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Le carrefour des Ecrasés
Les enquetes de Victor Legris T3
Date de parution : 01/09/2011
Éditeurs :
12-21

Le carrefour des Ecrasés

Les enquetes de Victor Legris T3

Date de parution : 01/09/2011

Le Carrefour des Écrasés, situé entre la rue Montmartre et le Faubourg Poissonnière, porte bien son nom. En ce mois de novembre 1891, le corps « sans visage » d'une jeune...

Le Carrefour des Écrasés, situé entre la rue Montmartre et le Faubourg Poissonnière, porte bien son nom. En ce mois de novembre 1891, le corps « sans visage » d'une jeune femme est découvert au petit matin sur le carrefour. Tout de rouge vêtue, la jeune femme ne portait pas de...

Le Carrefour des Écrasés, situé entre la rue Montmartre et le Faubourg Poissonnière, porte bien son nom. En ce mois de novembre 1891, le corps « sans visage » d'une jeune femme est découvert au petit matin sur le carrefour. Tout de rouge vêtue, la jeune femme ne portait pas de chaussures.
Ce même jour, un certain Grégoire Mercier, « berger en chambre » rue des Reculettes (XIIIe arrondissement), rapporte à Victor Legris, libraire et enquêteur à ses heures, un escarpin rouge de femme, contenant, en guise de semelle, le papier à en tête de sa librairie de la rue des Saints-Pères.
Claude Izner, dans cette troisième aventure de l'intrépide Victor Legris et de son truculent commis, Joseph, nous entraîne de nouveau dans un merveilleux voyage au coeur du Paris de la fin du XIXe siècle.

« Tout y est, le style, l'ambiance aussi savoureuse que les dessins de Tardi,  l'humour et cet amour des livres sans lequel il n'y aurait pas de bonne littérature populaire. »
T.H., Dauphiné libéré

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EAN : 9782264055149
Code sériel : 3580
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782264055149
Code sériel : 3580
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • cvd64 27/06/2023
    Retour en arrière pour ce titre n'ayant pas lu la série dans l'ordre de parution; cela nous permet de vivre des révélations comme des flash-back qui n'ont pas eu d'incidence fondamentale lors des autres lectures. Comme toujours, Victor Legris accompagné de Joseph , commis dans la librairie sont happés par une nouvelle enquête qui touche de près un autre personnage récurrent, Mr Mori. Une foultitude de détails sur le Paris de la Fin du 19ème siècle, tant architectural que culturel ou bien encore sur les mœurs et coutumes à la mode en ce temps là. Des références tels que la malle Gouffé, le chat noir , le moulin rouge et ses habitués viennent compléter le décor. une bonne cuvée que cet épisode.
  • jcjc352 19/06/2023
    Une petite enquête de Victor Legris ,libraire de son état et enquêteur privé à ses moments perdus, une marotte comme une autre. Un chausson de danse rouge échoué à sa librairie, récupéré par son fidèle commissionnaire et adjoint enquêteur après son service, va le lancer, bien malgré lui sur la piste d’un sordide « tueur en série » du moins tueur qui travaille sur le long terme Voilà pour le sujet Quand à l’intrigue pour le coupable si on découvre petit à petit son profil et qu’on subodore de prochaines exactions sanguinaires il reste néanmoins suffisamment mystérieux et hors de portée du lecteur pour laisser à Monsieur Victor Legris le soin de chercher et conclure Le livre baigne dans le Paris fin du XIX début du XX l’age d’or de la capitale On reprochera à Liliane et Laurence l’ abus de L‘utilisation de la période et tous les poncifs qui en découlent. Le moulin rouge et sa faune, ces célébrités illustres: peintres, La Goulue, Valentin Le Désossé, les bourgeois et aristocrates qui s’encanaillent, le chat noir et ses artistes. Elles en font une surconsommation qui ressemblent fort à du remplissage certes agréable car on aime bien cette période fastueuse et très idéalisée de Paris mais du remplissage quand même car le sujet est inépuisable. En parallèle et pour renforcer cette impression de parisianisme pour celui qui n’avait pas encore remarqué, elles insistent pesamment sur le langage des petits parisiens de l’époque avec des dialogues pleins de gouaille au possible. Les Izner auraient pu quand même ajouter quelques lyonnaiseries car nombre des personnages sont des gones et faire l’impasse sur le patois très beauceron du chevrier. Ces petits artifices d’écriture sont assez gênants Pour corser le tout au niveau de la forme elles font un usage abondant de maximes du cru, vraies ou inventées (comme celles de S.Tesson) et de petites phrases répétitives, expressions bonasses dans la bouche de personnage pour faire plus populacier. Encore de l’artifice mal employé. Tsss ! Tsss ! Le ton est assez léger et convient bien à l’époque On croirait avoir a faire avec du Leroux ou du Leblanc d’ailleurs le nom du héros Legris, Victor de surcroît, en dit long Du suspens, de l’ intrigue, de la narration aisée à la portée de tous, des personnages sympas... What’else pour un petit polar franchouillard ? Un bon petit expresso pour veiller tard ! Une petite enquête de Victor Legris ,libraire de son état et enquêteur privé à ses moments perdus, une marotte comme une autre. Un chausson de danse rouge échoué à sa librairie, récupéré par son fidèle commissionnaire et adjoint enquêteur après son service, va le lancer, bien malgré lui sur la piste d’un sordide « tueur en série » du moins tueur qui travaille sur le long terme Voilà pour le sujet Quand à l’intrigue pour le coupable si on découvre petit à petit son profil et qu’on subodore de prochaines exactions sanguinaires il reste néanmoins suffisamment mystérieux et hors de portée du lecteur pour laisser à Monsieur Victor Legris le soin de chercher et conclure Le livre baigne dans le Paris fin du XIX début du XX l’age d’or de la capitale On reprochera à Liliane et Laurence l’ abus de L‘utilisation de la période et tous les poncifs qui en découlent. Le moulin rouge et sa faune, ces célébrités illustres: peintres, La Goulue, Valentin Le Désossé, les bourgeois et aristocrates qui s’encanaillent, le chat noir et ses artistes....
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  • biblia 01/01/2021
    a lecture de ce polar historique nous fait passer d'agréables moments, sans « prise de tête », juste pour se détendre, c'est le 3eme d'une série, on y retrouve Victor Legris, libraire et son commis Joseph, son associé Kenji, on fait la connaissance d'Isis, la fille de Kenji. ils évoluent dans le Paris de 1891, Victor fréquente les endroits à la mode, le moulin rouge, sont cités également les théâtres et café-concert à la mode à cette époque, mais aussi les quartiers populaires et le petits peuples qui y habitent. Les personnages fictifs rencontrent des personnages bien réels de cette époque : peintres, musiciens, écrivains, poétes, chansonnier, journalistes, comme Toulouse-lautrec, Alfred Stevens, Henri Rivière, Maurice Donnay, Claude Debussy, Erik Satie, Anatole France, Zénaide Fleuriot, Joris Karl Huysmans, Jean Richepin, Charles Cros, Xanrof, Aurélien Scholl, est cité aussi le docteur Charcot, médedin à l'hospice de la Salpêtrière qui a été un pionnier de la médecine neurologique. l'auteur Claude Izner nous fait revivre cette époque avec une foule de détails. Le vocabulaire des personnages est émaillée de mots d'argot, ou d'expressions oubliées. En lisant ce roman, on a à la fois l'intrigue policière intéressante et le contexte historique bien détaillé par l'auteur en postface, à l'instant a lecture de ce polar historique nous fait passer d'agréables moments, sans « prise de tête », juste pour se détendre, c'est le 3eme d'une série, on y retrouve Victor Legris, libraire et son commis Joseph, son associé Kenji, on fait la connaissance d'Isis, la fille de Kenji. ils évoluent dans le Paris de 1891, Victor fréquente les endroits à la mode, le moulin rouge, sont cités également les théâtres et café-concert à la mode à cette époque, mais aussi les quartiers populaires et le petits peuples qui y habitent. Les personnages fictifs rencontrent des personnages bien réels de cette époque : peintres, musiciens, écrivains, poétes, chansonnier, journalistes, comme Toulouse-lautrec, Alfred Stevens, Henri Rivière, Maurice Donnay, Claude Debussy, Erik Satie, Anatole France, Zénaide Fleuriot, Joris Karl Huysmans, Jean Richepin, Charles Cros, Xanrof, Aurélien Scholl, est cité aussi le docteur Charcot, médedin à l'hospice de la Salpêtrière qui a été un pionnier de la médecine neurologique. l'auteur Claude Izner nous fait revivre cette époque avec une foule de détails. Le vocabulaire des personnages est émaillée de mots d'argot, ou d'expressions oubliées. En lisant ce roman, on a à la fois l'intrigue policière intéressante et le contexte historique bien détaillé par l'auteur en postface, à...
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  • sandrine57 14/10/2020
    Qui est cette jeune fille toute de rouge vêtue mais les pieds nus dont le corps sans vie vient d’être retrouvé en ce mois de novembre 1891 ? Quel rapport entre ce crime odieux et l’escarpin rouge qu’un berger vient déposer à la librairie de Victor Legris ? Et pourquoi l’apparition de cette chaussure jette-t-elle précipitamment son associé et père adoptif, Kenji Mori, sur la route de Saint Mandé ? Malgré sa promesse faite à Tasha de ne plus se mêler d’enquêtes policières, le libraire ne peut s’empêcher de suivre la trace de cette mystérieuse chaussure. Ses investigations vont le mener dans les hauts lieux des nuits parisiennes, du Moulin-Rouge au cabaret du Chat noir, dans les pas d’un meurtrier retors et manipulateur. Troisième aventure du libraire Victor Legris et le plaisir est toujours au rendez-vous. Pourtant, l’enquête piétine. Les morts s’accumulent et nul indice ne semble vouloir mener à un suspect. Et puis Victor, même s’il est a priori fort sympathique, cumule tout de même deux gros défauts : sa jalousie maladive et sa tendance à fuir lorsqu’une situation lui déplaît. Malgré cela, le suivre dans les rues de Paris est un régal. Croiser Toulouse-Lautrec attablé au Moulin-Rouge, visiter le service du professeur Charcot à la Salpêtrière, patienter devant le Mont-de-Piété, traverser la capitale en fiacre, partager le repas et les conversations truculentes du commis Joseph et de sa mère, découvrir le métier aujourd’hui disparu de berger en chambre ou encore accueillir les clients en quête de nouveautés littéraires dans la fameuse librairie de la rue des Saints-Pères sont autant de menus plaisirs qui viennent égayer cette sombre histoire de vengeance dont l’ami Victor a bien du mal à dénouer les fils. Mêlant habilement enquête policière et vie privée des personnages (Le mystérieux Kenji Mori dévoile un secret jusqu’ici bien gardé), Le carrefour des écrasés est un opus honnête dans cette série qui nous plonge avec ravissement dans le Paris des cabarets, des poètes, des peintres et des petits métiers. Charmant et distrayant. Qui est cette jeune fille toute de rouge vêtue mais les pieds nus dont le corps sans vie vient d’être retrouvé en ce mois de novembre 1891 ? Quel rapport entre ce crime odieux et l’escarpin rouge qu’un berger vient déposer à la librairie de Victor Legris ? Et pourquoi l’apparition de cette chaussure jette-t-elle précipitamment son associé et père adoptif, Kenji Mori, sur la route de Saint Mandé ? Malgré sa promesse faite à Tasha de ne plus se mêler d’enquêtes policières, le libraire ne peut s’empêcher de suivre la trace de cette mystérieuse chaussure. Ses investigations vont le mener dans les hauts lieux des nuits parisiennes, du Moulin-Rouge au cabaret du Chat noir, dans les pas d’un meurtrier retors et manipulateur. Troisième aventure du libraire Victor Legris et le plaisir est toujours au rendez-vous. Pourtant, l’enquête piétine. Les morts s’accumulent et nul indice ne semble vouloir mener à un suspect. Et puis Victor, même s’il est a priori fort sympathique, cumule tout de même deux gros défauts : sa jalousie maladive et sa tendance à fuir lorsqu’une situation lui déplaît. Malgré cela, le suivre dans les rues de Paris est un régal. Croiser Toulouse-Lautrec attablé au Moulin-Rouge, visiter le...
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  • Domichel 02/04/2020
    Troisième épisode des enquêtes de Victor Legris, libraire de profession et amoureux de la belle Tasha, peintre de son état, « Le carrefour des Écrasés » emmène notre enquêteur amateur dans le quartier du Moulin Rouge. Il va y croiser nombre de personnalités de l’époque, plus ou moins connues dont le plus célèbre reste Toulouse-Lautrec, pensionnaire des bordels et des cabarets qui fleurissent rue Lepic et dans tout Montmartre. Son factotum Joseph et lui vont s’embarquer à la recherche de la famille d’une jeune fille en rouge, retrouvée assassinée près de ce fameux “carrefour” et dont une amie de pension serait très proche de Kenji Mori, énigmatique japonais co-patron de la librairie et attaché depuis toujours à Victor. Sans prétendre passer au second plan l’enquête elle-même, qui est truffée de coups fourrés et de surprises qui vont toucher de près Victor, Claude Izner nous balade dans le Paris canaille où l’on croise marchandes de quatre saisons, petits métiers, filles dites de “mauvaise vie”, gambilleuses de cancan et jeunes escarpes, casquette vissée sur le crâne et surin en poche. Le métro est déjà en place mais les “sapins” sont encore loin d’être au chômage. Je me suis vraiment laissé embarquer dans ces descriptions d’un Paris toujours en transformation, les travaux du Baron Hausmann ne sont pas encore terminés, loin de là. D’ailleurs Claude Izner préfère situer ses intrigues dans les quartiers défavorisés ou en reconstruction plutôt que dans les beaux quartiers déjà élargis et occupés par la “haute”... Peu importe, c’est souvent dans les banlieues provisoires que la vie est la plus trépidante. La “gentrification” (quel horrible vocable) chère à nos “bobos” d’aujourd’hui existait déjà à cette époque. Pour en revenir à notre histoire, Victor aura bien du mal à élucider cette enquête, les apparences sont souvent trompeuses et les témoins ou coupables potentiels ont la fâcheuse habitude de « lâcher la rampe » avant d’avoir parlé. Joseph, lui, saura tirer son épingle du jeu et enfin donner corps à son rêve : prendre la plume pour de bon ! Un bien agréable moment de lecture que je recommande aux amateurs du genre et à ceux du Paris des petits et des sans-grade, que l’on retrouvera dans les récits de Léo Malet avec Nestor Burma... Troisième épisode des enquêtes de Victor Legris, libraire de profession et amoureux de la belle Tasha, peintre de son état, « Le carrefour des Écrasés » emmène notre enquêteur amateur dans le quartier du Moulin Rouge. Il va y croiser nombre de personnalités de l’époque, plus ou moins connues dont le plus célèbre reste Toulouse-Lautrec, pensionnaire des bordels et des cabarets qui fleurissent rue Lepic et dans tout Montmartre. Son factotum Joseph et lui vont s’embarquer à la recherche de la famille d’une jeune fille en rouge, retrouvée assassinée près de ce fameux “carrefour” et dont une amie de pension serait très proche de Kenji Mori, énigmatique japonais co-patron de la librairie et attaché depuis toujours à Victor. Sans prétendre passer au second plan l’enquête elle-même, qui est truffée de coups fourrés et de surprises qui vont toucher de près Victor, Claude Izner nous balade dans le Paris canaille où l’on croise marchandes de quatre saisons, petits métiers, filles dites de “mauvaise vie”, gambilleuses de cancan et jeunes escarpes, casquette vissée sur le crâne et surin en poche. Le métro est déjà en place mais les “sapins” sont encore loin d’être au chômage. Je me suis vraiment laissé embarquer dans ces...
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