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Le Monde que l'on porte
Date de parution : 09/03/2023
Éditeurs :
Robert Laffont

Le Monde que l'on porte

Date de parution : 09/03/2023
Après le succès de Mademoiselle Papillon, une saga familiale originale : l’histoire d'un clan de femmes puissantes.
Dans la famille de Rose, les femmes règnent. Ce clan joyeux possède sa légende et ses traditions. De mère en fille, elles sont accoucheuses. Le destin de Rose paraît tracé.... Dans la famille de Rose, les femmes règnent. Ce clan joyeux possède sa légende et ses traditions. De mère en fille, elles sont accoucheuses. Le destin de Rose paraît tracé. Jusqu’à ce drame qui va la bouleverser.
À quelques kilomètres de là, Ella se retrouve soudain allongée sur le sol devant...
Dans la famille de Rose, les femmes règnent. Ce clan joyeux possède sa légende et ses traditions. De mère en fille, elles sont accoucheuses. Le destin de Rose paraît tracé. Jusqu’à ce drame qui va la bouleverser.
À quelques kilomètres de là, Ella se retrouve soudain allongée sur le sol devant ses élèves. Les jours passent et l’institutrice s’évanouit encore. Alors qu’elle tente d’élucider ce mystère, ses chutes répétées la poussent à faire ce qu’elle n’aurait jamais imaginé.
Deux femmes, deux voix, deux facettes d’une même histoire. Celle qui commence quand tout semble perdu.

Alia Cardyn offre un récit lumineux sur la quête de soi et la poursuite d’un rêve. Parce que rien n’est plus puissant qu’une génération de gens heureux.
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EAN : 9782221262849
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221262849
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • cecilestmartin 01/04/2024
    Deux femmes, deux narratrices. La première est institutrice, sujette à des malaises qui la prennent subitement alors qu’elle est en classe. Ses jeunes élèves, bien plus avertis qu’elle, en réclamant davantage de démocratie, en questionnant le sens profond de ses missions, vont l’obliger à se réapproprier l’essence même de son métier. La seconde peine à rédiger son mémoire de fin d’étude - dont on ne sait au départ sur quoi il porte. Inscrite dans une lignée de femmes, toutes nommées Rose et toutes sage-femme, il lui faudra faire un retour sur elle-même pour trouver l’origine de sa vocation, une histoire douloureuse à laquelle elle finira par donner du sens. Où l’on retrouve les thèmes chers au cœur de l’auteur d’Archie, la maternité, la transmission, l’éducation comme source d’émancipation, la possibilité de construire un monde d’altérité. J’ai été moins convaincue que par son précédent opus. J’ai trouvé notamment que les scènes avec les enfants manquaient parfois d’authenticité, étaient peu crédibles. Dommage, car l’idée que des petits écoliers puissent remettre en cause l’ordre établi de la classe, mini-société où s’exerce une autorité dénuée de sens parfois, interrogent les adultes sur leur projet éducatif, les poussant dans leurs retranchements au regard de la vacuité des réponses me plaisait beaucoup 😊. J’ai néanmoins beaucoup apprécié la mise en valeur des métiers des personnages - à une époque où leur attractivité est en berne, il est bon d’évoquer ces professionnels qui mettent au monde, éduquent, accompagnent les futures générations ; de rappeler leur rôle fondamental et pourtant si peu valorisé. Deux femmes, deux narratrices. La première est institutrice, sujette à des malaises qui la prennent subitement alors qu’elle est en classe. Ses jeunes élèves, bien plus avertis qu’elle, en réclamant davantage de démocratie, en questionnant le sens profond de ses missions, vont l’obliger à se réapproprier l’essence même de son métier. La seconde peine à rédiger son mémoire de fin d’étude - dont on ne sait au départ sur quoi il porte. Inscrite dans une lignée de femmes, toutes nommées Rose et toutes sage-femme, il lui faudra faire un retour sur elle-même pour trouver l’origine de sa vocation, une histoire douloureuse à laquelle elle finira par donner du sens. Où l’on retrouve les thèmes chers au cœur de l’auteur d’Archie, la maternité, la transmission, l’éducation comme source d’émancipation, la possibilité de construire un monde d’altérité. J’ai été moins convaincue que par son précédent opus. J’ai trouvé notamment que les scènes avec les enfants manquaient parfois d’authenticité, étaient peu crédibles. Dommage, car l’idée que des petits écoliers puissent remettre en cause l’ordre établi de la classe, mini-société où s’exerce une autorité dénuée de sens parfois, interrogent les adultes sur leur projet éducatif, les poussant dans leurs retranchements au regard de la vacuité des réponses me...
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  • la_bouquinerie_d_emilie 27/03/2024
    Bonheur, joie et bienveillance définissent ce roman. Avec une plume lumineuse, Alia Cardin a cette magie incroyable de mettre de la lumière sur les maux de la vie. Rien n'est plus puissant qu'une génération de gens heureux et on en a tellement besoin. Faire des choix, assumer ses envies, comprendre nos maux, apprendre, vivre et profiter de chaque instant.. tout simplement. Comme disait Khalil Gibran : "Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit". Ce roman en est la preuve et quelle ôde à la vie. Une histoire puissamment belle, une plume que j'aime tant, un clin d'oeil à Archie, de l'amour et beaucoup de luminosité. Je ne peux que vous inciter à le lire, l'offrir et le partager autour de vous. Merci la vie de mettre de si jolies histoires sur mon chemin.
  • Livresenchantsthes 14/03/2024
    Bien que ce livre dépasse l'utilisation possible pour des thèmes de discussion on ne peut s'empêcher de penser à ce que nous fabriquent en ce moment les "penseurs" de l'Education Nationale. Mais, justement, au-delà de tout ce qui nous trotte dans la tête comme préoccupations, ce livre mérite mieux que d'être utilisé et plaît à lire et à l'ailleurs d'autres vies.
  • Feel_Isa 19/02/2024
    Je clôture l’année 2023 avec ce beau roman de @aliacardynecrivain Dans ce roman, on va suivre Rose, une jeune femme qui, à l’inverse de toutes les femmes de sa famille, ne veut pas devenir accoucheuse. On va également suivre Ella qui, suite à un malaise devant ses élèves, remet sa vie d’enseignante en question. Nous allons suivre le destin, le cheminement intérieur, les questions existentielles de ces deux femmes tournées vers la jeunesse et c’est du pur bonheur. On va les voir se battre pour leur idéaux et pour trouver leur place dans le monde. Une place qui s’aligne avec leurs aspirations personnelles et qui leur permette de toucher leur rêve du doigt. Petite mention spéciale pour Archie (le personnage principal du roman Archie de la même autrice) qui fait une apparition de le livre. Si tu cherches une bouffée d’air frais, d’amour et de positivisme, je te conseille cette magnifique lecture.
  • jeunejane 15/02/2024
    Ella, jeune institutrice tombe dans sa classe et ressent des malaises inexpliqués. Elle a l'impression de ne pas aimer son métier, que les enfants détestent l'école. Rose fait partie d'une lignée de femmes accoucheuses qui portent le même prénom avec une particularité ajoutée à chaque prénom commun. Elle décide de réinventer cet avenir qui lui est tout tracé. Survient alors cette tragédie. Deux femmes qui ont décidé de prendre leur vie en mains. Comme dans Mademoiselle Papillon ou Archie, la maternité , l'école, la place de l'enfant sont présentes avec ce désir comme dans Archie de changer l'école afin qu'elle soit moins formatée, plus adaptée à chaque enfant. J'ai rencontré un problème dans ma lecture car Alia Cardyn a une écriture poétique mais les thèmes développés sont presque techniques. La différence entre les deux a rendu la compréhension difficile pour moi, m'a empêché de capter l'histoire à fond. mon esprit s'évadait sans cesse. J'ajoute que les citations en début de chapitre concernant Ella sont courtes et extrêmement bien choisies. Je ne peux pas passer à côté de mon passage préféré, celui où Joséphine , institutrice plus ancienne dans l'école , dépasse les bornes en réunion et se fait recadrer par le directeur. elle représente le symbole de l'ancienne école. À la fin du livre, on découvre la documentation que l'auteure a rassemblée et une liste d'extraits musicaux qui, on dirait , suivent une mode demandée par les éditeurs peut-être. J'ai donc relevé des défauts, des qualités et mon avis reste mitigé. Ella, jeune institutrice tombe dans sa classe et ressent des malaises inexpliqués. Elle a l'impression de ne pas aimer son métier, que les enfants détestent l'école. Rose fait partie d'une lignée de femmes accoucheuses qui portent le même prénom avec une particularité ajoutée à chaque prénom commun. Elle décide de réinventer cet avenir qui lui est tout tracé. Survient alors cette tragédie. Deux femmes qui ont décidé de prendre leur vie en mains. Comme dans Mademoiselle Papillon ou Archie, la maternité , l'école, la place de l'enfant sont présentes avec ce désir comme dans Archie de changer l'école afin qu'elle soit moins formatée, plus adaptée à chaque enfant. J'ai rencontré un problème dans ma lecture car Alia Cardyn a une écriture poétique mais les thèmes développés sont presque techniques. La différence entre les deux a rendu la compréhension difficile pour moi, m'a empêché de capter l'histoire à fond. mon esprit s'évadait sans cesse. J'ajoute que les citations en début de chapitre concernant Ella sont courtes et extrêmement bien choisies. Je ne peux pas passer à côté de mon passage préféré, celui où Joséphine , institutrice plus ancienne dans l'école , dépasse les bornes en réunion et se fait...
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