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L'Archipel des Malotrus
Date de parution : 17/02/2011
Éditeurs :
12-21

L'Archipel des Malotrus

Date de parution : 17/02/2011

Ne le cherchez pas trop sur la carte, encore que sur l'océan Pacifique vous ayez quelques chances. Mais pacifiques, les Malotrus ? Parlons-en, hein ! Surtout lorsque Béru vient semer...

Ne le cherchez pas trop sur la carte, encore que sur l'océan Pacifique vous ayez quelques chances. Mais pacifiques, les Malotrus ? Parlons-en, hein ! Surtout lorsque Béru vient semer la panique et fomenter des révolutions dans un pays vraiment pas comme les autres. Heureusement qu'il a un gros ticket...

Ne le cherchez pas trop sur la carte, encore que sur l'océan Pacifique vous ayez quelques chances. Mais pacifiques, les Malotrus ? Parlons-en, hein ! Surtout lorsque Béru vient semer la panique et fomenter des révolutions dans un pays vraiment pas comme les autres. Heureusement qu'il a un gros ticket avec la reine, ce qui doit lui porter bonheur, car il a rudement besoin de veine. Et moi, donc ! Deux condamnations à mort dans la même journée pour chacun de nous, ça commence à bien faire. On ne sait plus où donner de la tête.

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EAN : 9782265090422
Code sériel : 66
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265090422
Code sériel : 66
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • jamiK 31/01/2022
    Politiquement incorrect, à faire tourner de l'œil un militant woke, et ne parlons pas des allergiques au jeux de mots vaseux, ils sont déjà en choc anaphylactique. C’est lourd, l’intrigue est burlesque, pas du tout crédible, un peu foutraque, totalement rocambolesque, ce n’est pas non plus pour les amateurs de thriller et aficionados du suspense… Et j’y ai pris beaucoup de plaisir. Un assassinat d’un ministre d’un petit royaume perdu dans le Pacifique est assassiné dans un aéroport parisien. San-Antonio et son compère Bérurier vont enquêter sur l’affaire qui va les amener en Suisse puis dans cet archipel sordide, et vont devoir déjouer une affaire d’espionnage sur fond de concurrence entre deux nations européennes pour s’octroyer les faveurs de ce petit royaume. Mais passons, ce n’est pas pour l’intrigue qu’on ouvre un San-Antonio… San-Antonio, c’est un nom que j’ai toujours eu sous les yeux, mon père devait en lire autrefois, et il y avait toujours un tome qui traînait quelque part, même chez mes grands-parents, c’est donc tout naturellement que j’ai ouvert un volume un jour, une seule fois dans ma vie, il y a presque 40 ans. J’avais buté sur le vocabulaire d’argot, et l’intrigue m’avait laissé de marbre. J’avais oublié à quel point niveau lourdeur, c’est en harmonie avec le gabarit de son personnage secondaire, le fameux Bérurier, bien gras, bien vulgaire. Mais tout ça est assez réjouissant au final. J’ai aimé cette lecture, parce que j’ai ri, j’ai beaucoup ri. L’intrigue n’est qu’un prétexte à nous proposer quelques belles maximes graveleuses ou grossières, quelques réflexions irrévérencieuses, souvent à s’esclaffer. Les personnages arrivent à être gauchos et réacs à la fois. Et l’auteur nous offre quelques tergiversations sur sa personne, il nous prend régulièrement à témoin, c’est surtout pour cette complicité affichée avec le lecteur que j’y ai pris du plaisir, le meilleur est dans les parenthèses ou au détour d’une réflexion qui déborde du contexte. Bon, évidemment, on frise souvent l’overdose, les calembours sont parfois lourdingues et la vulgarité de Bérurier peut donner la nausée, l’outrance est la raison d’être de San-Antonio. Ce côté fausse littérature policière et vrai bordel littéraire m’a séduit, la langue française prend parfois quelques beignes (même pas mal !), et l’argot devient régulièrement jubilatoire, ça sonne aux oreilles, c’est coloré, clinquant, il y a quelques moments d'anthologie à dénicher entre les calembours foireux, ça fait travailler les zygomatiques, et ça c’est bon. Voilà, mon deuxième San-Antonio, et je crois bien que j’en lirai d’autres, mais pas à la suite, c’est un peu comme les Chamallows, on s’enfilerait bien tout le paquet, au delà de l’écœurement, mais on sait qu’on sera barbouillé tout le reste de la journée.Politiquement incorrect, à faire tourner de l'œil un militant woke, et ne parlons pas des allergiques au jeux de mots vaseux, ils sont déjà en choc anaphylactique. C’est lourd, l’intrigue est burlesque, pas du tout crédible, un peu foutraque, totalement rocambolesque, ce n’est pas non plus pour les amateurs de thriller et aficionados du suspense… Et j’y ai pris beaucoup de plaisir. Un assassinat d’un ministre d’un petit royaume perdu dans le Pacifique est assassiné dans un aéroport parisien. San-Antonio et son compère Bérurier vont enquêter sur l’affaire qui va les amener en Suisse puis dans cet archipel sordide, et vont devoir déjouer une affaire d’espionnage sur fond de concurrence entre deux nations européennes pour s’octroyer les faveurs de ce petit royaume. Mais passons, ce n’est pas pour l’intrigue qu’on ouvre un San-Antonio… San-Antonio, c’est un nom que j’ai toujours eu sous les yeux, mon père devait en lire autrefois, et il y avait toujours un tome qui traînait quelque part, même chez mes grands-parents, c’est donc tout naturellement que j’ai ouvert un volume un jour, une seule fois dans ma vie, il y a presque 40 ans. J’avais buté sur le vocabulaire d’argot, et l’intrigue m’avait laissé de marbre. J’avais oublié à...
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  • lecassin 16/11/2020
    La France envisage d'acheter une île de l'archipel des Malotrus pour y conduire des essais nucléaires. Les tractations se déroulent en coulisse, alors que le Ministre des Affaires Etrangères, Tabobo Hobibi, de la reine Kelbobaba, arrive à Genève. Pour quoi faire ? Bon, il est poignardé à l'aéroport et malgré l'hospitalisation de Béru et San-A. en faux malades pour interroger le mourant, une seule information sera récupérée : le ministre est descendu (si, si… dans tous les sens du mot) sous un faux nom, à l'hôtel Intermondial où il a rencard avec Sir Dezanges, un représentant de sa Majesté la reine d'Angleterre… L'archipel des Malotrus, 1967. Même s'il m'est parfois (souvent) arrivé ici de prétendre que la grande période pour la série San-Antonio est la fin des années 60, il m'est parfois (rarement) arrivé aussi de me gourer. Preuve, ce soixante-cinquième volume qui, soyons honnêtes, ne casse pas trois pattes à un canard… Tout d'abord, un procédé narratif nouveau, qui, heureusement ne sera reconduit : une première partie, résumée page 121, « classique », suivie d'une deuxième (étonnant, non ?) partie, plus « délirante », résumée page 249. Les deux résumés pour les non amateurs de « classique » ou de « délirant », afin qu'ils ne perdent pas leur temps à ligoter une partie qui ne les branche pas … Bof ! Quant à la deuxième partir « délirante », pas si que ça … Une intrigue très creuse que même les calembours, en grand nombre, ne parviennent pas à étoffer. Trop de calembour affaibli le calembour… Pas de Pinaud… Des notes en bas de pages nombreuses, trop, comme pour meubler… Bon ! Vivement le prochain : « Zéro pour la question », dont je n'ai aucun souvenir… La France envisage d'acheter une île de l'archipel des Malotrus pour y conduire des essais nucléaires. Les tractations se déroulent en coulisse, alors que le Ministre des Affaires Etrangères, Tabobo Hobibi, de la reine Kelbobaba, arrive à Genève. Pour quoi faire ? Bon, il est poignardé à l'aéroport et malgré l'hospitalisation de Béru et San-A. en faux malades pour interroger le mourant, une seule information sera récupérée : le ministre est descendu (si, si… dans tous les sens du mot) sous un faux nom, à l'hôtel Intermondial où il a rencard avec Sir Dezanges, un représentant de sa Majesté la reine d'Angleterre… L'archipel des Malotrus, 1967. Même s'il m'est parfois (souvent) arrivé ici de prétendre que la grande période pour la série San-Antonio est la fin des années 60, il m'est parfois (rarement) arrivé aussi de me gourer. Preuve, ce soixante-cinquième volume qui, soyons honnêtes, ne casse pas trois pattes à un canard… Tout d'abord, un procédé narratif nouveau, qui, heureusement ne sera reconduit : une première partie, résumée page 121, « classique », suivie d'une deuxième (étonnant, non ?) partie, plus « délirante », résumée page 249. Les deux résumés pour les non amateurs de « classique » ou de « délirant...
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  • domisylzen 23/07/2015
    Sans conteste dans le top ten des San-Antonio. L'histoire est des plus délirantes et la plume de Frédéric Dard bouillonne d'imagination. Evidemment, avec ce style de bouquin il faut être un peu barré dans la tête, faire partie des fans, aimer la gaudriole , ou alors en pleine déprime. Si la première partie du roman est d'inspiration policière classique ; la seconde, au contraire, est plus délirante. Mais avec San-Antonio on aime ou pas.
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