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Le Livre des feux
Christiane Poussier (traduit par), Nelly Markovic (traduit par)
Date de parution : 16/06/2016
Éditeurs :
12-21

Le Livre des feux

Christiane Poussier (traduit par), Nelly Markovic (traduit par)
Date de parution : 16/06/2016
Dans l’Angleterre tourmentée du XIVe siècle, le Régent de Londres charge le coroner John Cranston et frère Athelstan de mettre un terme aux massacres perpétrés par un mystérieux incendiaire
Février, 1381. Un tueur impitoyable connu sous le nom Ignifer – le pyromane – hante Londres, apportant la mort et la destruction dans son sillage. Il semble cibler toutes les... Février, 1381. Un tueur impitoyable connu sous le nom Ignifer – le pyromane – hante Londres, apportant la mort et la destruction dans son sillage. Il semble cibler toutes les personnes impliquées dans le récent procès et la condamnation de la belle Lady Isolda Beaumont, brûlée sur le bûcher pour... Février, 1381. Un tueur impitoyable connu sous le nom Ignifer – le pyromane – hante Londres, apportant la mort et la destruction dans son sillage. Il semble cibler toutes les personnes impliquées dans le récent procès et la condamnation de la belle Lady Isolda Beaumont, brûlée sur le bûcher pour l'assassinat de son mari. Comme le regretté Sir Walter Beaumont était un ami proche du Régent, Jean de Gaunt ordonne à Sir John Cranston et frère Athelstan d'enquêter. Le mort était en sa possession d’une copie du Livre des feux, contenant la formule secrète d'une arme dévastatrice, le Feu grecque. Le manuscrit a disparu depuis, et Gaunt craint qu’il ne tombe entre les mains des Hommes Intègres, une confrérie occupée à mener la Grande Révolte. 
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EAN : 9782823841978
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823841978
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • zakfm 15/07/2021
    Nous retrouvons nos deux enquêteurs, le frère Athelstan et le coroner John Cranston, dans une intrigue beaucoup trop diluée dans les longues descriptions des rues du Londres médiéval. Les personnages secondaires entourant habituellement nos deux héros sont là, mais complètement transparents. Ce ne sera pas ce roman qui me laissera le meilleur souvenir, même si l'écriture de Paul Doherty est toujours aussi agréable.
  • lapetitefadette 13/06/2019
    Frère Athelstan est cette fois confronté à deux énigmes, un miracle dans l'église de sa paroisse qui le laisse dubitatif et des décès par le feu de magistrats impliqués dans la condamnation au bucher d'une lady accusée d'avoir empoisonné son mari. L'un des meilleurs volumes de la série nous entraîne dans les méandres et les turpitudes de l'âme humaine et dans le quotidien d'une période bien tourmentée de l'histoire du royaume d'Angleterre. Plus encore que dans les précédents récits, Altelstan révèle une intelligence, une humanité et une clairvoyance très contemporaine tant les problèmes de ses paroissiens peuvent évoquer des sujets bien actuels.
  • Krout 17/08/2017
    Tiens, il pleut !  Tant mieux, je ne regretterai pas le temps d'écrire cette rubrique jumelée, une idée qui m'est venue ce mardi lors d'une longue et revigorante balade en forêt sous le soleil. Décidément la marche dans les bois, favorise la créativité, c'est vrai.(cf. critique précédente) Mettez vos combinaisons et bouclez vos ceintures pour me rejoindre en orbite dans la station spatiale en compagnie de Christine Montalbetti (cf. prochaine critique). Un peu de patience, il n'y a pas le feu, quoique, je vous explique : nous étions autorisés d'embarquer dans l'espace un livre auquel nous raccrocher (pas facile en état d'impesanteur :)) en cas de mal du pays dans cet univers extrêmement aseptisé qu'est la station (encore plus que le nôtre en occident, dis). Alors j'ai opté pour le livre des feux pouvant à la fois me réchauffer et m'éclairer et puis surtout la promesse de retrouver deux vieilles connaissances : mon cher frère dominicain Athelstan et son ami fidèle le coroner Sir John Cranston. Je les avais quittés il y a quasi deux ans déjà (cf. très vieille critique du 31/8/2015) et je savais que ce serait avec plaisir même s'ils ont connu bien d'autres aventures entretemps. Il est là tout le plaisir de la lecture : changer d'univers à volonté, en un clin d'oeil. Ah retourner à Londres en 1381, y retrouver ses gibets, ses étals et puis ses parfums violents : de musc, de sueur, de sang, de Lys, d'encens qui vous sont lancés sans ménagement à la tête. Aie ça fait mal ! Le moyen-âge où toute cette violence s'étale, des parfums lourds de duperie, de jalousie, de perfidie et .... de crimesssssssss. Et au milieu de toutes ces luttes, la plus importante de toutes : la guerre du feu. Car qui possédera la secret du feu Grégeois dominera. Mais à ce jeu de Monopole pas poli, attention de ne pas tomber sur la case prison qui peut vous emmener tout droit au bucher.  Comme  entremet, entre deux lectures plus raffinées, pour vous mettre tout simplement la joie au coeur offrez-vous une bonne tranche de roastbeef ! Ou plutôt deux : passez par La galerie du rossignol et par ma chronique associée qui vous mettra l'eau à la bouche pour mieux faire connaissance avec frère Athelstan et Sir Cranston. Midi moins le quart, ce n'est pas encore le coup de feu, allez-y pour deux bons moments dont bien sûr il ne restera que des cendres.Tiens, il pleut !  Tant mieux, je ne regretterai pas le temps d'écrire cette rubrique jumelée, une idée qui m'est venue ce mardi lors d'une longue et revigorante balade en forêt sous le soleil. Décidément la marche dans les bois, favorise la créativité, c'est vrai.(cf. critique précédente) Mettez vos combinaisons et bouclez vos ceintures pour me rejoindre en orbite dans la station spatiale en compagnie de Christine Montalbetti (cf. prochaine critique). Un peu de patience, il n'y a pas le feu, quoique, je vous explique : nous étions autorisés d'embarquer dans l'espace un livre auquel nous raccrocher (pas facile en état d'impesanteur :)) en cas de mal du pays dans cet univers extrêmement aseptisé qu'est la station (encore plus que le nôtre en occident, dis). Alors j'ai opté pour le livre des feux pouvant à la fois me réchauffer et m'éclairer et puis surtout la promesse de retrouver deux vieilles connaissances : mon cher frère dominicain Athelstan et son ami fidèle le coroner Sir John Cranston. Je les avais quittés il y a quasi deux ans déjà (cf. très vieille critique du 31/8/2015) et je savais que ce serait avec plaisir même s'ils ont connu bien d'autres aventures entretemps. Il...
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  • Pixis 03/10/2016
    Un bon passe-temps
  • jaiuneheurealire 14/08/2016
    Je termine "Le livre des feux". Où il est question du feu grégeois sans vraiment élucider sa composition. On le saurait! Quelle noirceur dans Londres du XIVè siècle: des mendiants, des coupe-jarrets, des invalides; sans compter les ordures qui parsèment les rues. De quoi perdre le fil de l'intrigue pour mieux nous la résumer dans les ultimes pages du romans. Ces longues descriptions entrainent le lecteur dans un sentiment d'impuissance et d'inconnu, quitte à le perdre parfois, à détourner son attention, à repousser le mystère. Quitte à le lasser de ces redites. Frère Athelstan ne s'en soucie guère outre mesure. Il est le témoin des évènements et seul compte sa tache, comprendre la situation et protéger, d'une certaine manière, ses ouailles. La révélation finale et le raisonnement du frère vaut quand même d'aller jusqu'au bout de la lecture.
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