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L'assassin est à la plage
Collection : Suspense
Date de parution : 01/06/2014
Éditeurs :
L'Archipel

L'assassin est à la plage

Collection : Suspense
Date de parution : 01/06/2014
Engagé par Le Réveil, l’hebdo local dont Madeleine, 80 ans, est propriétaire, Maxime, 26 ans, est chargé avec Jasmine, 14 ans, photographe, de rédiger l’article sur un pendu mystérieux trouvé... Engagé par Le Réveil, l’hebdo local dont Madeleine, 80 ans, est propriétaire, Maxime, 26 ans, est chargé avec Jasmine, 14 ans, photographe, de rédiger l’article sur un pendu mystérieux trouvé sur un rond-point de la charmante station balnéaire. En une semaine, trois autres cadavres sont découverts dans 3 autres ronds-points.Maxime... Engagé par Le Réveil, l’hebdo local dont Madeleine, 80 ans, est propriétaire, Maxime, 26 ans, est chargé avec Jasmine, 14 ans, photographe, de rédiger l’article sur un pendu mystérieux trouvé sur un rond-point de la charmante station balnéaire. En une semaine, trois autres cadavres sont découverts dans 3 autres ronds-points.Maxime entreprend alors une enquête peu orthodoxe, qui va le conduire à l’assassin. Passé en deux mois du statut de SDF à celui de héros national, ce gentil garçon est devenu la coqueluche de ces dames. Mais il se retrouve avec deux amoureuses problématiques sur les bras. L’une a 14 ans et l’autre 80. Que faire ? Pourquoi ne pas prendre la route avec l’ami Manu et son camion pizza ?Deux histoires s’entrecroisent, celle d’un tueur en série qui bouleverse la quiétude des vacances et celle d’une vieille dame qui tombe amoureuse d’un jeune homme…
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EAN : 9782809815108
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 377
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809815108
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 377
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Breizh29livres 01/05/2023
    Entamer ses vacances par un méga carambolage, franchement, y'a mieux ! En même temps, comment l'éviter lorsqu'au détour d'un rond-point on voit se balancer gentiment un pendu ? C'est dans une jolie station balnéaire du sud de la France qu'a lieu la rencontre improbable entre les victimes locales et les estivants. Des portraits très vivants de personnages pittoresques : le journaliste, le gendarme, l'épicière, le pompier, le coiffeur, le médecin, la célébrité, l'ado... On aime d'emblée le ton moderne et plein d'humour. On apprécie également la dextérité quant à la manoeuvre consistant à mettre en scène les protagonistes tour à tour. La tranquilité de la petite cité se trouve menacée, il faut agir. Menée tambour battant par des personnages hauts en couleur, une enquête énergique aux saveurs du sud. Une plume vive, rigolote, enlevée, un fort sympathique moment de lecture estivale. A déguster avec olives et pastis !
  • sarahlucienne 30/12/2022
    Un récit facile à lire, un dénouement qui se devine sur la fin et de la psychologie de bazar. Et pourtant, beaucoup d'humour, des personnages bien dessinés, originaux, et au final si sympathiques qu'on se surprend à éprouver pour eux de l'amitié. Peu importe au final si on circule dans un monde où tout est bien qui finit bien. Un roman de plage plaisant à lire.
  • Cassiopee42 03/12/2022
    L’écriture, c’est de l’image et de l’émotion en conserve : tu ouvres la boîte et le parfum intact te saute à la figure.* Ne me demandez pas pourquoi, je ne sais pas… Mais lorsque je serai en retraite, j’ai bien envie de commencer une collection de photos de ronds-points … Certains sont très originaux et racontent presque une histoire… Mais, maintenant que j’ai lu le roman d’Arlette Aguillon, je me demande si je ne vais pas changer mon fusil (ou plutôt mon Canon (excusez le mauvais jeu de mots)) d’épaule. Bref, tout est histoire de regards, finalement…. Si je photographie de loin, je ne m’expose pas à de mauvaises surprises… Désopilant et décapant, ce roman est une véritable bouffée d’oxygène. C’est un savoureux cocktail d’enquête policière et de description d’un coin du Sud habité de personnages truculents, se trouvant dans des situations multiples, plus ou moins cocasses, mais toutes retranscrites avec un langage qui sent bon la vie et un à propos de bon aloi. Car avouons-le, on rit, on jubile au contact de Maxime qui raconte (en italiques dans le texte) en commençant par la page deux (les romans, c’est comme les chroniques de livres, le plus difficile, c’est le début). Donc, on suit les réflexions et l’intrigue vues par le jeune journaliste et en parallèle, on lit également le récit, plus conventionnel d’un narrateur extérieur. L’alternance des deux est un régal à consommer sans modération. Les protagonistes sont surprenants et restent tout à fait crédibles, ce qui est le fait d’un enchainement des scènes et des rôles de chacun tout à fait justifiés. Et pourtant, vu de l’extérieur, ce n’est pas si simple. Maxime, jeune chômeur, lettré (les références littéraires sont nombreuses et bien amenées) qui aimerait être embauché au journal « Le Réveil », pourrait donner l’impression d’être le plus facile à « camper ». Mais que dire de Madeleine, cette femme âgée, fortunée, qui a le sens de la répartie et ce cette très jeune Jasmine, surdouée dans un corps de bébé ? Laquelle des deux va faire son « quatre heures » de Maxime ? Et puis, est-ce bien raisonnable ? C’est là que tout l’art de l’auteur se fera sentir. Elle décortique à travers des regards croisés les relations de Maxime avec ces deux femmes (bien que Jasmine n’en soit pas totalement une) et tout cela est intéressant et réel, bien analysé (sans excès de psychologie ouf, Freud n’a pas débarqué…) Ceux qui sont en second plan n’en sont pas moins captivants et ne sont pas aussi « lisses » qu’il y paraît. C’est avec bonheur que le lecteur découvrir quelques secrets d’alcôve….plus ou moins nets…. « Pour conserver sa saveur, un secret crapuleux doit se distiller de bouche à oreille, goutte à goutte, comme une essence aromatique. » Je pense qu’Arlette Aguillon a dû avoir beaucoup de plaisir à écrire ce roman décoiffant. Il est bien sûr classé en collection « suspense » chez Archipel mais il mérite une mention spéciale pour le bon moment qu’il fait passer au lecteur. * page 43 L’écriture, c’est de l’image et de l’émotion en conserve : tu ouvres la boîte et le parfum intact te saute à la figure.* Ne me demandez pas pourquoi, je ne sais pas… Mais lorsque je serai en retraite, j’ai bien envie de commencer une collection de photos de ronds-points … Certains sont très originaux et racontent presque une histoire… Mais, maintenant que j’ai lu le roman d’Arlette Aguillon, je me demande si je ne vais pas changer mon fusil (ou plutôt mon Canon (excusez le mauvais jeu de mots)) d’épaule. Bref, tout est histoire de regards, finalement…. Si je photographie de loin, je ne m’expose pas à de mauvaises surprises… Désopilant et décapant, ce roman est une véritable bouffée d’oxygène. C’est un savoureux cocktail d’enquête policière et de description d’un coin du Sud habité de personnages truculents, se trouvant dans des situations multiples, plus ou moins cocasses, mais toutes retranscrites avec un langage qui sent bon la vie et un à propos de bon aloi. Car avouons-le, on rit, on jubile au contact de Maxime qui raconte (en italiques dans le texte) en commençant par la page deux (les romans, c’est comme les chroniques de livres, le plus difficile, c’est le début). Donc, on suit...
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  • BMR 31/05/2015
    Il aura fallu pas mal de recommandations de ci de là pour nous inciter à passer outre cette couverture affublée d’un titre à la noix, L’assassin est à la plage, et d’une signature tout à fait inconnue de nos services, celle d’Arlette Aguillon. Peux pas dire que ça sente l’opération marketing ! Mais les premières pages (miracle du ebooking) ont achevé de nous convaincre que ce choix improbable n’était finalement pas mauvais et pouvait même être LE bouquin idéal pour les plages cet été et pas seulement à cause du titre et pas seulement parce que ça se passe dans le Var. Non, plutôt parce que c’est frais, bourré d’humour souvent finaud, parce que c’est sans prétention (ça c’est appréciable) ni prise de tête. En prime, c’est plutôt bien écrit et derrière l’humour potache qui sait rester de bon ton, se cache à peine une plume fort bien maîtrisée et joliment travaillée. Dame Aguillon, plutôt habituée des romans historiques et de terroir, fait preuve ici d’un humour savoureux mais sa prose hilarante sait rester élégante. D’ailleurs il est pas mal question d’écriture dans ce bouquin : un journaliste, une académicienne, un mystérieux manuscrit, … et même le roman lui-même ponctué de pages 2 hilarantes et successives car il est beaucoup plus difficile d’écrire la page 1 qui va bien, tout le monde sait cela. On se bidonne tout du long de ce roman farceur qui n’a de polar que l’étiquette car il s’agit surtout de passer un très bon moment, plein de bonne humeur et de francs sourires, en compagnie de Dame Aguillon et de toute une galerie de personnages. À commencer par l’académicienne Madeleine et le jeune gigolo Maxime. Citons une interview d’Arlette Aguillon : […] Madeleine est une synthèse d’Edmonde Charles-Roux, Liliane Bettencourt et Jane Fonda. […] Maxime doit beaucoup, et jusqu’à son prénom, à un adorable petit élève que j’ai eu il y a une vingtaine d’années. Alors un polar quand même ? [...] — Si je comprends bien, c’est un roman policier ? — Pas seulement, monsieur… pas seulement… Et elle repart de plus belle : de l’action, du suspense, mais aussi de l’amour et même du sexe. Oui polar, s’il l’on insiste un peu pour s’intéresser à la mince intrigue qui sert de prétexte à toutes sortes de rencontres puisqu’un serial-killer sème des cadavres à tous les ronds-points du village, au grand dam de la maréchaussée … À notre tour donc, on ne saurait donc trop vous recommander de franchir le pas de cette couverture qui cache bien son jeu, pour une savoureuse et amusante balade dans le Midi en compagnie de Dame Aguillon et de tous ses personnages.Il aura fallu pas mal de recommandations de ci de là pour nous inciter à passer outre cette couverture affublée d’un titre à la noix, L’assassin est à la plage, et d’une signature tout à fait inconnue de nos services, celle d’Arlette Aguillon. Peux pas dire que ça sente l’opération marketing ! Mais les premières pages (miracle du ebooking) ont achevé de nous convaincre que ce choix improbable n’était finalement pas mauvais et pouvait même être LE bouquin idéal pour les plages cet été et pas seulement à cause du titre et pas seulement parce que ça se passe dans le Var. Non, plutôt parce que c’est frais, bourré d’humour souvent finaud, parce que c’est sans prétention (ça c’est appréciable) ni prise de tête. En prime, c’est plutôt bien écrit et derrière l’humour potache qui sait rester de bon ton, se cache à peine une plume fort bien maîtrisée et joliment travaillée. Dame Aguillon, plutôt habituée des romans historiques et de terroir, fait preuve ici d’un humour savoureux mais sa prose hilarante sait rester élégante. D’ailleurs il est pas mal question d’écriture dans ce bouquin : un journaliste, une académicienne, un mystérieux manuscrit, … et même le roman lui-même ponctué de pages 2 hilarantes et...
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  • jeannedesaubry 23/09/2014
    Zut ! Je viens de terminer ce livre, et franchement j’aurais bien continué un jour ou deux à rire aux pirouettes des fins de chapitres, aux truculents dialogues avé l’assent du Sud, aux absurdités débitées savamment… Bref, à tout ce qui fait le sel d’un roman réussissant l’exploit d’être bâti au petit poil, sans se prendre un instant au sérieux. Je vais tenter de vous en dire un mot, tout en redoutant de rester très loin du charme des situations légères et graves en même temps, de ne pas rendre assez hommage aux personnages à la fois hauts en couleur et terriblement humains. Plutôt que de déflorer l’histoire, je vous dirai que je suis tombée quasi amoureuse de Maaaaxime, vingt-six ans, craquant avec sa fossette, là. Et que je prendrais volontiers le thé avec Madeleine, quatre-vingts printemps, qui succombe au charme solaire du jeune homme. Comment ne pas s’émouvoir des affres de l’attachement de Maxime pour la vieille dame (Au secours, je tourne gérontophile !) mais aussi pour la gamine qu’on lui colle dans les pattes et qui le fait tourner en bourrique (Non, je ne suis pas pédophile ! ) ? Et ces chômeurs de Florange qui débarquent méfiants dans le Sud avant de s’en éprendre ? Et cette vieille toquée qui croit à la fin du monde, et le coiffeur gay si émotif…Le Sud… tout comme les personnages, il tient un rôle essentiel. La plage, le pastis, les règles dont on s’affranchit, la bonhommie des gendarmes. Malgré tout ce que je viens de vous raconter, ce roman se situe résolument aux antipodes de la Pagnolade. C’est l’effet de l’écriture, de l’auteur qui décide de ne pas prendre grand-chose au sérieux. Surtout pas, les choses graves. Mais qui s’attache aux détails qui font le sel de la vie. lire la suite sur le blog de Jeanne DesaubyZut ! Je viens de terminer ce livre, et franchement j’aurais bien continué un jour ou deux à rire aux pirouettes des fins de chapitres, aux truculents dialogues avé l’assent du Sud, aux absurdités débitées savamment… Bref, à tout ce qui fait le sel d’un roman réussissant l’exploit d’être bâti au petit poil, sans se prendre un instant au sérieux. Je vais tenter de vous en dire un mot, tout en redoutant de rester très loin du charme des situations légères et graves en même temps, de ne pas rendre assez hommage aux personnages à la fois hauts en couleur et terriblement humains. Plutôt que de déflorer l’histoire, je vous dirai que je suis tombée quasi amoureuse de Maaaaxime, vingt-six ans, craquant avec sa fossette, là. Et que je prendrais volontiers le thé avec Madeleine, quatre-vingts printemps, qui succombe au charme solaire du jeune homme. Comment ne pas s’émouvoir des affres de l’attachement de Maxime pour la vieille dame (Au secours, je tourne gérontophile !) mais aussi pour la gamine qu’on lui colle dans les pattes et qui le fait tourner en bourrique (Non, je ne suis pas pédophile ! ) ? Et ces chômeurs de Florange qui débarquent méfiants...
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