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Le Manège des erreurs
Serge Quadruppani (traduit par)
Collection : Fleuve noir
Date de parution : 05/11/2020
Éditeurs :
12-21
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Le Manège des erreurs

Serge Quadruppani (traduit par)
Collection : Fleuve noir
Date de parution : 05/11/2020
Le commissaire Montalbano, toujours aussi gourmet mais désormais également préoccupé par son propre vieillissement, doit cette fois-ci s’occuper de deux affaires sans lien apparent : celle de l’enlèvement successif de trois... Le commissaire Montalbano, toujours aussi gourmet mais désormais également préoccupé par son propre vieillissement, doit cette fois-ci s’occuper de deux affaires sans lien apparent : celle de l’enlèvement successif de trois belles employées de banque, lesquelles réapparaissent toutes miraculeusement le lendemain des faits, et celle de la disparition d’un don Juan... Le commissaire Montalbano, toujours aussi gourmet mais désormais également préoccupé par son propre vieillissement, doit cette fois-ci s’occuper de deux affaires sans lien apparent : celle de l’enlèvement successif de trois belles employées de banque, lesquelles réapparaissent toutes miraculeusement le lendemain des faits, et celle de la disparition d’un don Juan -vendeur de matériel électronique- dont le magasin a été dévasté par un incendie peu avant.
Afin de résoudre ces deux enquêtes, Montalbano devra dissiper les écrans de fumée qui se dresseront devant lui et ne pas se laisser entraîner par des erreurs qu'il pourrait bien commettre s'il n'y prend garde.
Heureusement, le petit monde du commissariat de Vigàta, avec l’ineffable Catarella en tête, et, de manière plus inattendue, la mafia seront là pour le conseiller et le soutenir.
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EAN : 9782823869859
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
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Code sériel : 99999
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Ils en parlent

Andrea Camilleri est un phénomène.
Richard Heuzé / Le Figaro

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Marie987654321 17/09/2023
    Montalbano est maintenant un homme âgé, toujours commissaire à Vigata et toujours amoureux de la bonne chère et de Livia, mais la passion semble moins présente dans les deux cas. Pas de coup fil orageux avec Livia dans celui-ci! Il est confronté à de curieux enlèvements "pour rien" : des jeunes femmes sont enlevées et libérées peu après sans avoir eu à souffrir de quoi que ce soit de plus que la peur. Cela cache t-il quelque chose? Pour la troisième, le scénario est différent : elle est blessée de multiples coups de couteaux... Parallèlement, un certain Di Carlo, vendeur de matériel électronique, disparait après avoir annoncé qu’il venait de rencontrer la femme de sa vie. Montalbano, on aime ou on n'aime pas .. ! Mais il faut reconnaitre que le temps passant, l'auteur a du mal à tenir la qualité. Camilleri est mort. Tout n'est pas encore traduit. Espérons que ce qui reste saura retrouver le niveau du "tour de la bouée" ou de la "patience de l'araignée".
  • Sonya93h 24/03/2023
    L’inspecteur Montalbano se retrouve avec une série de femmes kidnappée sans brutalité et puis relâchée. Avec le temps, le kidnappeur va monter en brutalité jusqu’à tuer une femme et son compagnon. De là, avec l’aide de l’équipe, il devra démêler cette histoire. Un chouette roman policier, avec une fin inattendue, même si le motif reste un peu classique à mon goût. La traduction ne m’a pas vraiment dérangé, mais plus certaines fautes d’orthographe qui empêchaient de comprendre le sens de la phrase. Note:7/10
  • Melcleon 07/01/2023
    Au terme des 18 chapitres rituels, Camilleri précise que cet épisode de la série des Montalbano, contrairement à la plupart des autres, n'est pas inspiré par un fait divers. L'histoire aborde cependant le thème, quasi omniprésent dans les romans policiers de l'auteur, du poids de la Mafia en Sicile : difficile de ne pas penser aux plus radicales de ses méthodes quand un magasin est la proie des flammes, surtout quand son propriétaire a déclaré à ses voisins commerçants qu'il refusait l'augmentation du "pizzo", l'impôt valant protection. Difficile également de ne pas envisager une exécution en bonne et due forme quand la cause manifeste de la mort d'un homme est une balle ayant traversé son cou de la nuque à la pomme d'Adam. En revanche, que cet homme et le propriétaire du magasin qui a subi un incendie soient une seule et même personne ne plaide pas en faveur de la piste mafieuse. C'est l'une des erreurs commises dans un premier temps par le commissaire Montalbano et son équipe, qui feront fausse route à plusieurs reprises dans la résolution d'une enquête atypique. En réalité, les propos majeurs du roman, en arrière-plan, sont plutôt la vieillesse (celle de Montalbano lui-même, qui s'en inquiète de plus en plus, et celle de deux personnages principaux) et son télescopage avec des sentiments pour lesquels la jeunesse est mieux armée. le commissaire, tout compte fait, a tort de se tracasser : il possède encore une bonne dose de l'agilité intellectuelle lui permettant de confondre un coupable.Au terme des 18 chapitres rituels, Camilleri précise que cet épisode de la série des Montalbano, contrairement à la plupart des autres, n'est pas inspiré par un fait divers. L'histoire aborde cependant le thème, quasi omniprésent dans les romans policiers de l'auteur, du poids de la Mafia en Sicile : difficile de ne pas penser aux plus radicales de ses méthodes quand un magasin est la proie des flammes, surtout quand son propriétaire a déclaré à ses voisins commerçants qu'il refusait l'augmentation du "pizzo", l'impôt valant protection. Difficile également de ne pas envisager une exécution en bonne et due forme quand la cause manifeste de la mort d'un homme est une balle ayant traversé son cou de la nuque à la pomme d'Adam. En revanche, que cet homme et le propriétaire du magasin qui a subi un incendie soient une seule et même personne ne plaide pas en faveur de la piste mafieuse. C'est l'une des erreurs commises dans un premier temps par le commissaire Montalbano et son équipe, qui feront fausse route à plusieurs reprises dans la résolution d'une enquête atypique. En réalité, les propos majeurs du roman, en arrière-plan, sont plutôt la vieillesse (celle de Montalbano lui-même, qui s'en...
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  • Charybde2 02/05/2022
    Une enquête de Salvo Montalbano manquant un peu trop de surprises, et dans laquelle les composantes qui firent la magie de la série semblent un peu trop diffuses et mécaniques. Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2022/05/02/note-de-lecture-le-manege-des-erreurs-montalbano-28-andrea-camilleri/ Comme cela semble arriver depuis maintenant quelques années au commissaire sicilien Salvo Montalbano au début d’une nouvelle enquête, une anecdote presque comique et apparemment totalement anodine, voire légèrement saugrenue, joue bien souvent le rôle d’un rêve prémonitoire rusé vis-à-vis de ce qui va se passer dans le roman. Ce remake-éclair du célèbre combat gidien d’Amédée Fleurissoire contre le moustique, dans « Les caves du Vatican », propose ainsi plusieurs signes secrets annonçant le contenu de ce « Manège des erreurs », vingt-huitième volume des aventures de ce policier Sicilien bougon au grand cœur, gastronome jamais repenti, déployant des trésors de ruse pour échapper aux menées serviles (vis-à-vis du pouvoir et de l’argent) d’une partie de sa hiérarchie, sensible à certaines apparences mais plus encore à ce qui se cache derrière elles, et fort en phase avec les misères systémiques qui traversent cette société à la (grosse) charnière de deux siècles, depuis « La forme de l’eau » en 1994. Hélas, alors qu’Andrea Camilleri est décédé en 2019, et qu’il ne reste désormais, après celui-ci, que cinq volumes de la saga à traduire en français par Serge Quadruppani (qui continue à nous régaler de l’inventivité et de la précision de sa création ad hoc, indispensable pour rendre compte de la langue tripartite si spécifique du maître sicilien, comme il l’explique dans sa préface évolutive au fil des volumes) au Fleuve, une partie de la magie de la série cède maintenant assez souvent à une forme de fatigue existentielle. Dans ce 28ème épisode, publié en 2015 et traduit chez nous en 2020, on ne trouve qu’à l’état de traces trop diffuses la joie culinaire qui enflammait par exemple « Le tour de la bouée » (2003), les ramifications de l’histoire sicilienne qui surgissaient à l’impromptu (« Chien de faïence », 1996, ou « La piste de sable », 2007), les bouillonnements internes du commissariat de Vigata (« L’âge du doute », 2008, ou « Une lame de lumière », 2012), les complexités mafieuses (« Un été ardent », 2006, ou « La pyramide de boue », 2014), les disputes parfois difficiles avec son éternelle fiancée Livia (« La patience de l’araignée », 2004) ou les horreurs parfaitement contemporaines des réfugiés exploités ou laissés à leur sort (« La danse de la mouette », 2009). On sait bien entendu à quel point il est difficile de maintenir le souffle, le charme et la puissance d’une série policière littéraire sur une aussi longue période : on se souvient par exemple de la mélancolie critique et du manque de souffle qui contaminait les dernières enquêtes du Wallander d’Henning Mankell, on constate aileurs les véritables acrobaties auxquelles Ian Rankin est désormais contraint pour maintenir vivantes les aventures de John Rebus, et si Jo Nesbø se tire du défi avec un brio extrême, c’est aussi que chaque volume complexe de sa saga Harry Hole comporte quatre ou cinq fois le nombre de pages d’une intervention moyenne de Salvo Montalbano. N’ayant pu visiblement dans cette dernière longue ligne droite de sa série sortir à chaque fois de son chapeau une intrigue aussi redoutablement tortueuse que dans « La chasse au trésor » (2010) ou dans « Jeu de miroirs » (2011), Andrea Camilleri se contente donc ici, tout particulièrement, de nous proposer le confort complice de retrouvailles toujours bienvenues, quoiqu’il en soit, avec l’étonnante bande rassemblée autour du commissaire irascible, joueur et désormais gentiment vieillissant.Une enquête de Salvo Montalbano manquant un peu trop de surprises, et dans laquelle les composantes qui firent la magie de la série semblent un peu trop diffuses et mécaniques. Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2022/05/02/note-de-lecture-le-manege-des-erreurs-montalbano-28-andrea-camilleri/ Comme cela semble arriver depuis maintenant quelques années au commissaire sicilien Salvo Montalbano au début d’une nouvelle enquête, une anecdote presque comique et apparemment totalement anodine, voire légèrement saugrenue, joue bien souvent le rôle d’un rêve prémonitoire rusé vis-à-vis de ce qui va se passer dans le roman. Ce remake-éclair du célèbre combat gidien d’Amédée Fleurissoire contre le moustique, dans « Les caves du Vatican », propose ainsi plusieurs signes secrets annonçant le contenu de ce « Manège des erreurs », vingt-huitième volume des aventures de ce policier Sicilien bougon au grand cœur, gastronome jamais repenti, déployant des trésors de ruse pour échapper aux menées serviles (vis-à-vis du pouvoir et de l’argent) d’une partie de sa hiérarchie, sensible à certaines apparences mais plus encore à ce qui se cache derrière elles, et fort en phase avec les misères systémiques qui traversent cette société à la (grosse) charnière de deux siècles, depuis « La forme de l’eau » en 1994. Hélas, alors qu’Andrea Camilleri est décédé en...
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  • Baluzo 31/07/2021
    Encore une belle enquête, tortueuse à souhait de Montalbano...qui se laisse embarquer sur une piste qu'il détricote à la fin pour reconnaitre son erreur. A son habitude, il gagne à la fin. Pas d'échanges fleuris dans ce livre entre Montalbano et sa compagne, dommage, je les aime bien!
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