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La voix du violon
Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 04/10/2018
Éditeurs :
12-21

La voix du violon

Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 04/10/2018

À la suite d'une sortie de route provoquée par un de ses hommes, Montalbano découvre le cadavre d'une femme dans une maison située à la limite de son "territoire" officiel.

Au cours...

À la suite d'une sortie de route provoquée par un de ses hommes, Montalbano découvre le cadavre d'une femme dans une maison située à la limite de son "territoire" officiel.

Au cours de son enquête, il se heurtera à l'hostilité des autorités et à l'acharnement d'un collègue qui n'hésite pas à attribuer...

À la suite d'une sortie de route provoquée par un de ses hommes, Montalbano découvre le cadavre d'une femme dans une maison située à la limite de son "territoire" officiel.

Au cours de son enquête, il se heurtera à l'hostilité des autorités et à l'acharnement d'un collègue qui n'hésite pas à attribuer le meurtre à un attardé mental. Et ce n'est pas tout : entre l'attirance qu'il éprouve pour une jeune femme et le regard noir d'un enfant, Montalbano devra faire face à bien d'autres défis personnels. Une nouvelle occasion pour le commissaire de montrer son courage et son grand cœur.

"Andrea Camilleri, le maestro du polar à l’italienne"

 

LA DEPECHE DU DIMANCHE

 

"Don Camilleri, maître de Sicile".

 

L’EXPRESS

 

"Ses livres, écrits dans une langue savoureuse, explorent une terre où le bien et le mal n'en finissent pas de s'affronter avant de se confondre".

 

MADAME FIGARO

 

"'On retrouve, au fil d'intrigues savamment (dé)construites, la psychologie d'un Simenon, l'humour d'un Westlake ou la noirceur d'un Robin Cook, le tout parfumé à l'huile d'olive et au safran".

 

LA LIBERTE

 

 

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EAN : 9782823812954
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823812954
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • jcjc352 04/03/2023
    La magistrature et la police de Vigata et ses environs évoluent et ça se voit. Tout d’abord Catarè retourne à l’école pour devenir un geek et Montalbano s’assombrit. Le nouveau et ’ntipathique questeur Bonetti-Alderighi, partisan du chiffre, ne l’aime pas du moins il n’aime pas les dinosaures et un nouveau sémillant commissaire lui fauche son enquête et le Dr Arquà chef de la Scientifique, un florentin se révèle être un mouchard! Une enquête qu’il a un peu forcée surtout par sa curiosité et sa méthode de voyous: le crochetage de portes. Et voilà le catafaro* Michela sur le lit Livia vit dans l’attente de l’adoption du petit François et le mariage qui doit suivre avec Salvo mais cela le tourneboule ainsi que Livia que l’on voit peu et pas dans sa meilleur forme. On voit Montalbano faire un repas en tête à tête avec Mme Clementina Vasile Cozzo ex-institutrice paralytique «détective en fauteuil» comme Miss Marple aussi intuitive et leste en compréhension en pleine discussion sur le crime qui agite Vigata. On suppute! Un Montalbano dans le rôle d’un Watson, d’un Japp ou d’ un Sir Henry Clithering qui écoute le maestro jouer du violon à l’étage du dessus Et puis toujours l'inévitable guerre et les coups bas entre fonctionnaires adipeux proches du pouvoir ou de la bien-pensance et l’équipe de choc du commissariat de Vigata Une équipe soudée autour de son chef acariâtre qui bénéficie aussi de l’aide télévisée non négligeable de son ami Zito Nicolò. Une intrigue où il est question de musique classique et de maestro, d’idylle amoureuse, de questions sur la bêtise des hommes et bien sur de petits plats Ceux bâfrés par Salvo Spaghetti à la sauce coralline, faite d’œufs de langouste et d’oursins Caponata macaronis avec un « feu vif » (sauce de sel, huile d’olive, ail, piment rouge sec en quantité) une substantielle portion d’agneau chasseur parfumé d’origan et d’oignon. Dessert de ricotta et un petit verre d’anis gras Tranches d’une miche assaisonnées d’huile d’olive, sel, poivre noir et pecorino Une histoire un peu triste mais qui bénéficie toujours des réparties ad hoc mais pas toujours bien correctes du commissaire La magistrature et la police de Vigata et ses environs évoluent et ça se voit. Tout d’abord Catarè retourne à l’école pour devenir un geek et Montalbano s’assombrit. Le nouveau et ’ntipathique questeur Bonetti-Alderighi, partisan du chiffre, ne l’aime pas du moins il n’aime pas les dinosaures et un nouveau sémillant commissaire lui fauche son enquête et le Dr Arquà chef de la Scientifique, un florentin se révèle être un mouchard! Une enquête qu’il a un peu forcée surtout par sa curiosité et sa méthode de voyous: le crochetage de portes. Et voilà le catafaro* Michela sur le lit Livia vit dans l’attente de l’adoption du petit François et le mariage qui doit suivre avec Salvo mais cela le tourneboule ainsi que Livia que l’on voit peu et pas dans sa meilleur forme. On voit Montalbano faire un repas en tête à tête avec Mme Clementina Vasile Cozzo ex-institutrice paralytique «détective en fauteuil» comme Miss Marple aussi intuitive et leste en compréhension en pleine discussion sur le crime qui agite Vigata. On suppute! Un Montalbano dans le...
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  • bookpass 24/09/2022
    Escapade en Sicile avec le Commissaire Montalbano. Quel plaisir de retrouver l’écriture d’Andréa Camilleri, la Sicile et ses parfums, les dialogues fleuris, l’indépendance du Commissaire Montalbano et son caractère bien trempé. Une enquête qui piétine, des actes manqués, et voilà que le Questeur dessaisit Montalbano de l’enquête. Son équipe est outrée, vexée mais Montalbano s’en moque. Jusqu’à ce qui ressemble à une bavure. Camilleri est habile et notre commissaire l’est tout autant. Et Salvo il ne faut pas l’énerver. Une plume authentique, fine et colorée. C’est un véritable plaisir de retrouver l’univers de Salvo Montalbano, comme un bonbon acidulé, un chocolat chaud savoureux, une rencontre réconfortante. Bref un petit bonheur de lecture. Heureusement, il m’en reste encore de nombreux à lire !
  • elisecorbani 28/08/2022
    Dans la série des Montalbano, ce 4eme opus est une forme de charnière qui clôt une séquence avec le scénario élaboré dans la relation entre Salvo et Livia autour de l'adoption de François. Plusieurs personnages apparaissent et évoluent : le questeur, le chef de la Police Scientifique, le procureur Tommaseo, Catarella commence à manifester de façon inattendue son talent pour "l'informemathique". L'intrigue policière est bien menée, suffisamment ficelée pour mettre la puce à l'oreille tout en gardant le plaisir du suspense. L'enquête permet d'aborder les thèmes dans lesquels Camilleri est à mon sens le plus convaincant : les conflits de valeurs dans la Police (une bavure policière notamment), le rôle des journalistes, l'omniprésence de la mafia. Mais aussi une gamme de sentiments et d'émotions très humaines. L'ensemble constitue une harmonieuse partition et pour moi un des épisodes les plus réussis (mais je ne les ai pas encore tous lus...)
  • py314159 06/07/2022
    La voix du violon d'Andrea Camilleri est un court roman policier, quatrième enquête du commissaire Salvo Montalbano, publié en 1997 en Italie et en 2001 en France. Le commissaire sicilien, réfractaire à la modernisation de son service, enquête sur la mort d'une belle jeune femme dans sa maison secondaire. On se laisse bercer par le langage fleuri des différents protagonistes et une Sicile dépaysante. Si le commissaire ne semble pas toujours concentré sur son enquête, l'intrigue avance néanmoins. Un polar plaisant.
  • Herve-Lionel 04/10/2021
    N°1590 - Octobre 2021 La voix du violon – Andrea Camilleri – Fleuve noir Traduit de l’italien par Serge Quadruppani et Maruzza Loria. Montalbano vient de découvrir un peu par hasard le cadavre d’une jeune et jolie femme, Michela Licalzi, assassinée dans sa maison juste construite. Bizarrement elle était nue dans une mise en scène macabre et ses vêtements ont disparu, une manière comme une autre de brouiller les pistes. Son mari est chirurgien à Bologne et la victime, quand elle venait dans la région, logeait à l’hôtel. L’enquête s’enlise et s’oriente bizarrement vers un malade mental, mais cette piste ne convient pas à notre commissaire, le mari de la victime révèle un couple bien étrange et Montalbano, cible ordinaire d’une hiérarchie tatillonne et d’un collègue envieux et flagorneur se trouve dessaisi puis à nouveau en charge de cette affaire, le tout dans le quotidien de la mafia et la mort opportune d’un présumé coupable. Pour notre commissaire, il y a de quoi en perdre son latin et ce d’autant qu’entre temps ses investigations l’amènent à tomber amoureux d’une jolie femme. Qu’importe, il n’aura pas trop de tout son talent et de sa patience d’enquêteur, et ce malgré les méprises et les fausses pistes, pour éclaircir cette affaire bien compliquée. Une enquête est l’occasion de faire des rencontres et pas forcément des meurtriers ; ici il va croiser notamment un maestro violoniste. De son propre aveu, Montalbano n’y connaît pas grand chose en musique et plus particulièrement en violon, mais c’est pourtant cet instrument qui va l’aider à rétablir les faits, découvrir le vrai assassin et rendre hommage à la mémoire de celui qui a été injustement accusé. Il galère toujours avec Livia, sa lointaine fiancée génoise et ce d’autant qu’ils traversent une crise liée à l’adoption éventuelle d’un petit garçon. Le tout sur fond de recettes de cuisine sicilienne capables de faire saliver les plus accrocs au jeûne. Cette enquête à la Simenon fut encore un bon moment de lecture.N°1590 - Octobre 2021 La voix du violon – Andrea Camilleri – Fleuve noir Traduit de l’italien par Serge Quadruppani et Maruzza Loria. Montalbano vient de découvrir un peu par hasard le cadavre d’une jeune et jolie femme, Michela Licalzi, assassinée dans sa maison juste construite. Bizarrement elle était nue dans une mise en scène macabre et ses vêtements ont disparu, une manière comme une autre de brouiller les pistes. Son mari est chirurgien à Bologne et la victime, quand elle venait dans la région, logeait à l’hôtel. L’enquête s’enlise et s’oriente bizarrement vers un malade mental, mais cette piste ne convient pas à notre commissaire, le mari de la victime révèle un couple bien étrange et Montalbano, cible ordinaire d’une hiérarchie tatillonne et d’un collègue envieux et flagorneur se trouve dessaisi puis à nouveau en charge de cette affaire, le tout dans le quotidien de la mafia et la mort opportune d’un présumé coupable. Pour notre commissaire, il y a de quoi en perdre son latin et ce d’autant qu’entre temps ses investigations l’amènent à tomber amoureux d’une jolie femme. Qu’importe, il n’aura pas trop de tout son talent et de sa patience d’enquêteur, et ce malgré les méprises et les...
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