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La trace dans l'ombre
Corine Derblum (traduit par)
Date de parution : 21/04/2016
Éditeurs :
12-21

La trace dans l'ombre

Corine Derblum (traduit par)
Date de parution : 21/04/2016
Quand elle trouve le corps sans vie de son oncle Jonathan, Georgina reste paralysée. L’esprit vide, elle ramasse instinctivement le revolver laissé au sol, et devient ainsi la principale suspecte.... Quand elle trouve le corps sans vie de son oncle Jonathan, Georgina reste paralysée. L’esprit vide, elle ramasse instinctivement le revolver laissé au sol, et devient ainsi la principale suspecte. Une suspecte pourvue d’un mobile solide : l’immense fortune dont elle devait hériter. Mais, en plus de son argent, Jonathan... Quand elle trouve le corps sans vie de son oncle Jonathan, Georgina reste paralysée. L’esprit vide, elle ramasse instinctivement le revolver laissé au sol, et devient ainsi la principale suspecte. Une suspecte pourvue d’un mobile solide : l’immense fortune dont elle devait hériter. Mais, en plus de son argent, Jonathan possédait un autre « trésor » : sa collection d’empreintes, parmi lesquelles celles d’un meurtrier dont il était le seul à connaître l’identité… Entre cet homme de l’ombre et Georgina, Miss Silver va devoir déterminer le coupable. Mais s’ils n’étaient pas les seuls à se trouver avantagés par la mort de Jonathan ?

« Lire Patricia Wentworth, c’est se plonger douillettement dans un roman d’énigme à l’anglaise comme on n’en écrit plus, avec ces pistes doublement balisées, ces dialogues faussement anodins, cette atmosphère familiale lénifiante où chacun s’observe, cet humour discret qui nimbe chacun des personnages. »
Jean-Claude Alizet – L’Année de la fiction

Traduit de l’anglais par Corine Derblum
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EAN : 9782823823301
Code sériel : 2970
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823823301
Code sériel : 2970
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • cmpf 05/06/2022
    Il y a sans conteste une parenté entre la Maud Silver de Patricia Wentworth et la Jane Marple d’Agatha Christie. Même perspicacité, même connaissance de la nature humaine, même goût du tricot pour ces deux détectives en fauteuil. Jonathan Field est un vieil homme riche sans enfant, il a recueilli lorsqu'elle était enfant sa nièce Georgina, sa demeure abrite aussi Mme Fabian et son fils Johnny ainsi qu’Anthony.. Jeune homme, il avait été amoureux d’une femme. Lorsqu’il retrouve la trace de la fille celle qui lui en avait préféré un autre, il décide de la recevoir chez lui. Celle-ci qui vit chez des parents pauvres et stricts fait tout pour se faire aimer et parvient à rester au-delà d’un court séjour. Mais Mirrie, pour obtenir un peu de liberté, a appris à mentir sur ses rares sorties et a fréquenté un jeune homme sans scrupule, parent de ses oncles et tantes. Bientôt le vieil homme, très impulsif, décide de refaire son testament en faveur de Mirrie. Mais il est assassiné dès son retour de Londres. Pour Frank Abbott, la coupable ne peut être que Georgina. Heureusement miss Silver séjourne non loin de là… Un moment de détente sans prise de tête.
  • Aurelia33 08/03/2019
    Georgina Grey est la nièce de Jonathan Field, un excentrique personnage qui collectionne les empreintes digitales, banales ou d'individus peu recommandables, tel Hitler et autres SS. Il paraitrait même qu'il aurait celle d'un meurtrier impuni! Ils habitent à 2 pas des cousins de l'inspecteur Abbott et de sa cousine Cicely. Et voici que surgit une jeune pupille, Mirrie, fille d'un ancien coup de cœur de J.Field. Celle-ci était bien malheureuse et exploitée par des parents peu soucieux de son bonheur. Jeune et sans le sou, Jonathan décide de la prendre sous son aile et peu à peu s'attache à elle. Il décide alors de refaire totalement son testament, aux détriments même de ses plus proches parents... Le soir même il est assassiné! Qui? Pourquoi? Argent? A la demande de Cicely, Miss Silver va mener l'enquête pour découvrir le fin mot de cette histoire secondée comme souvent par l'inspecteur Abbott. Pour une fois, on découvre en plus de l'atmosphère romanesque habituelle ( 2 petits couples tout mignons qui se rapprochent, s'éloignent pour mieux se retrouver), planent quelques personnages peu scrupuleux. Si l'intrigue est bien écrite, la fin, pourtant évidente, est inutilement longue, c'est dommage....
  • Sharon 06/06/2015
    Autant vous le dire d'entrée de jeu : si vous voulez découvrir cette auteur et son héroïne, ce n'est pas son meilleur roman à mes yeux. Pourquoi ? On y retrouve tous les ingrédients qui font le succès des auteurs anglaises - il est beaucoup de points communs entre les romans d'Agatha Christie et de Patricia Wentworth. Une famille, élargie, un huis-clos (Jonathan a été assassiné dans son bureau), un petit village où les commérages sont fréquents sans être envahissants, des domestiques fidèles et peu bavards, le souvenir de la Seconde guerre mondiale et du Blitz, un enquêteur rigoureux et une charmante vieille dame qui sait écouter et paraît totalement insignifiante. A la place de miss Silver, on pourrait croire que je parle de Miss Marple ! La grande différence est que la première est une détective, dûment embauchée et rémunérée, qui avertit ces clients qu'elle recherche la vérité, non à les protéger. Reste à savoir ce que l'on fait de ses ingrédients. Jonathan m'a rappelé plusieurs personnages d'Agatha Christie, ces vieux messieurs à qui une jeune fille, surtout si elle ressemble à un jeune chaton égaré et trempé, fait beaucoup d'effets. Je pense notamment au héros de Un cadavre dans la bibliothèque - le courage et la lucidité en moins, le tempérament colérique en plus. Non, Jonathan, la victime, tel qu'il est présenté ici, n'est pas le plus sympathique des héros, bien que certains traits laissent à penser qu'il peut avoir du recul face à ses actes - parfois. Si ce n'est qu'il perd la vie avant que l'on ait pu s'attacher à lui - ou mesurer jusqu'à quel point il peut être influençable. Mirrie, elle, est une jeune fille naïve, privée de tout dans sa jeunesse. Naïve, oui, mais pas innocente : elle sait tirer partie de ses apparentes faiblesses pour survivre, dans un milieu familial particulièrement strict. Faut-il lui jeter la pierre pour autant ? Non : elle ne cherche jamais à nuire à autrui - mais ce n'est pas nécessairement le cas de ceux qui l'entourent. Et c'est là que le roman me déplaît vraiment, et je vais spoiler un peu (vous êtes prévenus). J'ai trouvé rapidement qui pouvait bien être le coupable, parce qu'il correspond véritablement à une logique de l'écriture de romans policiers de cette époque. Le coupable ne peut être qu'un intrus, quelqu'un qui en-dehors du cercle de famille qui vient apporter le chaos, quelqu'un qui a déjà commis des actes graves - comme une gradation vers le crime. Et comme si un criminel était forcément isolé dans la société. Faiblesse du récit ? Oui, bien sûr, même l'inspecteur Abbott a ses moments de faiblesse, lui qui accuse promptement - même miss Silver qu'il accuse de manquer de lucidité. C'est dire qu'il n'est pas au mieux de sa forme. Restent les romances, parce qu'il est rare qu'un roman policier de Patricia Wentworth ne se conclut pas par un mariage, ou par une réconciliation. Il est finalement peu question d'amour mais d'argent - à partir de quelle somme d'argent peut-on se marier et vivre sans trop d'efforts ? A partir de quelle somme une jeune femme est trop riche pour qu'un jeune homme pauvre l'épouse ? Des questions qui taraudent les personnages, et trouvaient des résolutions plus cocasses chez Agatha Christie (voir Pourquoi pas Evans ?). Un des derniers romans de Patricia Wentworth, mais pas son meilleur.Autant vous le dire d'entrée de jeu : si vous voulez découvrir cette auteur et son héroïne, ce n'est pas son meilleur roman à mes yeux. Pourquoi ? On y retrouve tous les ingrédients qui font le succès des auteurs anglaises - il est beaucoup de points communs entre les romans d'Agatha Christie et de Patricia Wentworth. Une famille, élargie, un huis-clos (Jonathan a été assassiné dans son bureau), un petit village où les commérages sont fréquents sans être envahissants, des domestiques fidèles et peu bavards, le souvenir de la Seconde guerre mondiale et du Blitz, un enquêteur rigoureux et une charmante vieille dame qui sait écouter et paraît totalement insignifiante. A la place de miss Silver, on pourrait croire que je parle de Miss Marple ! La grande différence est que la première est une détective, dûment embauchée et rémunérée, qui avertit ces clients qu'elle recherche la vérité, non à les protéger. Reste à savoir ce que l'on fait de ses ingrédients. Jonathan m'a rappelé plusieurs personnages d'Agatha Christie, ces vieux messieurs à qui une jeune fille, surtout si elle ressemble à un jeune chaton égaré et trempé, fait beaucoup d'effets. Je pense notamment au héros de Un cadavre dans la...
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