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Le Cœur perdu des automates
Patrick Imbert (traduit par)
Date de parution : 13/09/2018
Éditeurs :
12-21
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Le Cœur perdu des automates

Patrick Imbert (traduit par)
Date de parution : 13/09/2018
Moscou, 1709. Un automate reprend vie dans un atelier, aux côtés d’une poupée à la mécanique tout aussi précise et complexe que la sienne, sa soeur. Doués de parole et... Moscou, 1709. Un automate reprend vie dans un atelier, aux côtés d’une poupée à la mécanique tout aussi précise et complexe que la sienne, sa soeur. Doués de parole et d’une âme, ils ont pourtant tout oublié de leur passé. Et de la guerre qui déchire leurs semblables.
De nos jours....
Moscou, 1709. Un automate reprend vie dans un atelier, aux côtés d’une poupée à la mécanique tout aussi précise et complexe que la sienne, sa soeur. Doués de parole et d’une âme, ils ont pourtant tout oublié de leur passé. Et de la guerre qui déchire leurs semblables.
De nos jours. Fascinée par les automates, June parcourt le monde à leur recherche, brûlant de percer leur mystère. Elle possède un étrange legs de son grand-père : une sorte de coeur finement ouvragé, réceptacle, elle le sent, d’un secret intemporel et d’une histoire épique. En effet, si les automates existent depuis la nuit des temps, dissimulés parmi les hommes, le compte à rebours pour leur survie a débuté. Et c’est June qui en détient la clef.
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EAN : 9782823856729
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
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EAN : 9782823856729
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

« Les Cœurs perdus des automates, de Daniel H. Wilson, est le genre de thriller robotique qui mixe automates, Histoire et action effrénée dans une intrigue totalement originale. Imaginez que Terminator rencontre Indiana Jones dans une course folle à travers l'Histoire. Une lecture absolument jubilatoire. » Phillip Margolin

« Les Cœurs perdus des automates est mon nouveau roman historique favori. C'est comme un fantastique hybride de Highlander et Terminator, ou peut-être un croisement entre I, Robot (I. Asimov), La Machine à différences (Gibson & Sterling) avec un soupçon de Blade Runner pour faire bonne mesure. Il se lit comme un steampunk classique sous stéroïdes. En d'autres mots, c'est totalement badass et vous allez adorer. » Ernest Cline
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ephialte 08/09/2023
    Aux États-Unis de nos jours, le grand-père de June lui a légué une pièce de mécanisme récupérée pendant la bataille de Stalingrad après l’apparition d’un mystérieux combattant, elle est devenue chercheuse en automates et parcourt le monde pour en dénicher. Dans la Russie du 18e siècle, Pierre le Grand est mort en laissant derrière lui un avtomat à son image et Héléna une fille mécanique. Ils doivent s’enfuir face à l’hostilité de la tsarine. La base du texte est une fantasy de voyages et de quêtes d’identité parmi l’équivalent steampunk des cyborgs grâce à l’anima, source magique de vie. Le parallèle avec les vampires est manifeste entre l’affaiblissement avtomat avec les siècles, leur organisation en société secrète, le voyage en bateau dans une caisse jusqu’à Londres et leur potentielle immortalité. Les chapitres sont courts et l’action prenante, certaines scènes font penser vaguement à Terminator avec ces traques indépendantes du temps qui passe. L’histoire se déroule sur plusieurs millénaires, d’une antiquité mystérieuse à un passé proche qui voit les deux automates se battre pour connaitre la vérité sur leur création, et débouche sur un présent de plus en plus sombre. L’évolution des automates se heurte à un créationnisme par leur antériorité à l’homme actuel et à l’ombre d’un grand peuple primordial qui plane au-delà de la mémoire. Ce roman sur la question de l’âme d’êtres synthétiques possède assez de maturité pour ne pas seulement s’adresser aux jeunes adultes, à l’image de la noirceur et de la violence dans la trajectoire cruelle de Pierre, dans un combat aux proportions mythologiques.Aux États-Unis de nos jours, le grand-père de June lui a légué une pièce de mécanisme récupérée pendant la bataille de Stalingrad après l’apparition d’un mystérieux combattant, elle est devenue chercheuse en automates et parcourt le monde pour en dénicher. Dans la Russie du 18e siècle, Pierre le Grand est mort en laissant derrière lui un avtomat à son image et Héléna une fille mécanique. Ils doivent s’enfuir face à l’hostilité de la tsarine. La base du texte est une fantasy de voyages et de quêtes d’identité parmi l’équivalent steampunk des cyborgs grâce à l’anima, source magique de vie. Le parallèle avec les vampires est manifeste entre l’affaiblissement avtomat avec les siècles, leur organisation en société secrète, le voyage en bateau dans une caisse jusqu’à Londres et leur potentielle immortalité. Les chapitres sont courts et l’action prenante, certaines scènes font penser vaguement à Terminator avec ces traques indépendantes du temps qui passe. L’histoire se déroule sur plusieurs millénaires, d’une antiquité mystérieuse à un passé proche qui voit les deux automates se battre pour connaitre la vérité sur leur création, et débouche sur un présent de plus en plus sombre. L’évolution des automates se heurte à un créationnisme par leur antériorité à...
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  • Ogrimoire 21/04/2020
    Des automates qui traversent les siècles et les continents, des luttes de pouvoir entre factions, et, au milieu de tout cela, June Stefanov, une humaine que rien n’avait préparée à affronter une telle situation. Tout cela aurait pu – et dû – m’emporter, mais j’ai regardé le bateau s’éloigner depuis le quai. Et je vais essayer de vous dire pourquoi. L’idée et l’histoire sont séduisantes. Les automates anciens sont, déjà, des objets fascinants en soi. On pense naturellement à Vaucanson, et à la naissance de l’ingénierie en France. L’idée additionnelle que ces êtres mécaniques soient plus anciens, qu’ils aient traversé le temps, de la Chine antique à nos jours en passant par toutes les grandes périodes de l’histoire du monde, c’est vraiment quelque chose qui me plait. L’idée de groupes opposés qui s’opposent, si c’est assez classique, cela peut tout à fait fonctionner. On n’imagine pas quelque société que ce soit sans lutte de pouvoir, et, de ce point de vue, cela tient parfaitement la route. En revanche, je n’ai pas du tout accroché à la dimension psychologique de l’histoire, entre Pierre et sa « sœur » Helena. D’abord parce qu’il m’a semblé que cela faisait très anthropocentrique de plaquer ce type de problématique sur ces automates, qui, justement, se distinguent de l’Homme sur de nombreux points, du simple fait qu’ils « vivent » bien plus longtemps. Et le personnage d’Helena m’a semblé particulièrement bizarre : certes, je peux comprendre la difficulté d’une intelligence vive qui serait « bloquée » dans un corps d’enfant. Mais outre le fait qu’elle parvient à régler cette difficulté avec tout le monde, son attitude vis-à-vis de Pierre me semble singulièrement incompréhensible. Bref, je ne vais même pas essayer de justifier ma lecture par des arguments rationnels : cette dimension de l’histoire, qui prend tout de même une bonne place dans le livre, m’a parue peu crédible. Et, comme toujours, lorsque vous commencez à buter sur quelque chose, cela vous sort de l’histoire. Je regrette également que certaines pistes, qui auraient pu donner de l’épaisseur à l’ensemble, ne soient pas exploitées. Ainsi, lorsque l’on découvre June au début du livre, elle parvient à faire fonctionner un automate qui avait été conçu pour délivrer un message. En effet, il s’agit d’un personnage qui écrit. Ce message aurait pu être une pièce d’un puzzle, d’une énigme. Mais, non, pas de mystère. Ou, plutôt, du mystère, mais qui est oublié aussitôt et ne revient pas dans l’histoire. Occasion manquée… La lecture reste plutôt agréable ; il y a de très belles scènes et même quelques morceaux de bravoure. Mais cela ne va pas jusqu’au coup de cœur, pour moi…Des automates qui traversent les siècles et les continents, des luttes de pouvoir entre factions, et, au milieu de tout cela, June Stefanov, une humaine que rien n’avait préparée à affronter une telle situation. Tout cela aurait pu – et dû – m’emporter, mais j’ai regardé le bateau s’éloigner depuis le quai. Et je vais essayer de vous dire pourquoi. L’idée et l’histoire sont séduisantes. Les automates anciens sont, déjà, des objets fascinants en soi. On pense naturellement à Vaucanson, et à la naissance de l’ingénierie en France. L’idée additionnelle que ces êtres mécaniques soient plus anciens, qu’ils aient traversé le temps, de la Chine antique à nos jours en passant par toutes les grandes périodes de l’histoire du monde, c’est vraiment quelque chose qui me plait. L’idée de groupes opposés qui s’opposent, si c’est assez classique, cela peut tout à fait fonctionner. On n’imagine pas quelque société que ce soit sans lutte de pouvoir, et, de ce point de vue, cela tient parfaitement la route. En revanche, je n’ai pas du tout accroché à la dimension psychologique de l’histoire, entre Pierre et sa « sœur » Helena. D’abord parce qu’il m’a semblé que cela faisait très anthropocentrique de plaquer ce type de...
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  • Lovehorse 24/11/2019
    June vie de sa passion : faire renaitre des automates vieux de plusieurs siècles. Mais elle n’est pas la seule à vouloir voir ce que cache leur âme. Quelqu’un semble chercher quelque chose dans le cœur mécanique de ces automates. Alors quand l’un d’entre eux prend contact avec June pour sauver son espèce, la jeune femme se voit embarquer dans une aventure où la frontière entre passé et présent est assez floue … Je tiens tout d’abord à remercier Babelio et les éditions Pocket pour cet envoi qui m’a fait passer un superbe moment de lecture. J’ai trouvé cette histoire originale et captivante. Le fait d’être une bonne partie de l’histoire dans la tête de Pierre, un automate, apporte quelque chose de différent. On découvre une autre vision de notre monde et des hommes, des émotions différentes, des pensées nouvelles, … L’intrigue est bien menée. On avance de chapitre en chapitre, en découvrant de nouveaux éléments de passé qui s’emboitent parfaitement et expliquent les événements du présent. On est vite pris dans cette histoire grâce à son suspense, ses scènes d’action et ses personnages attachants, qu’ils soient humains ou automates. Je recommande ce livre à tous les fans, ou à ceux qui veulent s’initier au genre steampuck. Je précise que Le cœur perdu des automates n’est pas un steampuck très poussé en dehors des automates, ce qui peut permettre aux non-initiés de s’habituer à côtoyer des êtres mécaniques, mais qui pourrait laisser les puristes du genre sur leur faim. Malgré tout, c’est un roman très sympa à découvrir, alors, pourquoi ne pas vous plonger dans les engrenages de ce SF pour y découvrir ce qui s’y cache … June vie de sa passion : faire renaitre des automates vieux de plusieurs siècles. Mais elle n’est pas la seule à vouloir voir ce que cache leur âme. Quelqu’un semble chercher quelque chose dans le cœur mécanique de ces automates. Alors quand l’un d’entre eux prend contact avec June pour sauver son espèce, la jeune femme se voit embarquer dans une aventure où la frontière entre passé et présent est assez floue … Je tiens tout d’abord à remercier Babelio et les éditions Pocket pour cet envoi qui m’a fait passer un superbe moment de lecture. J’ai trouvé cette histoire originale et captivante. Le fait d’être une bonne partie de l’histoire dans la tête de Pierre, un automate, apporte quelque chose de différent. On découvre une autre vision de notre monde et des hommes, des émotions différentes, des pensées nouvelles, … L’intrigue est bien menée. On avance de chapitre en chapitre, en découvrant de nouveaux éléments de passé qui s’emboitent parfaitement et expliquent les événements du présent. On est vite pris dans cette histoire grâce à son suspense, ses scènes d’action et ses personnages attachants, qu’ils soient humains ou automates. Je recommande ce livre à tous les fans, ou à ceux qui veulent s’initier...
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  • RocketBabyDolls 08/11/2019
    Difficile de savoir à quel public s'adresse ce roman. Est-ce du steampunk ? de la littérature adolescente ? je n'ai pas eu cette sensation sur le premier tiers du roman, où j'ai été étonnamment surprise par les descriptions des automates, la mise en place de l'action. Et puis à partir d'un certain moment, l'alternance entre les chapitres très courts et les époques fait un peu perdre le fil principal des 2 histoires en parallèle. On en vient à quelque chose de plus confus, de moins réaliste, pour basculer sur un dernier tiers qui part un peu dans tous les sens, en allant très vite, trop vite, après une mise en place intelligente et progressive. J'ai eu la sensation de travail baclé sur la fin, accentuée par une écriture souvent maladroite, qui ne me genait pas en début de lecture mais qui, accumulée au virage pris par le scénario, en a rendu ma lecture laborieuse jusqu'à la fin. Un concept prometteur qui malheureusement se perd en cours de route.
  • Lanawyn 14/10/2019
    Le livre était prometteur, peut-être en ai-je un peu trop attendu, car j’ai été un peu déçue. L’histoire se déroule avec une alternance de deux époques avec deux narrateurs différents, ceci est intéressant mais un peu penible à la longue, car le fait de ne pas rester longtemps au même endroit nous empêche de bien plonger dans l’histoire. De plus j’ai trouvé la partie des automates plutôt traînante. Pour parler des automates, je trouve que le fait qu’ils aient des sentiments (colère, joie, amour, tristesse,...) est gênant, c’est difficile de concevoir ses sentiments avec leur conception mécanique [masquer] (bien qu’il y ait la justification de l’anima) [/masquer], je trouve qu’il sont plus proches de cyborgs. Autrement, le denouement et l´histoire en générale étaient bien.
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