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Le fils de Manhattan
Volume 1
Date de parution : 11/04/2013
Éditeurs :
Belfond

Le fils de Manhattan

Volume 1

Date de parution : 11/04/2013

Imaginez.
Vous vous appelez Cham, Cham Wickware.
Vous êtes un jeune New Yorkais de vingt-sept ans. Le 21. 12. 2012, vous vous faites virer de votre agence de pub. En...

Imaginez.
Vous vous appelez Cham, Cham Wickware.
Vous êtes un jeune New Yorkais de vingt-sept ans. Le 21. 12. 2012, vous vous faites virer de votre agence de pub. En traversant Times Square, votre corps se dissout dans la vapeur d’eau qui surgit d’une bouche d’égout et vous vous retrouvez...

Imaginez.
Vous vous appelez Cham, Cham Wickware.
Vous êtes un jeune New Yorkais de vingt-sept ans. Le 21. 12. 2012, vous vous faites virer de votre agence de pub. En traversant Times Square, votre corps se dissout dans la vapeur d’eau qui surgit d’une bouche d’égout et vous vous retrouvez en 1612, dans la peau d’un jeune Indien qui pourrait être votre double. Vous vous réveillez en 2012, habité par son âme. Tout le monde vous croit fou.
Mais Vol d’Aigle, l’esprit de l’Indien, vous donne d’incroyables pouvoirs chamaniques, à commencer par celui de voyager dans le temps pour accomplir votre mission : retrouver le calumet sacré sans lequel Manhattan va succomber aux forces du mal et du déluge.
Le premier volume d’une série d’aventures fantastiques qui parcourent l’histoire de Manhattan et ses mystères depuis sa création… sous influence indienne et chamanique.


Bruno Garel est l’auteur de Signe de vie (Flammarion, 2004 ; J’ai lu, 2006) et de Source de vie (Flammarion, 2007).

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EAN : 9782714454669
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714454669
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

"Une plume talentueuse et bien documentée, une intrigue qui tient en haleine jusqu’au final plein de surprises ! Un premier tome excellent et qui donne vraiment envie de découvrir la suite !" leschroniquesdemoka.over-blog.com

"Un livre qu’il faut absolument découvrir." lylalibocou.blogspot.fr

"Avec un style très agréable et très addictif, l’auteur nous plonge dans cette histoire qui mêle fantastique, modernité, histoire et influences chamaniques." plume-libre.com

"En bref, un début prometteur à la trame originale, qui nous emporte à la fois dans le Manhattan du 21e siècle et dans le wigwam d’un chaman indien…" bouchondesbois.blogspot.fr

"... Bruno Garel se lance avec une certaine maestria dans le roman fantastique, tendance chamanique. Et la magie finit par opérer si bien qu'on attendra avec une certaine impatience les autres tomes de la série!" Le Dauphiné Libéré

"Cet ouvrage étonnant, mystérieux parfois mythique, nous conduit sur la piste de l'imaginaire d'un auteur sans doute autant passionné par le peuple indiens que la richesse culturelle et architecturale de Manhattan." Var matin

"Un excellent roman d’intrigue où le réel et le fantastique se mêlent pour le grand bonheur du lecteur." fan2fantasy.fr

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • sev95110 25/03/2019
    Aventure fantastique qui parcoure l’histoire de Manhattan et ses mystères
  • Gr3nouille2010 22/05/2013
    L'histoire est originale mais il n'y a pas tant de fantastique que ça... Toutefois, il y a un réel travail de recherche sur le chamanisme et les Amérindiens, c'est très appréciable ! Cham est un jeune New-Yorkais banal si ce n'est qu'il a un lourd destin à assumer... L'histoire commence très simplement : on apprend à connaître Cham, on le suit dans son quotidien, avec les gens qui l'entourent. Tout commence néanmoins très rapidement ! Tout bascule le jour de son anniversaire, le 21 décembre. Pour commencer il perd son travail. Ensuite, il a rendez-vous avec sa mère, une psychanalyste de métier qu'il préférerait ne pas voir très souvent... Mais le meilleur de tout : lorsqu'il part pour son rendez-vous, le voilà qui flotte au-dessus de son corps, en plein milieu du trafic de Manhattan... Lorsqu'il se réveille à l'hôpital, il se rend compte petit à petit qu'il a voyagé jusqu'en 1612 dans la peau d'un Indien et qu'il s'est réveillé avec son âme dans son corps... Quand l'Indien décide de faire quelque chose, Cham n'a plus aucun contrôle sur son corps ! S'ensuit alors de longs moments de réflexions et de recherches pour enfin ce qu'il se passe vraiment... L'histoire se développe très progressivement mais grâce au style de l'auteur qui est très fluide, aux courts chapitres et à ces derniers alternés par différents personnages, on y trouve aucun temps mort ! De plus, il se passe toujours un petit quelque chose de nouveau qui nous permet de continuer notre lecture avec curiosité et grand intérêt. Au début, tout est un peu flou ; on est comme Cham, on ne comprend pas trop ce qu'il se passe, bien qu'on ait les points de vue des autres personnages qui ont un rapport avec le destin de Cham. Mais, petit à petit, on découvre l'ampleur de son rôle, des rôles de chacun même. Il y a pas mal de rebondissements et d'événements surprenants ! Et, comme je le disais, on sent que l'auteur a fait un réel travail sur le chamanisme et les Amérindiens. On s'y croit vraiment et on a donc aucun mal à rentrer dans l'histoire et à l'apprécier, même si l'on n'est pas attiré par cela aux premiers abords. Je ne saurai pas dire si je me suis attachée à un personnage en particulier mais je dois dire qu'aucun ne laisse indifférent ! À commencer par Cham, celui qui est au centre de l'histoire et à qui il arrive toutes sortes de choses pas forcément très drôles (enfin pour lui, parce qu'il y a quand même des situations peu ordinaires qui font sourire). En passant par son meilleur ami Tom, qui est toujours présent bien qu'il ne soit pas toujours aux côtés de Cham. Leur personnalité est différente l'une de l'autre et j'ai beaucoup aimé passer de l'un à l'autre (au niveau des points de vue), cela permettait de ne pas me lasser de l'un d'eux ! Et je finirai avec la mère de Cham qui est presque inoubliable... C'est le genre de femme qu'on ne supporterait pas dans notre propre vie, à toujours analyser chaque comportement, chaque situation et à s'y tenir, peu importe ce que l'on en dit... En tout cas, tous les personnages ont quelque chose à apporter à l'histoire et sont indispensables à la construction du récit. C'est quelque chose que l'on ressent et que l'on ne peut négliger. Outre le fait qu'ils ne sont pas toujours très convainquant dans leur façon d'être (disons qu'il n'y a pas grand chose qui les étonne...), j'ai beaucoup aimé les suivre et découvrir comment ils faisaient évoluer l'histoire ! Pour conclure, c'est un premier tome très intéressant, avec une excellente base et déjà beaucoup de péripéties ! On ne s'ennuie pas et les chapitres courts, ainsi que la plume de l'auteur donne un rythme très agréable à la lecture.L'histoire est originale mais il n'y a pas tant de fantastique que ça... Toutefois, il y a un réel travail de recherche sur le chamanisme et les Amérindiens, c'est très appréciable ! Cham est un jeune New-Yorkais banal si ce n'est qu'il a un lourd destin à assumer... L'histoire commence très simplement : on apprend à connaître Cham, on le suit dans son quotidien, avec les gens qui l'entourent. Tout commence néanmoins très rapidement ! Tout bascule le jour de son anniversaire, le 21 décembre. Pour commencer il perd son travail. Ensuite, il a rendez-vous avec sa mère, une psychanalyste de métier qu'il préférerait ne pas voir très souvent... Mais le meilleur de tout : lorsqu'il part pour son rendez-vous, le voilà qui flotte au-dessus de son corps, en plein milieu du trafic de Manhattan... Lorsqu'il se réveille à l'hôpital, il se rend compte petit à petit qu'il a voyagé jusqu'en 1612 dans la peau d'un Indien et qu'il s'est réveillé avec son âme dans son corps... Quand l'Indien décide de faire quelque chose, Cham n'a plus aucun contrôle sur son corps ! S'ensuit alors de longs moments de réflexions et de recherches pour enfin ce qu'il se passe vraiment... L'histoire se...
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  • tousleslivres 08/05/2013
    Cham Wickware, 27 ans, directeur artistique dans une boite de pub, rêve de voler et de sortir de son corps. Même petit il dit avoir déjà fait cette expérience, mais sa mère (adoptive) psy de surcroît, lui dit qu'il fait ce genre de rêve parce qu'il est adopté et que ses parents (adoptifs) sont loin l'un de l'autre. Tout cela serait du à ce traumatisme de l'abandon. Mais Cham ne croit pas à cette théorie, il a vraiment quitté son propre corps et ses rêves sont de plus en plus explicites. Jusqu'au jour où il trouve une plume d'aigle sur son lit... De nos jours, on n'a pas le droit de posséder ce genre de plume, il faut être descendent d’ancêtres qui pratiquent leur rite religieux... Alors que signifie cette plume... Cham est né le 21 décembre (21-12), il fête aujourd'hui son anniversaire et il se prépare à recevoir ses deux parents. Mais en plein milieu de Time Square, il s’aperçoit que son téléphone portable ne capte plus rien et sa montre c'est arrêtée. A la seconde précise où la pendule marque 12 décembre 2012 (21-12-2012) à 12h 21mn et 12s... Un point lumineux brouille se vue... Il se sent brusquement éjecté de son corps et se s'élève à une centaine de mettre au dessus de lui... Cham a perdu connaissance au beau milieu de la rue, juste au moment où passait Marie avec son bus plein de touristes venus visiter New-York. Cham avait perdu connaissance dans la vapeur d'une bouche d'égout... et cela faisait vingt minutes que l'urgentiste essaie de le réanimer, sans succès. Son accident avait eu lieu une heure au paravent... Un délais bien trop long pour revenir à la vie... Un arrêt cardiaque de 72 minutes au total !!! Pendant ce temps Cham vol comme un aigle au dessus de l'Ile de Manhattan, en un temps où il n'y avait que des pleines et des rochers... Le père de Cham est antiquaire, il n'a pas vu son fils depuis longtemps et c'est ce jour du 21-12-12 qu'il va assembler devant son film l'objet sacré qui transformerait radicalement sa vie ainsi que celle de l'histoire de Manhattan. Ce soir dans la cathédrale John The Divine dédiée au prophète de l’Apocalypse, allait se jouer d'avenir de Cham... Mais c'est sans compter le réveille de Cham, il dit qu'il a volé avec un aigle au temps des Indiens, en 1612... Va commencer pour Cham, une série de choses étranges... Il va surtout devoir rassembler et retrouver toutes les pièces de ce Calumets des Amérindiens qui selon la légende avait été volé le 11septembre 1609 date de l'arrivée de Henry Hudson et de son équipage sur la rive qui portera son nom... Sans quoi, Manhattan sombrera sous le déluge... Une fabuleuse aventure qui se base sur des fais historiques qui retracent la présence des Indiens d’Amérique sur les terres de Manhattan en passant par les attentats du 11 septembre 2001 pour arriver de nos jours tout ça au travers de Cham, ce jeune homme totalement ignorant de ce qu'il est et de ce qu'il représente, qui se trouve en relation psychique avec ses ancêtres et qui va devoir déjouer une légende pour sauver le monde, ou presque... J'ai beaucoup aimé cette vue différente de l’Apocalypse que nous connaissons toutes et tous. Cette nouvelle version est assez surprenante et je trouve qu'elle peut tenir la route, surtout que l'auteur, Bruno Harel, nous fait découvrir d'autres signes qui m’apparaissent intéressants !!! Je ne me souviens pas avoir lu un livre sur l'histoire des Amérindiens, ici j'ai trouvé que l'auteur est habillement arrivé à me plonger tout de suite dans ces légendes. Une intrigue très bien menée, le premier tome d'une série qui promet... Amateur ou amatrice de chamanisme et d'Amérindiens, je vous le conseil et pour les autres, je vous le conseil aussi;) Je tiens à remercier Babelio et les Editions Belfond pour m'avoir envoyé ce livre dans le cadre de « Masse Critique ». Cham Wickware, 27 ans, directeur artistique dans une boite de pub, rêve de voler et de sortir de son corps. Même petit il dit avoir déjà fait cette expérience, mais sa mère (adoptive) psy de surcroît, lui dit qu'il fait ce genre de rêve parce qu'il est adopté et que ses parents (adoptifs) sont loin l'un de l'autre. Tout cela serait du à ce traumatisme de l'abandon. Mais Cham ne croit pas à cette théorie, il a vraiment quitté son propre corps et ses rêves sont de plus en plus explicites. Jusqu'au jour où il trouve une plume d'aigle sur son lit... De nos jours, on n'a pas le droit de posséder ce genre de plume, il faut être descendent d’ancêtres qui pratiquent leur rite religieux... Alors que signifie cette plume... Cham est né le 21 décembre (21-12), il fête aujourd'hui son anniversaire et il se prépare à recevoir ses deux parents. Mais en plein milieu de Time Square, il s’aperçoit que son téléphone portable ne capte plus rien et sa montre c'est arrêtée. A la seconde précise où la pendule marque 12 décembre 2012 (21-12-2012) à 12h 21mn et 12s... Un point lumineux brouille se vue... Il se sent brusquement...
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  • Loucy 04/05/2013
    J’ai reçu Le Fils de Manhattan grâce à une masse critique de Babelio, je tiens donc avant tout à remercier Babelio et les éditions Belfond pour leur confiance. Quand j’ai reçu le mail me proposant ce livre, je dois avouer que je n’en avais pas entendu parler, le résumé me tentait bien. Et je n’ai pas été déçue, je partais sans aucun à priori, n’ayant lu aucune critique. Ce fut un vrai « page turner », je l’ai commencé dans la soirée, et l’ai reposé une fois fini quelques heures plus tard. Nous découvrons donc Cham Wickware, publicitaire pour une compagnie aérienne, New-Yorkais, au début on comprend qu’il est obsédé par les aigles, du moins par un aigle. Nous sommes le 21 décembre 2012, date bien connue vu à quel point nous en avons parlé récemment, mais ce n’est pas que la fin du monde, c’est aussi l’anniversaire de Cham. Mais c’est une fête plutôt gâchée, puisqu’il perd son travail, est possédé par un esprit indien et doit rendre visite à ses parents qui nous apparaissent vraiment particulier. L’antiquaire qui aspire à un grand destin pour son fils et la mère, psychologue, qui semble assez timbrée elle-même. Dans ce livre, nous découvrons le chamanisme, thème que je ne connaissais pas et que je n’avais pas encore croisé dans les livres. J’ai trouvé très intéressant la façon de l’évoquer et ce qu’on en découvre. Ca fait du bien en plus de changer un peu de thématique et de trouver un livre très original comme ça. L’écriture de Bruno Garel est très fluide, on lit les mots, on enchaîne les pages sans s’en rendre compte. En quelques heures j’avais fini le livre sans m’en apercevoir. Les personnages sont attachants, Cham et Marie sont mignons, on a envie de les protéger, Tom est drôle, la mère complètement folle nous atterre un peu. Lorsqu’on finit le tome, on ne tombe pas sur l’éternel cliffhanger, ce que je trouve agréable. Nous ne sommes donc pas obligés de lire le tome 2 ou de râler parce qu’il faudra attendre, il n’y a pas de suspense particulier, bien sûr il reste des choses à découvrir, mais le livre pourrait finir ainsi. Bref, ce fut une très bonne lecture, très agréable, originale. J’ai reçu Le Fils de Manhattan grâce à une masse critique de Babelio, je tiens donc avant tout à remercier Babelio et les éditions Belfond pour leur confiance. Quand j’ai reçu le mail me proposant ce livre, je dois avouer que je n’en avais pas entendu parler, le résumé me tentait bien. Et je n’ai pas été déçue, je partais sans aucun à priori, n’ayant lu aucune critique. Ce fut un vrai « page turner », je l’ai commencé dans la soirée, et l’ai reposé une fois fini quelques heures plus tard. Nous découvrons donc Cham Wickware, publicitaire pour une compagnie aérienne, New-Yorkais, au début on comprend qu’il est obsédé par les aigles, du moins par un aigle. Nous sommes le 21 décembre 2012, date bien connue vu à quel point nous en avons parlé récemment, mais ce n’est pas que la fin du monde, c’est aussi l’anniversaire de Cham. Mais c’est une fête plutôt gâchée, puisqu’il perd son travail, est possédé par un esprit indien et doit rendre visite à ses parents qui nous apparaissent vraiment particulier. L’antiquaire qui aspire à un grand destin pour son fils et la mère, psychologue, qui semble assez timbrée elle-même. Dans ce livre,...
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  • Loucy 04/05/2013
    J’ai reçu Le Fils de Manhattan grâce à une masse critique de Babelio, je tiens donc avant tout à remercier Babelio et les éditions Belfond pour leur confiance. Quand j’ai reçu le mail me proposant ce livre, je dois avouer que je n’en avais pas entendu parler, le résumé me tentait bien. Et je n’ai pas été déçue, je partais sans aucun à priori, n’ayant lu aucune critique. Ce fut un vrai « page turner », je l’ai commencé dans la soirée, et l’ai reposé une fois fini quelques heures plus tard. Nous découvrons donc Cham Wickware, publicitaire pour une compagnie aérienne, New-Yorkais, au début on comprend qu’il est obsédé par les aigles, du moins par un aigle. Nous sommes le 21 décembre 2012, date bien connue vu à quel point nous en avons parlé récemment, mais ce n’est pas que la fin du monde, c’est aussi l’anniversaire de Cham. Mais c’est une fête plutôt gâchée, puisqu’il perd son travail, est possédé par un esprit indien et doit rendre visite à ses parents qui nous apparaissent vraiment particulier. L’antiquaire qui aspire à un grand destin pour son fils et la mère, psychologue, qui semble assez timbrée elle-même. Dans ce livre, nous découvrons le chamanisme, thème que je ne connaissais pas et que je n’avais pas encore croisé dans les livres. J’ai trouvé très intéressant la façon de l’évoquer et ce qu’on en découvre. Ca fait du bien en plus de changer un peu de thématique et de trouver un livre très original comme ça. L’écriture de Bruno Garel est très fluide, on lit les mots, on enchaîne les pages sans s’en rendre compte. En quelques heures j’avais fini le livre sans m’en apercevoir. Les personnages sont attachants, Cham et Marie sont mignons, on a envie de les protéger, Tom est drôle, la mère complètement folle nous atterre un peu. Lorsqu’on finit le tome, on ne tombe pas sur l’éternel cliffhanger, ce que je trouve agréable. Nous ne sommes donc pas obligés de lire le tome 2 ou de râler parce qu’il faudra attendre, il n’y a pas de suspense particulier, bien sûr il reste des choses à découvrir, mais le livre pourrait finir ainsi. Bref, ce fut une très bonne lecture, très agréable, originale. J’ai reçu Le Fils de Manhattan grâce à une masse critique de Babelio, je tiens donc avant tout à remercier Babelio et les éditions Belfond pour leur confiance. Quand j’ai reçu le mail me proposant ce livre, je dois avouer que je n’en avais pas entendu parler, le résumé me tentait bien. Et je n’ai pas été déçue, je partais sans aucun à priori, n’ayant lu aucune critique. Ce fut un vrai « page turner », je l’ai commencé dans la soirée, et l’ai reposé une fois fini quelques heures plus tard. Nous découvrons donc Cham Wickware, publicitaire pour une compagnie aérienne, New-Yorkais, au début on comprend qu’il est obsédé par les aigles, du moins par un aigle. Nous sommes le 21 décembre 2012, date bien connue vu à quel point nous en avons parlé récemment, mais ce n’est pas que la fin du monde, c’est aussi l’anniversaire de Cham. Mais c’est une fête plutôt gâchée, puisqu’il perd son travail, est possédé par un esprit indien et doit rendre visite à ses parents qui nous apparaissent vraiment particulier. L’antiquaire qui aspire à un grand destin pour son fils et la mère, psychologue, qui semble assez timbrée elle-même. Dans ce livre,...
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