Lisez! icon: Search engine
Le grand Elysium Hôtel
Bertrand Géniès (traduit par)
Date de parution : 14/08/2019
Éditeurs :
12-21

Le grand Elysium Hôtel

Bertrand Géniès (traduit par)
Date de parution : 14/08/2019

Mars 1945, un palace abandonné des Alpes autrichiennes, un écrivain, disciple d'Ezra Pound et, comme lui, zélateur du fascisme, entreprend de couvrir les murs et les plafonds du récit de...

Mars 1945, un palace abandonné des Alpes autrichiennes, un écrivain, disciple d'Ezra Pound et, comme lui, zélateur du fascisme, entreprend de couvrir les murs et les plafonds du récit de sa prodigieuse existence. Aux échos de la Chine de 1924 vont se succéder ceux de l'Angleterre et de la France...

Mars 1945, un palace abandonné des Alpes autrichiennes, un écrivain, disciple d'Ezra Pound et, comme lui, zélateur du fascisme, entreprend de couvrir les murs et les plafonds du récit de sa prodigieuse existence. Aux échos de la Chine de 1924 vont se succéder ceux de l'Angleterre et de la France de 1936, puis des Bahamas en 1942. Dans cette fresque décadente et perverse, des personnages insensés, souvent empruntés à la réalité, comme Ribbentrop, Hess, Lindbergh, Hemingway, et surtout ceux qui vont devenir le duc et la duchesse de Windsor, se croisent et se mêlent.

Voici un roman époustouflant où, pour une fois, c'est la fiction qui prend sa revanche sur la réalité : car la littérature, c'est la vérité.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782823869354
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823869354
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bobfutur 22/12/2021
    Chaque livre de cet auteur est une véritable expérience… et cela va être dur à décrire… car pétrie de fascination et de déception… sans pour autant être mitigée… on sent une écriture ultra-sophistiquée, pensée et repensée, construite patiemment et sans en montrer les plans; une vision de l’histoire toute mythologique, mais traitée de manière intimiste. Bref, du très bon paradoxe, à consommer comme charnière, quand on ne sait plus trop bien quoi de rien. … La critique de Sachenka évoque très bien cet interminable problème des traductions de titres, batailles potentielles entre souci d’exactitude du traducteur et stratégie « marketing » de l’éditeur, certains titres en ressortant essorés par le consensus… Celui-ci particulièrement. Ces « Derniers Mots Célèbres » (« Famous Last Words ») nous donnent ici un titre qui devrait appâter le lecteur de John Irving, ou l’amateur des films de Wes Anderson… Sans vraiment trahir, il séduit sans montrer qui il est. … Il s’agit bien d’un palace, dont l’ambiance habituelle devrait séduire les nostalgique de l’époque impériale, sauf que l’action se situe à la fin de la seconde guerre mondiale, y cristallisant les restes d’espoir perdu de ce monde qui disparait. Findley va y installer son narrateur, vrai-faux écrivain-maudit américain, avatar doppelgänger résigné, dont on va tenter de percer les mystères de ses confessions posthumes gravés sur les murs de l’hôtel, à travers les yeux de deux militaires alliés antagonistes, l’un vengeur et dogmatique, l’autre bienveillant et humaniste, et de leur affrontement froid à mesure que le récit se déploie. … Findley aime jongler avec les grandes figures historiques dans ses romans, mêlant éléments biographiques formels et suppositions, voir inventions pures et simples selon ses besoins. Je ne suis jamais complètement à l’aise avec le genre. Ceux ayant lu son « Pilgrim » se souviennent de « ses » Leonard de Vinci et Carl Jung, violemment décrits dans cet autre roman, agréablement décevant... les meilleurs personnages étant ceux les moins développés… Ici, il nous refait le coup de se focaliser sur d’autres mystérieux dépressifs, ce prince de Galles et sa misogynophile épouse, dont quelques paragraphes suffisent à vouloir leur faire avaler pierre par pierre tous les châteaux de la Couronne. Une ambiance de complots permanents, très réussie, jette le trouble sur tout ce que l’on y regarde, brouillant à dessein cette première construction Bien / Mal, qui de toute façon ne tient jamais quand on y met les mains et de l’esprit. … Nous avons donc là une construction ambitieuse, une écriture claire et ciselée, maniérée parfois, au service d’une histoire qui nous replonge dans la Grande, évoquant l’époque où le point Goodwin n’existait pas encore, où les nazis pouvaient être simplement considérés dans ces salons comme bien habillés. Comme à chaque fois, Findley impressionne par sa prose, plongeant à corps défendant le lecteur dans ces solitudes qu’il répugne à appeler folie, tout en se gardant bien d’y apporter quelque remède, témoin résigné de toutes ces histoires insensées. … Son livre « Le Chasseur de tête » reste selon moi son meilleur, celui-ci venant juste ensuite.Chaque livre de cet auteur est une véritable expérience… et cela va être dur à décrire… car pétrie de fascination et de déception… sans pour autant être mitigée… on sent une écriture ultra-sophistiquée, pensée et repensée, construite patiemment et sans en montrer les plans; une vision de l’histoire toute mythologique, mais traitée de manière intimiste. Bref, du très bon paradoxe, à consommer comme charnière, quand on ne sait plus trop bien quoi de rien. … La critique de Sachenka évoque très bien cet interminable problème des traductions de titres, batailles potentielles entre souci d’exactitude du traducteur et stratégie « marketing » de l’éditeur, certains titres en ressortant essorés par le consensus… Celui-ci particulièrement. Ces « Derniers Mots Célèbres » (« Famous Last Words ») nous donnent ici un titre qui devrait appâter le lecteur de John Irving, ou l’amateur des films de Wes Anderson… Sans vraiment trahir, il séduit sans montrer qui il est. … Il s’agit bien d’un palace, dont l’ambiance habituelle devrait séduire les nostalgique de l’époque impériale, sauf que l’action se situe à la fin de la seconde guerre mondiale, y cristallisant les restes d’espoir perdu de ce monde qui disparait. Findley va y installer son narrateur, vrai-faux écrivain-maudit américain, avatar doppelgänger résigné, dont on va tenter...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Mangeur_de_livre 19/04/2020
    A la fin de la seconde guerre mondiale, nous suivons Hugh Mauberley, un écrivain d’origine américaine qui s’est fait l’apôtre du fascisme. Fuyant à la fois les troupes alliées et allemandes, il se retrouve dans un hôtel abandonné des Alpes autrichiennes. Là, il va entreprendre de graver sur les murs son histoire depuis les années 1920. On y croisera beaucoup d’acteurs majeurs de l’époque, hommes politiques, écrivains et surtout le duc et la duchesse de Windsor, tous ensemble au coeur d’une vaste conspiration aux ramifications tentaculaires. Et en filigramme ce récit nous éclaire sur la personnalité, la place et le rôle de Mauberley dans cet écheveau. J’ai eu une sensation mitigée en parcourant le livre. L’idée d’utiliser les évènements et personnages historiques en y ajoutant une dimension (et des personnages) fictionnel(les) pour revisiter l’histoire est très intéressante et alléchante dans sa dimension histoire alternative. Néanmoins, on passe tout le livre à essayer de raccrocher les wagons, et notamment de comprendre en quoi réside le fameux méta-complot. Et à titre personnel, l’architecture du roman m’a perturbé dans le sens où l’essentiel a donc été écrit par Mauberley sur les murs mais concerne des évènements auxquels il n’a pas assisté et qui semblent trop détaillés et précis pour lui avoir été simplement racontés par autrui. Comment pourrait-il disposer d’autant de détails du coup ? Le roman, par ailleurs très bien écrit, demande dès lors de suspendre son incrédulité pour se laisser porter par la plume de l’auteur. Au final, qui est donc Mauberley ? Et essayer de la comprendre est-ce déjà commencer à l’excuser ou à lui pardonner ses écrits et ses actes ? Pour répondre à ces questions passionnantes, il ne vous reste plus qu’à vous plonger dans « Le grand Elysium Hotel » !A la fin de la seconde guerre mondiale, nous suivons Hugh Mauberley, un écrivain d’origine américaine qui s’est fait l’apôtre du fascisme. Fuyant à la fois les troupes alliées et allemandes, il se retrouve dans un hôtel abandonné des Alpes autrichiennes. Là, il va entreprendre de graver sur les murs son histoire depuis les années 1920. On y croisera beaucoup d’acteurs majeurs de l’époque, hommes politiques, écrivains et surtout le duc et la duchesse de Windsor, tous ensemble au coeur d’une vaste conspiration aux ramifications tentaculaires. Et en filigramme ce récit nous éclaire sur la personnalité, la place et le rôle de Mauberley dans cet écheveau. J’ai eu une sensation mitigée en parcourant le livre. L’idée d’utiliser les évènements et personnages historiques en y ajoutant une dimension (et des personnages) fictionnel(les) pour revisiter l’histoire est très intéressante et alléchante dans sa dimension histoire alternative. Néanmoins, on passe tout le livre à essayer de raccrocher les wagons, et notamment de comprendre en quoi réside le fameux méta-complot. Et à titre personnel, l’architecture du roman m’a perturbé dans le sens où l’essentiel a donc été écrit par Mauberley sur les murs mais concerne des évènements auxquels il n’a pas assisté et qui semblent...
    Lire la suite
    En lire moins
  • mainou72 11/04/2020
    Perplexe, c'est le premier mot qui me vient, à la fin de cette lecture. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce livre, il y a des passages vraiment très bien et très prenants, mais je ne peux pas dire non plus que je me suis régalée. Différentes histoires compose ce récit. Celle de l'auteur américain Mauberlay, personnage central du roman, celle du couple Windsor, Wallis et Edouard, des personnages politiques tel que Van Ribbentrop, Ezra Pound, … Et c'est surtout l'histoire d'un complot, d'envie de pouvoir et d'échecs. Enfin l'antagonisme entre les 2 soldats américains qui découvre le "testament" de Mauberlay, est resté pour moi une énigme. un avis mitigé en somme mais Findley reste un auteur que j'affectionne.
  • Katsika 25/05/2017
    Si le roman du canadien Timothy Findley, Le Grand Elysium Hôtel, est intéressant, c'est parce que l'auteur prend tous les chemins contre courant. D'abord il mêle subtilement histoire et fiction et fait d'un nom rencontré dans l'oeuvre d'Ezra Pound le personnage central de son roman. Ainsi l'écrivain Hugh Selwyn Mauberley traverse-t-il les années 1936-1945 en étant toujours dans les lieux où se fait l'histoire. Pourtant, jamais acteur de sa vie et encore moins héros, il n'évolue qu'au sein d'une classe très privilégiée tout acquise au fascisme italien et au nazisme, entraîné dans des intrigues qui touchent au tragique et frisent le rocambolesque. Peu importe que le lecteur ait bien du mal démêler le vrai du faux, l'auteur le plonge dans un univers nauséabond et raffiné, où les notions de respect de l'être humain et de liberté n'ont pas cours. En son centre, le duc et la duchesse de Windsor, bien peu glorieux. Enfin les points de vue son démultipliés, entre autres grâce à une mise en abyme qui permet à deux militaires américains de découvrir en mai 1945, les souvenirs de Mauberley (dont on sait la mort très vite au début du roman), le premier anéanti par le décalage entre le talent de l'écrivain pour qui il eut, pendant des années, une profonde admiration et son avilissement politique, tandis que son supérieur, traumatisé par la découverte des survivants de Dachau, laisse sa haine se déchaîner. Tout dans ce roman est surprenant et subtil. Simplement il faut aimer l'histoire et la politique pour dévorer avec plaisir ce pavé de plus de cinq cents pages.Si le roman du canadien Timothy Findley, Le Grand Elysium Hôtel, est intéressant, c'est parce que l'auteur prend tous les chemins contre courant. D'abord il mêle subtilement histoire et fiction et fait d'un nom rencontré dans l'oeuvre d'Ezra Pound le personnage central de son roman. Ainsi l'écrivain Hugh Selwyn Mauberley traverse-t-il les années 1936-1945 en étant toujours dans les lieux où se fait l'histoire. Pourtant, jamais acteur de sa vie et encore moins héros, il n'évolue qu'au sein d'une classe très privilégiée tout acquise au fascisme italien et au nazisme, entraîné dans des intrigues qui touchent au tragique et frisent le rocambolesque. Peu importe que le lecteur ait bien du mal démêler le vrai du faux, l'auteur le plonge dans un univers nauséabond et raffiné, où les notions de respect de l'être humain et de liberté n'ont pas cours. En son centre, le duc et la duchesse de Windsor, bien peu glorieux. Enfin les points de vue son démultipliés, entre autres grâce à une mise en abyme qui permet à deux militaires américains de découvrir en mai 1945, les souvenirs de Mauberley (dont on sait la mort très vite au début du roman), le premier anéanti par le décalage entre...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Sachenka 02/05/2016
    Le Grand Elysium Hotel. Je n’aime pas ce titre, pareillement pour les libertés que prennent parfois les traducteurs. Certes, le roman commence et se termine à cet endroit, mais l’essentiel de l’intrigue ne s’y déroule pas. Je préfère de loin le titre original : Famous Last Words. On pourrait traduire cela par « Derniers mots célèbres ». Peut-être un peu trop littéral ? Hugh Seldwyn Mauberly. Le roman s’ouvre avec l’arrivée de ce personnage singulier au Grand Elysium Hotel, niché dans les Alpes autrichiennes. Cet auteur obscur fuit l’avancée des troupes soviétiques et américaines et cet hotel inoccupé, où il a jadis séjourné, lui semble le refuge idéal. Malheureusement, ce sympathisant nazi sait que la mort rôde et il décide de se dévoiler son histoire. Ou, du moins, de livrer ce qu’il croit être sa vérité. Il grave sur les murs des quatres chambres de sa suite son parcours. Une sorte de testament. L’intrigue principale commence par sa rencontre avec Wallis Spencer à Shanghaï, au milieu des années 30. Il roule sa bosse en donnant des cours d’anglais aux Russes blancs, qui fuient le communisme. Son amie séduit les hommes riches. Chacun ses atouts… Puis ils se séparent. Mauberly trouve le chemin de l’Europe, trouve sa place dans les cercles intellectuels qui font l’apologie du fascisme. Et ils sont de plus en plus nombreux. Parmi ceux-là, on retrouve Ezra Pound, qui, avec son antiaméricanisme virulant, apporte son soutien à Hitler. Avec lui, Charles Lindbergh et d’autres C’est une incursion dans un milieu très précis de l’entre-deux-guerres. Petite anecdote : Mauberly est le nom d’un personnage d’un poème d’Ezra Pound ! Beau clin d’œil de l’auteur Timothy Findley. Toujours sur le Vieux Continent, Mauberly croise à nouveau le chemin de Wallis, qui porte maintenant le patronyme Simpson, suite à son mariage avec un riche Américain. Mais elle est accrochée au bras d’Édouard VIII d’Angleterre. Ce couple célèbre voyage dans les grandes villes européennes, trainant à sa suite le pauvre écrivain, devenu un indispensable ami. Le roman rejoint l’histoire. L’amour l’emporte, le roi doit abdiquer. Devenus duc et duchesse de Windsor, les nouveaux mariés se retirent en Espagne, trainant toujours Mauberly. Éventuellement, les complots de Rudolf Hesse et Joachim von Ribbentrop se resserreront autour d’eux. Findley joue avec la théorie que les fascistes auraient préparé un complot et voulait se servir du couple royal (reconnu pour ses sympathies nazies) pour prendre le contrôle de l’Angleterre, peut-être même diriger un empire pan-germanique. Bref, Findley ne se contente plus de se servir de l’histoire, il la revisite, un peu à sa manière. Et tous sont écorchés. Les soviétiques qui pourchassent les Russes blancs jusqu’en Chine, les fascistes évidemment, autant les nazis que les partisans espagnols de Franco et les Italiens de Mussolini. Et que dire de ces Américains, qui ont vu les horreurs du camp de concentration de Dachau et qui, dans leur vision très manichésite du monde, se montrent bornés et rancuniers, à l’esprit étroit. Toutefois, Findley ne juge pas. Il aurait été tellement facile de critiquer Mauberly et son entourage, un peu à la manière du colonel Freyberg. Plutôt, il replace l’action dans son contexte. Et si la montée du fascisme était inévitable ? Et si elle avait pour cause l’intransigeance des Alliés ? Surtout, si elle apportait du bien aux peuples accablés par la crise économique. Soyons clair, l’auteur ne fait pas, via Mauberly, l’apologie du nazisme. Il essaie de démontrer comment et pourquoi des gens ont pu s’y tourner, souvent même sans s’en rendre compte. « Famous last words » m’a bien plu. J’ai bien remarquée quelques longueurs, entre autres lors des pérégrinations de Mauberly et d’Isabelle en Espagne et en Italie. Jusque là, l’écrivain avait bien manifesté ses sympathies nazies mais je ne voyais pas comment elles allaient se traduire en geste concret qui allait lui valoir la haine autant des fascistes que des Américains. Surtout que l’histoire s’allongeait à un tel point que je me demandais si le duc et la duchesse de Windsor devenaient les personnages principaux de ce roman. Puis, tout s’est bousculé vers la fin. Toute l’œuvre a pris son sens. C’est un roman qu’il faut lire à tête reposée. Quelququ’un qui le lit d’une traite, sans prêter attention aux détails, sans se laisser imprégner des personnages et de l’atmosphère (de l’époque), s’ennuira forcément. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est roman intellectuel mais il est certain qu’on ne le lit pas pour l’action.Le Grand Elysium Hotel. Je n’aime pas ce titre, pareillement pour les libertés que prennent parfois les traducteurs. Certes, le roman commence et se termine à cet endroit, mais l’essentiel de l’intrigue ne s’y déroule pas. Je préfère de loin le titre original : Famous Last Words. On pourrait traduire cela par « Derniers mots célèbres ». Peut-être un peu trop littéral ? Hugh Seldwyn Mauberly. Le roman s’ouvre avec l’arrivée de ce personnage singulier au Grand Elysium Hotel, niché dans les Alpes autrichiennes. Cet auteur obscur fuit l’avancée des troupes soviétiques et américaines et cet hotel inoccupé, où il a jadis séjourné, lui semble le refuge idéal. Malheureusement, ce sympathisant nazi sait que la mort rôde et il décide de se dévoiler son histoire. Ou, du moins, de livrer ce qu’il croit être sa vérité. Il grave sur les murs des quatres chambres de sa suite son parcours. Une sorte de testament. L’intrigue principale commence par sa rencontre avec Wallis Spencer à Shanghaï, au milieu des années 30. Il roule sa bosse en donnant des cours d’anglais aux Russes blancs, qui fuient le communisme. Son amie séduit les hommes riches. Chacun ses atouts… Puis ils se séparent. Mauberly trouve le...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés