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Le Dévoreur
Anaïs Bokobza (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 01/03/2012
Éditeurs :
Presses de la cité

Le Dévoreur

Anaïs Bokobza (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 01/03/2012

Pietro est un enfant autiste qui ne parvient à communiquer qu’à travers ses dessins. Cible privilégiée des adolescents de son quartier, il est, un jour, violemment pris à partie par...

Pietro est un enfant autiste qui ne parvient à communiquer qu’à travers ses dessins. Cible privilégiée des adolescents de son quartier, il est, un jour, violemment pris à partie par trois d’entre eux. Traumatisé, il dessine l’agression. Alice, son éducatrice, repère immédiatement un détail : en arrière-plan, un vieil homme...

Pietro est un enfant autiste qui ne parvient à communiquer qu’à travers ses dessins. Cible privilégiée des adolescents de son quartier, il est, un jour, violemment pris à partie par trois d’entre eux. Traumatisé, il dessine l’agression. Alice, son éducatrice, repère immédiatement un détail : en arrière-plan, un vieil homme à l’air inquiétant assiste à la scène.
Le lendemain, le chef de la bande qui a attaqué Pietro disparaît. Ses vêtements sont retrouvés disposés sur le sol comme s’il s’était évaporé… Le vieillard serait-il impliqué ? Maintenant que Pietro l’a dessiné, sera-t-il sa prochaine victime ?

Les terreurs de l’enfance s’incarnent dans ce thriller à vous glacer le sang qui revisite avec efficacité le thème du croquemitaine.

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EAN : 9782258091306
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258091306
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bibliophage 03/09/2013
    Ca commence comme un roman policier (des enfants disparaissent mystérieusement), et puis ça plonge dans le fantastique, à la Stephen King ! Je dois dire que la lecture de la 4e de couv ne m'y avait pas préparée, mais enfin je me suis laissée emporter par les mystérieuses visions de Pietro, petit autiste qui dessine le "croquemitaine", et d'Alice, son éducatrice, à qui les dessins rappelle de sombres souvenirs de son enfance. La tension monte tout au long du roman (même si ça ne m'a pas autant fait flipper qu'un bon vieux Stephen King !), et la fin est à la hauteur du reste. "Si tu y crois, il te voit..."
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