin si je le souhaitais). Je me suis donc enfin lancée dans la lecture de ce premier tome, La Naissance de Jalna. Premier tome dans l'ordre chronologique de l'histoire, mais pas dans l'ordre de l'écriture; je pense qu'il est important de le noter, car j'ai lu des avis plutôt mitigés sur ce tome, alors que Jalna (le premier écrit) est celui qui a eu le plus grand succès. D'ailleurs j'ai hésité à commencer par celui-ci, mais mon côté psychorigide de la lecture "dans l'ordre de l'histoire" a décidé pour moi. Dans La Naissance de Jalna, nous faisons connaissance avec Adeline et Philippe Whiteoak, les fondateurs de la dynastie des Whiteoak que nous suivrons pendant toute la saga. Nous découvrons brièvement leur rencontre, leur mariage et leur départ des...
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  • ZeroJanvier79 08/10/2022
    J'avais dévoré tout Jalna quand j'étais adolescent, et si je suis incapable aujourd'hui de me souvenir de chacun des tomes qui composent cette saga gigantesque, je me souviens tout de même que j'avais pris beaucoup de plaisir à découvrir cette famille et ce domaine familial que l'on suit pendant presque un siècle.
  • tremb77 31/12/2021
    Jalna, une saga familiale en 16 tomes. Lue sur le tard pour le challenge solidaire pour lire les 15 autres tomes l'année prochaine. Le nom ne me parlait pas mais en regardant les anciennes couvertures des prochains tomes, j'ai reconnu les photos d'une ancienne série télé passée dans ma jeunesse. Bizarrement je n'avais pas enchaîné avec la lecture de cette saga. Pas de souvenirs de l'histoire de ce prequel, début avec les ancêtres de la famille, Philippe et Adeline. Philippe est un ancien soldat anglais servant aux Indes, il a quitté l'armée pour s'installer au Québec suite à un héritage. Typique du flegme britannique, sa jeune épouse lui est tout son contraire. Jeune irlandaise, dynamique, un peu frivole, égoïste d'un certain côté, elle est habituée à un certain standing et qu'on la serve. Son côté mère est très surfait, élever un enfant c'est vraiment pour les bonnes. Totalement d'époque, cette séparation est moins présente dans les dernier romans que j'ai lu de cette époque. Une bonne reconstitution de l'émigration vers le nouveau monde. Un bon début de mise en place avec la création de Jalna en Ontario.
  • Sharon 29/12/2021
    Cet article risque d’être un peu long. Tant pis, pour une fois que je lis le premier tome d’une saga, tout en ayant la certitude que je ne lirai pas la suite. Lire un livre qui ‘est pas votre genre de lecture, oui. Poursuivre et découvrir la dizaine de volumes suivant, non. Adeline et Philippe, c’est d’abord pour moi l’histoire d’un couple aisé, d’un couple qui peut se permettre de n’en faire qu’à sa tête. Ils se sont rencontrés puis mariés en Inde, leur fille Augusta y est née, et c’est après qu’ils décident de partir pour le Canada, où Philippe a hérité d’un de ses oncles. Ils se rendent néanmoins avant en Angleterre, puis en Irlande, pour voir leurs familles respectives. Au Québec, nous assisterons alors à la naissance de Jalna. Simple et efficace. Sauf que…. il est des faits qui peuvent étonner, ce n’est pas une romance, c’est bien une saga familiale. Premier exemple : il est question, dans ce roman, de la dépression post-partum. Certes, elle n’est pas nommée ainsi, et elle ne l’est pas toujours actuellement (certains la confondent encore avec le baby blues), mais ce dont souffre Adeline est clairement décrit, tout comme est clairement décrit les maux de sa seconde grossesse. Autre point que l’on voit rarement dans les romans : alors qu’Adeline annonce cette seconde grossesse, Philippe lui reproche d’être tombé enceinte « trop tôt » – et elle de lui rappeler que c’est lui qui l’a mise dans cet état. Oui, Adeline ne se laisse pas faire, et c’est tant mieux. De même, Philippe se trouve fort démuni pendant la traversée quand Adeline ne peut pas s’occuper de Gussie, leur fille, parce qu’elle est trop malade du fait de sa grossesse et du mal de mer. Il confie donc la petite à une écossaisse mère de famille nombreuse : l’ayah dévouée n’a pas survécu à la traversée. Je devrais dire « aux traversées » parce qu’ils ont dû rebrousser chemin, et que cela aura des conséquences pour la famille d’Adeline. Philippe dit tout le bien qu’il pense de certains membres, et Adeline de ne pas apprécier les reproches qui sont faits à elle et à sa mère. Oui, Adeline comme sa mère se « serre » pendant la grossesse – et même si cela est dit abruptement par Philippe, je me dis aussi que ce n’est pas très bon. Elle se serrera aussi pendant sa troisième grossesse, qui survient alors que Jalna est en construction – nom choisi en souvenir du régiment de Philippe, nom qui a vu naître leur amour. Adeline tranche avec les autres femmes, parce qu’elle n’en fait qu’à sa tête et que personne ne parvient à raisonner. Le qu’en dira-t-on ? Très peu pour elle. Se rendre seule chez un homme ? Oui, c’est un ami, ils ont effectué la traversée vers le Québec ensemble, et il lui a livré un gros secret pas très reluisant (à mes yeux) même si, autre temps, autre moeurs, il aurait pu de nos jours résoudre ses soucis personnels autrement. Adeline tranche avec les autres femmes, plus conventionnelles, plus attentives à leur famille aussi – Adeline ne sait pas trop comment tenir une maison. Adeline est irlandaise aussi, qu’on se le dise ! Ne venez surtout pas lui dire du mal de son pays. Adeline ne se laisse pas faire non plus. Les ordres du docteur, qui lui interdit de se lever avant trois jours après son accouchement ? Elle n’en tient pas compte. Ses menaces ? Elle s’en moque également. L’allaitement ? Avoir une charmante chèvre à disposition, c’est bien utile. Le slogan n’existait pas à l’époque, et pourtant : son corps, son choix, pourrait dire Adeline. Par contre, les enfants… sont souvent livrés à eux-même, la nurse semble débordée, prompte à se reposer sur la jeune Gussie (quatre ans), qui a bien compris que ses frères étaient les chouchous de la famille. Jalna – un domaine dont nous assistons à la construction pas à pas, au fil des saisons, des joies liées à chacune d’entre elles, comme le fait de patiner, par exemple, ou de se baigner, l’été, au grand dam de certains canadiens. La fin de ce tome 1 annonce déjà la suite – l’on sait qui sera le prochain maître de Jalna, liant ainsi trois familles entre elles.Cet article risque d’être un peu long. Tant pis, pour une fois que je lis le premier tome d’une saga, tout en ayant la certitude que je ne lirai pas la suite. Lire un livre qui ‘est pas votre genre de lecture, oui. Poursuivre et découvrir la dizaine de volumes suivant, non. Adeline et Philippe, c’est d’abord pour moi l’histoire d’un couple aisé, d’un couple qui peut se permettre de n’en faire qu’à sa tête. Ils se sont rencontrés puis mariés en Inde, leur fille Augusta y est née, et c’est après qu’ils décident de partir pour le Canada, où Philippe a hérité d’un de ses oncles. Ils se rendent néanmoins avant en Angleterre, puis en Irlande, pour voir leurs familles respectives. Au Québec, nous assisterons alors à la naissance de Jalna. Simple et efficace. Sauf que…. il est des faits qui peuvent étonner, ce n’est pas une romance, c’est bien une saga familiale. Premier exemple : il est question, dans ce roman, de la dépression post-partum. Certes, elle n’est pas nommée ainsi, et elle ne l’est pas toujours actuellement (certains la confondent encore avec le baby blues), mais ce dont souffre Adeline est clairement décrit, tout comme est clairement décrit les...
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