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La Vérité pour héritage
Collection : Terres de France
Date de parution : 04/04/2013
Éditeurs :
Presses de la cité

La Vérité pour héritage

Collection : Terres de France
Date de parution : 04/04/2013

Week-end de retrouvailles pour la famille Albrussac. Dans leur fief périgourdin, face à leur père malade, frères et sœur exhument leur passé lourd de secrets, et se confrontent à la réalité de leur histoire commune.

Parce que le moment est venu de prendre des décisions, quatre adultes, réinvestissent la maison de leur enfance pour un pont de la Toussaint auprès de leur père. Dans ce...

Parce que le moment est venu de prendre des décisions, quatre adultes, réinvestissent la maison de leur enfance pour un pont de la Toussaint auprès de leur père. Dans ce huis-clos hors du temps, mais bien contemporain, les cicatrices s’ouvrent aussitôt. Et derrière l’image d’une famille respectable, descendante de maîtres...

Parce que le moment est venu de prendre des décisions, quatre adultes, réinvestissent la maison de leur enfance pour un pont de la Toussaint auprès de leur père. Dans ce huis-clos hors du temps, mais bien contemporain, les cicatrices s’ouvrent aussitôt. Et derrière l’image d’une famille respectable, descendante de maîtres de forges qui ont dominé des siècles durant ces vallées périgourdines, apparaissent les traces des drames partagés, des ravages de la maladie, des secrets enterrés, des deuils mal – ou pas – faits.
Pourtant les valeurs ajoutées de la famille, conjoints et enfants embarqués malgré eux dans le roman des Albrussac, sauront en ouvrir les portes dérobées...


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EAN : 9782258102842
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258102842
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MartineR 07/09/2022
    Quand tout explose ou se recompose, les secrets de famille, les couples, On remonte au début du XX° où la maladie mentale le handicap étaient tabous; mais où on jetait les bonnes dans le lit du fils de maison que l on mariait pour la descendance...........etc......................... Livre très bien écrit, plaisant à lire malgré l atmosphère **pesante**
  • Bebelle1725 26/11/2019
    Une réunion de famille, où chacun va x'exprimer à sa façon, une maison qui s'abîme, comme leurs relations au fil des années. Agréable à lire.
  • YvPol 11/04/2013
    Franchement, à m'arrêter au simple titre du bouquin, je ne l'aurais jamais lu. Et ç'eut été un tort ! C'est un roman familial avec tous les non-dits habituels, les cadavres dans les placards et autres secrets détenus par bribes par certains. Mais c'est surtout un roman qui met en scène les relations humaines. "De l'humain, beaucoup d'humain" écrit Guillemette de la Borie dans sa dédicace à moi écrite (merci) et je rajouterai : "et toujours de l'humain". La tension entre les frères et soeur, les beaux-frères, les belles-soeurs est palpable dès les premières lignes et ne se dénouera pas avant les dernières lignes. Guillemette de la Borie ne crée pas des personnages caricaturaux, ils ont tous leurs qualités et leurs défauts, leurs bons et mauvais côtés, leurs parts d'ombres. Grégoire, l'aîné sent bien que son mariage bat de l'aile, il consacre tout son temps pour tenter de maintenir sa petite entreprise à flot ; il se sent aussi des droits sur Pont Faye et se voit bien le prochain patriarche ; il est imbu, rigide, bourgeois, et finalement fragile et tellement peu sûr de lui. Aude, la soeur, la seule vivante des jumelles (Marie-Liesse est morte une vingtaine d'années auparavant) vit en Italie, elle est mariée, mère de deux adolescentes et élève également la fille de Marie-Liesse. Pas bien dans sa peau, malgré l'image qu'elle veut donner d'une femme épanouie, riche. En attente d'un contrôle médical, elle pense être atteinte d'un cancer du sein (l'est-elle réellement, ah, ah suspense... ?). Yrieix, le saltimbanque de la famille ; père d'Agathe, 15 ans qui va venir au domaine pendant ce week-end ; séparé de sa femme, il drague à peu près tout ce qui bouge ; photographe, il gagne de l'argent, le dépense, vit en bohème, n'a jamais vraiment réussi sa vie privée ou professionnelle. Cyril, le benjamin a quitté la maison très jeune, a travaillé dur dans la cuisine, le service et s'est construit en Inde une entreprise de tourisme florissante qui le met à l'abri financièrement ; il revient au domaine après 25 ans avec Danhya, sa jeune femme indienne. C'est un roman bien construit qui alterne les points de vue. Chaque chapitre a pour titre le prénom d'un des protagonistes et le temps de ces lignes, on voit les lieux et les autres par ses yeux. Procédé intéressant pour se faire une idée complète de chacun, ce qu'il pense de lui et ce que les autres voient de lui. Ajoutez à ces relations déjà pas simples, un grand domaine mal entretenu, un nom qui dans la région est synonyme de grande famille, respectable, descendante de maîtres de forge, de l'argent, des secrets et vous avez là un canevas parfait pour écrire un bon bouquin. Bon, après il faut un peu de talent pour mettre en mots, pour intéresser le lecteur, ne pas le perdre en cours de route. Tout cela fait manifestement partie de la panoplie de Guillemette de la Borie puisque je n'ai jamais décroché et que j'ai pris un évident plaisir à suivre la famille Albrussac dans ses tourments et ses questionnements. Guillmette de la Borie à un site : ici. Franchement, à m'arrêter au simple titre du bouquin, je ne l'aurais jamais lu. Et ç'eut été un tort ! C'est un roman familial avec tous les non-dits habituels, les cadavres dans les placards et autres secrets détenus par bribes par certains. Mais c'est surtout un roman qui met en scène les relations humaines. "De l'humain, beaucoup d'humain" écrit Guillemette de la Borie dans sa dédicace à moi écrite (merci) et je rajouterai : "et toujours de l'humain". La tension entre les frères et soeur, les beaux-frères, les belles-soeurs est palpable dès les premières lignes et ne se dénouera pas avant les dernières lignes. Guillemette de la Borie ne crée pas des personnages caricaturaux, ils ont tous leurs qualités et leurs défauts, leurs bons et mauvais côtés, leurs parts d'ombres. Grégoire, l'aîné sent bien que son mariage bat de l'aile, il consacre tout son temps pour tenter de maintenir sa petite entreprise à flot ; il se sent aussi des droits sur Pont Faye et se voit bien le prochain patriarche ; il est imbu, rigide, bourgeois, et finalement fragile et tellement peu sûr de lui. Aude, la soeur, la seule vivante des jumelles (Marie-Liesse est morte une vingtaine d'années auparavant)...
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