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Le Livre noir de la mondialisation : 400 millions de morts
Date de parution : 01/10/2020
Éditeurs :
Plon

Le Livre noir de la mondialisation : 400 millions de morts

Date de parution : 01/10/2020
CORONAVIRUS, GUERRES DE PILLAGE, FAIM, MALADIES, ESCLAVAGE MODERNE, POLLUTION… LA MONDIALISATION TUE.
L’épidémie de coronavirus fut un traumatisme mondial profond : près d’un milliard d’êtres humains durent être confinés dans quelque trente-cinq pays et des dizaines de milliers sont morts. Son impact... L’épidémie de coronavirus fut un traumatisme mondial profond : près d’un milliard d’êtres humains durent être confinés dans quelque trente-cinq pays et des dizaines de milliers sont morts. Son impact économique gigantesque fut aussi un révélateur brutal de la dangerosité de la mondialisation. Car si l’épidémie fut le déclencheur de... L’épidémie de coronavirus fut un traumatisme mondial profond : près d’un milliard d’êtres humains durent être confinés dans quelque trente-cinq pays et des dizaines de milliers sont morts. Son impact économique gigantesque fut aussi un révélateur brutal de la dangerosité de la mondialisation. Car si l’épidémie fut le déclencheur de la Grande Récession dans laquelle nous nous débattons encore, la mondialisation, elle, en fut la poudrière.

Concentration extrême de l’appareil industriel mondial en Chine, chaînes mondiales d’approvisionnement fondées sur le zéro stock, marchés financiers débridés, pression générale à la baisse sur les dépenses publiques dont les dépenses de santé : la mondialisation, système économique planétaire, a permis que dans un sinistre effet-papillon, une infection à Wuhan provoque rapidement des morts, des pénuries de toutes sortes et une récession à travers toute la planète.

Les morts du coronavirus, bien que traumatisantes, ne sont cependant que l’arbre qui cache la forêt des victimes de la mondialisation. Nous démontrerons en effet dans ce livre que de 1992 à 2018, la mondialisation a causé plus de 400 millions de morts.

600 000 sont morts de l’invasion américaine de l’Iraq pour prendre le contrôle de ses ressources pétrolières. 6,5 millions sont morts dans des guerres de pillage, en particulier au Congo-Kinshasa pour ses richesses minières. 11 millions sont morts de faim alors qu’assez de nourriture est produite pour alimenter toute l’humanité. 60 millions sont morts sur le poste de travail, c’est-à-dire de la pression mondiale à la baisse sur les conditions de santé et de sécurité de la main d’œuvre. 69 millions sont morts de pollution atmosphérique, c’est-à-dire des rejets toxiques de ce système économique mondial consumériste et productiviste. 256 millions sont morts de maladies pourtant soignables, c’est-à-dire morts de la répartition des ressources plutôt que des maladies elles-mêmes.

Ces plus de 400 millions de morts sont le thème de ce livre noir de la mondialisation.


 
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EAN : 9782259278430
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782259278430
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • BurjBabil 24/02/2021
    Livre engagé, divisé en sept chapitres qui chiffrent chacun les morts dus au système dit « de la mondialisation ». Bien sûr, ce livre fait pendant aux célèbres (et datés) livres noirs précédent dont le but, célébré médiatiquement par les chantres de l'occident merveilleux, était d'ânonner : TINA : there is no alternative. A quoi ? A la mondialisation heureuse (pour les 10%). L'auteur fait donc un travail pédagogique assez rigoureux (c'est l'un des points forts du livre) en expliquant (note méthodologique en fin d'ouvrage) les chiffres obtenus. La limite de ce livre ? En avez-vous entendu parler dans les grands médias qui touchent le grand public, ceux possédés par les 0,1% ? Voilà, vous avez compris. Alors que ces mêmes médias nous ont abreuvé avec les précédents pour nous décourager d'imaginer un autre système, celui-ci restera dans l'ombre. Il ne convaincra donc que les pré-convaincus et bien que méritoire dans sa rigueur, n'a aucune chance de susciter un débat qui serait pourtant intéressant. C'est la dernière partie du livre intitulée « il y a une alternative » où l'auteur expose quelques risques qui nous guettent dans cette course effrénée à la compétition, et pose les contre arguments à maîtriser au cours d'une discussion avec les tenants du TINA, qui est la plus stimulante. Sa réponse : la démondialisation. le tout étant de savoir ce que l'on entend par ce terme car il peut revêtir pas mal de concepts assez différents. Je vous laisse donc le lire, et découvrir Arthur Cecil Pigou et sa taxe « Pigouvienne » qui inspira en son temps John Maynard Keynes. Livre engagé, divisé en sept chapitres qui chiffrent chacun les morts dus au système dit « de la mondialisation ». Bien sûr, ce livre fait pendant aux célèbres (et datés) livres noirs précédent dont le but, célébré médiatiquement par les chantres de l'occident merveilleux, était d'ânonner : TINA : there is no alternative. A quoi ? A la mondialisation heureuse (pour les 10%). L'auteur fait donc un travail pédagogique assez rigoureux (c'est l'un des points forts du livre) en expliquant (note méthodologique en fin d'ouvrage) les chiffres obtenus. La limite de ce livre ? En avez-vous entendu parler dans les grands médias qui touchent le grand public, ceux possédés par les 0,1% ? Voilà, vous avez compris. Alors que ces mêmes médias nous ont abreuvé avec les précédents pour nous décourager d'imaginer un autre système, celui-ci restera dans l'ombre. Il ne convaincra donc que les pré-convaincus et bien que méritoire dans sa rigueur, n'a aucune chance de susciter un débat qui serait pourtant intéressant. C'est la dernière partie du livre intitulée « il y a une alternative » où l'auteur expose quelques risques qui nous guettent dans cette course effrénée à la compétition, et pose les contre arguments à maîtriser au cours d'une discussion...
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