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Lady Scarface
Date de parution : 28/04/2016
Éditeurs :
Perrin

Lady Scarface

Date de parution : 28/04/2016
Elles sont meurtrières, frondeuses, séductrices, esprits rebelles et libres, elles ont choisi d’être des Lady Scarface, à la vie à la mort… De la naissance des bordels de Chicago à celle d’Hollywood, Diane Ducret nous plonge dans l’intimité des « fiancées de la poudre », les femmes du clan d’Al Capone et autres gangsters qui ont fait trembler le monde.
 
Chicago. Début des années folles.
Le Syndicat du crime n’est pas qu’une affaire d’hommes, il se conjugue aussi au féminin.
Elles sont fugueuses, frondeuses, parfois meurtrières, mais toujours rebelles. Elles s’appellent Mary...
Chicago. Début des années folles.
Le Syndicat du crime n’est pas qu’une affaire d’hommes, il se conjugue aussi au féminin.
Elles sont fugueuses, frondeuses, parfois meurtrières, mais toujours rebelles. Elles s’appellent Mary Josephine Capone alias Mae, Ada et Minna Everleigh, les Impératrices du vice, Margaret Collins, la Fille au baiser mortel, Louise...
Chicago. Début des années folles.
Le Syndicat du crime n’est pas qu’une affaire d’hommes, il se conjugue aussi au féminin.
Elles sont fugueuses, frondeuses, parfois meurtrières, mais toujours rebelles. Elles s’appellent Mary Josephine Capone alias Mae, Ada et Minna Everleigh, les Impératrices du vice, Margaret Collins, la Fille au baiser mortel, Louise Rolfe, l’Alibi blond, Bonnie Parker, la Juliette au revolver, ou encore Virginia Hill, le Flamant rose : elles sont les compagnes d’infortune comme de gloire d’Al Capone, Clyde Barrow ou Bugsy Siegel, barons noirs des années de plomb qui ont fait trembler l’Amérique.
Traquées par le légendaire patron du FBI John Edgar Hoover, muses de la prohibition et de ses fêtes décadentes, elles n’ont rien à envier aux gangsters, l’intelligence et les talons hauts en prime.
Le crime ne paie peut-être pas, mais il séduit toujours. A partir d’archives déclassifiées du FBI et d’Alcatraz, de journaux de l’époque, d’entretiens avec des descendants et de documents inédits, Diane Ducret dévoile avec le talent qu’on lui connaît l’intimité de celles qui ont choisi d’être des Lady Scarface, à la vie à la mort…
 
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EAN : 9782262066741
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782262066741
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ALDAMO21 15/03/2021
    Avec Diane Ducret, j’ai une grande histoire d’amour, puisque cela fait 7 années que je la rencontre régulièrement au salon livre Paris. Diane, c’est la conjugaison de la beauté, de la gentillesse, de la simplicité, de la culture et de l’intelligence qui la rendent des plus attirantes et des plus « craquantes ». Accompagné d’un p’tit verre de Jack Daniels, non prohibé celui-ci, je me suis plongé dans cette « pépite » de « Lady Scarface ». Transporté de suite ! …dans cette époque bizarre, de l’alcool frelaté, des bordels, des hold up, de la sulfateuse, d’Al Capone et surtout des ladies qui sentaient plus la poudre que le Chanel n°5… Diane traite magistralement bien son sujet, d’une plume fluide, à l’image de « Femmes de dictateur ». Elle a délibérément choisi d’écrire avec une certaine légèreté, la vie de ces hommes et de leurs épouses ou amantes. Des hommes qui avaient parfois un très lourd passé et qui n’étaient pas des enfants de cœur, voir des criminels. Mais cela passe bien ! Le livre est excellent, intéressant, instructif et truffé de mille détails, ce qui me fait penser qu’il a demandé encore des heures, des journées de recherches. Et surtout il interpelle quelque part, par ce grand paradoxe. Comment toutes ces femmes, certes belles, intelligentes, venimeuses parfois, calculatrices, séductrices et aussi parfois fragiles ont pu toutes, et envers tout, rendre certains des plus durs gangsters, doux comme des agneaux, à une époque aussi violente. Comment toutes ces Bad girls, ont pu dominer et parfois ont pu faire naître des sentiments de tendresse et d’amour à tous ces hommes qui bien souvent n’avaient que des pistolets ou mitraillettes pour s’exprimer et qui n’avaient aucun scrupule à braquer des banques et même à tuer. Il y a comme une fascination ! Ce sont pour ces raisons, que ce livre est à lire. Par petites doses, car pour avoir tourné une seule une page, je me suis déjà retrouvé à la fin. Avec Diane Ducret, j’ai une grande histoire d’amour, puisque cela fait 7 années que je la rencontre régulièrement au salon livre Paris. Diane, c’est la conjugaison de la beauté, de la gentillesse, de la simplicité, de la culture et de l’intelligence qui la rendent des plus attirantes et des plus « craquantes ». Accompagné d’un p’tit verre de Jack Daniels, non prohibé celui-ci, je me suis plongé dans cette « pépite » de « Lady Scarface ». Transporté de suite ! …dans cette époque bizarre, de l’alcool frelaté, des bordels, des hold up, de la sulfateuse, d’Al Capone et surtout des ladies qui sentaient plus la poudre que le Chanel n°5… Diane traite magistralement bien son sujet, d’une plume fluide, à l’image de « Femmes de dictateur ». Elle a délibérément choisi d’écrire avec une certaine légèreté, la vie de ces hommes et de leurs épouses ou amantes. Des hommes qui avaient parfois un très lourd passé et qui n’étaient pas des enfants de cœur, voir des criminels. Mais cela passe bien ! Le livre est excellent, intéressant, instructif et truffé de mille détails, ce qui me fait penser qu’il a demandé encore des heures, des journées de recherches. Et surtout il interpelle quelque part, par...
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  • elisemrc 20/06/2017
    Très instructif
  • Topper67 22/05/2017
    Ah la prohibition aux États-Unis, Chicago, les années 1920-30… En voilà une période qui fleure « bon » la poudre, les costumes à rayures, les Tommy-gun, les règlements de compte et la mafia ! Diane Ducret nous fait revivre cette époque de manière vivante avec un angle d’attaque inédit : les antihéros ne sont pas cette fois Al Capone, John Dillinger, Clyde Barrow et autres Baby Face Nelson, mais leurs compagnes. Après tout « derrière chaque grand homme il y a une femme », et cela vaut aussi pour les bandits. Mise à part Bonnie Parker, que tout le monde connait (merci Gainsbourg !) les autres « fiancées de la poudre » furent pour moi une agréable découverte. Il est intéressant de suivre leurs parcours, essayer de comprendre leurs motivations, comprendre leur influence. Quelques bémols toutefois pour ma part. C’était mon premier Ducret (et je pense que ce ne sera pas le dernier, il serait temps que je lise un jour "Femmes de dictateurs") et j’ai eu un peu de mal avec son style, volontairement « cinématographique », construit sur de nombreux flash-back et passant rapidement d’une histoire à l’autre. Attention, je ne dis pas que ce n’est pas bon, certains doivent apprécier ce n’est pas mon cas. Autre bémol, la volonté systématique de faire de ces femmes des féministes. Alors bien sûr un homme qui se permet de juger des femmes, je vais me faire coller l’étiquette de macho, mais… développons. Il me semble que le féminisme est revendicatif, qu’il y a un message politico-social derrière cela : « nous sommes vos égales, va falloir l’accepter nom de Zeus ». Or j’ai l’impression que la plupart de ces femmes avaient leurs propres raisons de suivre ces truands : l’amour bien sûr, peut être parfois des motivations plus vénales, ou tout simplement le fait qu’une fois le doigt de l’engrenage il n’y a plus d’autres solutions que de suivre son gangster chéri droit dans le mur. Mais il ne me semble pas qu’elles faisaient cela pour des motivations égalitaires. Des femmes libres, certes, à l’encontre de la morale bien pensante de l’époque qui aurait voulu qu’elles ne portent pas de pantalons et qu’elle reste à la maison élever des brouettes de marmots. Des femmes indépendantes et fières oui, ce qui avait le don d’irriter Hoover qui insistait justement sur leur côté dépravé. Mais des féministes, je ne sais pas trop. Comparer les fiancées de la poudre à des suffragettes est un pas que je ne me risquerai pas à franchir. Avis d’homme bien sûr qui peut être discuté ! Bref, un livre agréable, qui se lit facilement et qui, en plus, nous apprends des choses : qu’est-ce que vous attendez ? Ah la prohibition aux États-Unis, Chicago, les années 1920-30… En voilà une période qui fleure « bon » la poudre, les costumes à rayures, les Tommy-gun, les règlements de compte et la mafia ! Diane Ducret nous fait revivre cette époque de manière vivante avec un angle d’attaque inédit : les antihéros ne sont pas cette fois Al Capone, John Dillinger, Clyde Barrow et autres Baby Face Nelson, mais leurs compagnes. Après tout « derrière chaque grand homme il y a une femme », et cela vaut aussi pour les bandits. Mise à part Bonnie Parker, que tout le monde connait (merci Gainsbourg !) les autres « fiancées de la poudre » furent pour moi une agréable découverte. Il est intéressant de suivre leurs parcours, essayer de comprendre leurs motivations, comprendre leur influence. Quelques bémols toutefois pour ma part. C’était mon premier Ducret (et je pense que ce ne sera pas le dernier, il serait temps que je lise un jour "Femmes de dictateurs") et j’ai eu un peu de mal avec son style, volontairement « cinématographique », construit sur de nombreux flash-back et passant rapidement d’une histoire à l’autre. Attention, je ne dis pas que ce n’est pas bon, certains...
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  • mutinelle 13/11/2016
    J’ai connu Diane Ducret avec son excellent livre « L’homme parfait existe, il est québécois » dont vous trouverez l’avis ICI. Celui-ci est d’un genre totalement différent mais j’avais envie de le découvrir. Tout le monde connait les grands noms du banditisme américain pendant la période de la prohibition. Je pense même que le plus connu est Al Capone. Mais on connaît moins les femmes qui accompagnaient, de près ou de loin, leur quotidien. Diane Ducret a voulu combler cette lacune. Cet ouvrage raconte la vie des femmes de gangsters. Comment elles en sont arrivées à épouser un de ces hommes ou à partager leur vie. Ces femmes qui sont originaires de la classe moyenne américaine ont soit épouser ces hommes pour assouvir leur désir de paillettes et de vie facile, ou se trompent totalement sur l’homme qu’elles ont épousés, se voilant totalement la face. D’autres ont-elles-mêmes soif de rébellion et épaulent leur conjoint dans leurs activités. Mais toutes ont suivi leur époux par amour. Ce livre est intéressant, peu aborde le sujet de la prohibition par ce regard féminin. Les femmes ont à l’époque une place très discrète dans la société et ces femmes de gangsters, pour certaines, ont contribué à un début d’émancipation. J’aime parfois lire des histoires vraies et avec celles-ci j’ai été servie ! On découvre des femmes exceptionnelles et on a également un aperçu de la vie à cette époque. Cela change de mes lectures habituelles et ça fait du bien de changer un peu, d’aborder un registre plus réel. Y’a pas que la fiction dans la vie !J’ai connu Diane Ducret avec son excellent livre « L’homme parfait existe, il est québécois » dont vous trouverez l’avis ICI. Celui-ci est d’un genre totalement différent mais j’avais envie de le découvrir. Tout le monde connait les grands noms du banditisme américain pendant la période de la prohibition. Je pense même que le plus connu est Al Capone. Mais on connaît moins les femmes qui accompagnaient, de près ou de loin, leur quotidien. Diane Ducret a voulu combler cette lacune. Cet ouvrage raconte la vie des femmes de gangsters. Comment elles en sont arrivées à épouser un de ces hommes ou à partager leur vie. Ces femmes qui sont originaires de la classe moyenne américaine ont soit épouser ces hommes pour assouvir leur désir de paillettes et de vie facile, ou se trompent totalement sur l’homme qu’elles ont épousés, se voilant totalement la face. D’autres ont-elles-mêmes soif de rébellion et épaulent leur conjoint dans leurs activités. Mais toutes ont suivi leur époux par amour. Ce livre est intéressant, peu aborde le sujet de la prohibition par ce regard féminin. Les femmes ont à l’époque une place très discrète dans la société et ces femmes de gangsters, pour certaines, ont contribué à...
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  • BenedicteBiblio 15/08/2016
    Véritable reportage (à lire à la manière d’un roman), Diane Ducret nous entraîne dans le quotidien des fiancées de la poudre au temps de la prohibition. Chicago. New-York. Los Angeles. Si différentes soient-elles, ces femmes extraordinaires ont un point commun : elles ont soif de liberté à l’heure où les femmes se doivent d’être de bonnes épouses et de parfaites femmes d’intérieur, mais surtout le FBI les traque… Autant vous l’avouer tout de go, j’ai grandement apprécié cette aventure livresque. Je pense avoir appris énormément de choses sur le contexte de l’époque, les grandes figures de la mafia d’antan. Mais surtout, j’ai adoré rencontrer divers portraits féminins (qui m’étaient pour la plupart inconnus). Par le biais d’une documentation extrêmement riche, l’auteure lève ainsi le voile sur le quotidien de femmes connues (Mae Capone, Bonnie Parker), mais n’en oublie pas pour autant certaines fiancées qui se font moins présentes dans les esprits (Margaret Collins, Louise Rolfe ou encore Evelyn Frechette). Deux profils se détachent : les fiancées qui ferment les yeux, qui clament haut et fort ne rien connaître des activités frauduleuses de ces messieurs tout en mimant une vie de famille ordinaire ; les demoiselles qui n’hésitent pas à se salir les mains et à se faire complices des excursions criminelles. Tuer. Enlever. Couvrir leurs époux. Trembler. Fuir un FBI qui n’a de cesse de les poursuivre. Dès lors, rien ne leur est épargné. Autour de ce récit dévoilant ces nombreux portraits, un fil conducteur : Al Capone, dit Scarface. Nous suivons ainsi son vécu, de manière chronologique (de son ascension dans la mafia à son décès). Les années passent doucement, Diane Ducret nous présente petit à petit une sélection de femmes en relation avec des bandits notoires. Si j’ai apprécié en apprendre énormément sur ces femmes, je pense m’être surtout intéressée à Mae Capone ainsi qu’à Bonnie Parker. Mary Josephine Capone est présentée comme une femme douce, plutôt effacée, attachée à la vie de famille. Les nombreuses arrestations de Capone. Son combat face à la maladie de son mari. On ne peut qu’imaginer les difficultés que Mae s’est vue traverser. Les passages relatant la détention d’Al Capone à Alcatraz, prison la plus sécurisée des États-Unis, sont glaçants tout autant qu’édifiants. Mae tiendra grâce à son amour pour leur fils. Elle finira tout autant par se mettre en avant pour protéger son cher et tendre et faire taire les rumeurs. J’ai trouvé son portrait extrêmement touchant, sans trop savoir pourquoi. Quant à Bonnie, c’est sa relation avec Clyde Barrow qui se retrouve au premier plan. Un amour entier. Mais surtout un amour fou. Tuer et braquer pour survivre. Ne jamais se séparer, quitte à mourir ensemble… Chez toutes ces femmes, de nombreux points communs subsistent. Une enfance sombre, souvent malheureuse. De la violence. Un fort attrait pour l’argent, le luxe, les armes, les belles voitures. Je l’ignorais mais au sein même des différents clans, de véritables batailles se livrent (les Irlandais contre les Italiens notamment). Aussi, si la menace d’être arrêté(e) par le FBI plane nécessairement, la sécurité n’est pas toujours assurée au sein même de son clan (provocations, bagarres, lutte pour le pouvoir). Je n’ai eu de cesse de me demander comment vivre lorsqu’on se sait traqué(e) dans ses moindres faits et gestes, et lorsque finalement on ne peut faire confiance à personne. En bref, j’ai apprécié ce roman sous forme de reportage. On ne peut que comprendre aisément en quoi ces hommes, ces femmes ont pu faire la une des journaux ou encore inspirer le cinéma, la littérature de l’époque. Ces drôles de personnages fascinent autant qu’ils inspirent la crainte et l’effroi. Même si je me suis beaucoup plus intéressée à certains portraits qu’à d’autres, je trouve le travail de Diane Ducret hautement documenté (je pense notamment aux photographies qui permettent de mettre un nom sur un visage). Il permet de découvrir une toute autre facette des Années folles.Véritable reportage (à lire à la manière d’un roman), Diane Ducret nous entraîne dans le quotidien des fiancées de la poudre au temps de la prohibition. Chicago. New-York. Los Angeles. Si différentes soient-elles, ces femmes extraordinaires ont un point commun : elles ont soif de liberté à l’heure où les femmes se doivent d’être de bonnes épouses et de parfaites femmes d’intérieur, mais surtout le FBI les traque… Autant vous l’avouer tout de go, j’ai grandement apprécié cette aventure livresque. Je pense avoir appris énormément de choses sur le contexte de l’époque, les grandes figures de la mafia d’antan. Mais surtout, j’ai adoré rencontrer divers portraits féminins (qui m’étaient pour la plupart inconnus). Par le biais d’une documentation extrêmement riche, l’auteure lève ainsi le voile sur le quotidien de femmes connues (Mae Capone, Bonnie Parker), mais n’en oublie pas pour autant certaines fiancées qui se font moins présentes dans les esprits (Margaret Collins, Louise Rolfe ou encore Evelyn Frechette). Deux profils se détachent : les fiancées qui ferment les yeux, qui clament haut et fort ne rien connaître des activités frauduleuses de ces messieurs tout en mimant une vie de famille ordinaire ; les demoiselles qui n’hésitent pas à se salir...
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