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Le pays du nuage blanc
Jean-Marie Argeles (traduit par)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 01/09/2013
Éditeurs :
L'Archipel

Le pays du nuage blanc

Jean-Marie Argeles (traduit par)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 01/09/2013
« La légende veut que les premiers Maoris arrivèrent en pirogue depuis la Polynésie. La première image qu'ils eurent de la Nouvelle-Zélande fut cette île enveloppée d'un long nuage blanc.... « La légende veut que les premiers Maoris arrivèrent en pirogue depuis la Polynésie. La première image qu'ils eurent de la Nouvelle-Zélande fut cette île enveloppée d'un long nuage blanc. D'où le nom qu'ils lui donnèrent. »Londres, 1852. Helen, préceptrice de deux enfants dans une riche famille, répond à une... « La légende veut que les premiers Maoris arrivèrent en pirogue depuis la Polynésie. La première image qu'ils eurent de la Nouvelle-Zélande fut cette île enveloppée d'un long nuage blanc. D'où le nom qu'ils lui donnèrent. »Londres, 1852. Helen, préceptrice de deux enfants dans une riche famille, répond à une annonce qui propose à des jeunes femmes de partir épouser des Britanniques installés en Nouvelle-Zélande.Sur le bateau qui la mène à Christchurch, elle se lie avec Gwyneira, une jeune noble galloise qui immigre à cause des difficultés financières de son père.L'amitié entre les deux femmes sera indéfectible malgré les épreuves, les désillusions et la haine, surtout, qui déchirera leurs deux familles. Mais elles auront la joie de voir leurs enfants s'unir et inventer une nouvelle vie, en osmose avec les autochtones et la nature.Le Pays du nuage blanc, à la faune et à la flore hors du commun, est un personnage à part entière de cette « saga grandiose sur la colonisation de la Nouvelle-Zélande et la culture des Maoris. » (Der Spiegel)
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EAN : 9782809812442
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 637
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809812442
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 637
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • PriscillaMushu 20/02/2024
    Une fresque incroyable qui nous fait découvrir la nouvelle Zélande au début du 19 ème siècle, quand les anglais sont venus s'y installer. On frôle vraiment le coup de coeur, seules quelques longueurs sur la fin ont un peu gâché mon ressenti général. Ou alors j'ai eu du mal à voir le flambeau se passer de la première génération à la deuxième, et j'aurais voulu rester encore avec Gwyneira et Hélène pendant encore longtemps ( pourtant la relève promettent aussi de belles histoires...) J'adore ces sagas où les destins s'entremêlent, MAIS uniquement si les personnages sont à la hauteur de nous faire supporter un pavé de 700 pages, et c'est le cas ici ! Pas de mièvrerie, ce que je crains toujours avec ce type de roman, mais uniquement des histoires fortes et vraies qui captivent. Il y a bien sûr quelques histoires d'amour qui viennent se greffer, forcément !, mais ce n'est pas le sujet principal de l'histoire. Les héroïnes sont juste géniales. Des femmes fortes, parfois impuissantes face à la misérable place laissée aux femmes à cette époque...mais qui s'adaptent, se battent, rusent et cela quelques soient les coups du sort. Elles ont toutes une belle place dans ce roman ! Il était aussi très intéressant d'en apprendre plus sur le peuple Maori. A l'image de ce qu'on sait sur le triste sort des indiens en Amérique on apprend ici - sans surprise - que la colonisation a surtout apporté beaucoup de négatif, de douleur, de manipulation et d'escroqueries pour les natifs du continent... Pas forcément plaisant à lire mais important à savoir. Je vais m'empresser de me procurer la suite ! Une fresque incroyable qui nous fait découvrir la nouvelle Zélande au début du 19 ème siècle, quand les anglais sont venus s'y installer. On frôle vraiment le coup de coeur, seules quelques longueurs sur la fin ont un peu gâché mon ressenti général. Ou alors j'ai eu du mal à voir le flambeau se passer de la première génération à la deuxième, et j'aurais voulu rester encore avec Gwyneira et Hélène pendant encore longtemps ( pourtant la relève promettent aussi de belles histoires...) J'adore ces sagas où les destins s'entremêlent, MAIS uniquement si les personnages sont à la hauteur de nous faire supporter un pavé de 700 pages, et c'est le cas ici ! Pas de mièvrerie, ce que je crains toujours avec ce type de roman, mais uniquement des histoires fortes et vraies qui captivent. Il y a bien sûr quelques histoires d'amour qui viennent se greffer, forcément !, mais ce n'est pas le sujet principal de l'histoire. Les héroïnes sont juste géniales. Des femmes fortes, parfois impuissantes face à la misérable place laissée aux femmes à cette époque...mais qui s'adaptent, se battent, rusent et cela quelques soient les coups du sort. Elles ont toutes une belle place dans ce roman ! Il était...
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  • lectures_et_champagne 29/11/2023
    L'histoire est prometteuse et j'ai apprécié les 200 premières pages qui permettent de suivre Hélène et Gwyn mais rapidement, l'auteur fait des "saut dans le futur" et avance l'histoire de 10 ans d'un coup. Cela m'a déstabilisé car on ne suit plus uniquement les 2 femmes mais aussi toutes les personnes qui les entourent (Lucas, Howard, Daphné, les jumelles, Georges, les enfants d'Hélène et Gwyn ...). J'ai vite trouvé que l'histoire partait dans tous les sens et je me suis plus d'une fois perdue. De même, je n'arrive pas à comprendre comment les personnages peuvent se retrouver aussi souvent et facilement. En bref, une lecture en demi-teinte qui ne me donne pas envie de poursuivre la saga.
  • Clana 26/11/2023
    Au milieu du XIXè siècle, Sarah et Gwynéira, toutes deux britanniques, font connaissance à bord d'un navire qui les mène vers de lointaines terres australes où les attend leur destin. C'est en Nouvelle-Zélande qu'elles doivent toutes deux rencontrer le futur mari qu'elles n'ont jamais vu. C'est là que se poursuivront leurs vies, qu'elles feront face aux déceptions, aux déconvenues, à la brutalité des hommes et à la précarité des conditions de vie dans ce "nouveau monde". Là qu'elles se révèleront, avec force et courage. Un grand souffle romanesque nous happe dès les premières pages de ce récit où sont réunis tous les ingrédients qui font le succès des grandes sagas: des personnages typés, des pays lointains, des conflits, des sentiments, des traques, des horreurs, du courage, de l'amour... Bref, on éprouve le même plaisir à lire ce roman que celui qu'on pouvait éprouver à regarder les séries d'antan, qui ne se déclinaient pas en "saisons" mais en "épisodes", dont on attendait la suite avec impatience d'une semaine à l'autre, et dont les personnages finissaient par nous paraître si familiers. Le style de Sarah Lark est agréable et précis, ses recherches sérieuses pour nous faire découvrir la Nouvelle-Zélande, ses habitants maoris et les colonies britanniques, ses paysages grandioses, ses chercheurs d'or et ses éleveurs de moutons. Un gros pavé qui nous tient en haleine sans jamais nous lasser.Au milieu du XIXè siècle, Sarah et Gwynéira, toutes deux britanniques, font connaissance à bord d'un navire qui les mène vers de lointaines terres australes où les attend leur destin. C'est en Nouvelle-Zélande qu'elles doivent toutes deux rencontrer le futur mari qu'elles n'ont jamais vu. C'est là que se poursuivront leurs vies, qu'elles feront face aux déceptions, aux déconvenues, à la brutalité des hommes et à la précarité des conditions de vie dans ce "nouveau monde". Là qu'elles se révèleront, avec force et courage. Un grand souffle romanesque nous happe dès les premières pages de ce récit où sont réunis tous les ingrédients qui font le succès des grandes sagas: des personnages typés, des pays lointains, des conflits, des sentiments, des traques, des horreurs, du courage, de l'amour... Bref, on éprouve le même plaisir à lire ce roman que celui qu'on pouvait éprouver à regarder les séries d'antan, qui ne se déclinaient pas en "saisons" mais en "épisodes", dont on attendait la suite avec impatience d'une semaine à l'autre, et dont les personnages finissaient par nous paraître si familiers. Le style de Sarah Lark est agréable et précis, ses recherches sérieuses pour nous faire découvrir la Nouvelle-Zélande, ses habitants maoris et les colonies...
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  • mamzelleoups 03/07/2023
    Hélène est gouvernante dans une riche famille londonienne lorsqu'elle décide de répondre à une petite annonce matrimoniale. Là voilà partie en Nouvelle-Zélande épouser un inconnu, dont les lettres la font rêver. Sur la bateau, elle rencontre Gwyneira, une jeune noble promise elle aussi à un inconnu néo-zélandais. Une forte amitié se noue entre les deux femmes, contraintes de s'adapter à une nouvelle vie au milieu des élevages de moutons. Je me suis laissée portée par cette longue histoire de femmes au milieu du XIXe siècle. La plume est fluide, le tout est un mélange d'aventure, de tranches de vie et de romantisme agréable à lire. Cependant, j'ai un peu tiqué sur des erreurs (typographie, inversion des prénoms à au moins deux reprises, éléments peu crédibles historiquement...). Mais l'histoire m'a assez emportée pour me donner envie de lire la suite en oubliant ces désagréments.
  • YsaM 12/01/2023
    Ce roman retrace le parcours de deux femmes que tout sépare mais qui vont devenir amies. L’histoire commence en Angleterre, à Londres, en 1852, une époque où la femme n’a pas de statut, doit se marier, gérer la maison et élever des enfants. Hélene est préceptrice dans une famille d’aristocrates. Elle est célibataire, âgée de 26 ans (un âge où il n’est pas bien vu de ne pas être mariée). Elle est fille de Pasteur, ses parents sont décédés, elle fréquente régulièrement la paroisse et un matin voit une annonce qui propose de mettre en relation -en vue d’un mariage- des jeunes femmes Anglaises avec des Messieurs de Nouvelle-Zélande dont l’excellente réputation est garantie. Hélène décide de répondre et entame une correspondance avec un certain Howard O’keefe, mais la Nouvelle-Zélande c’est loin, il faut trois mois pour acheminer le courrier et autant pour avoir un retour. Un matin, la paroisse la contacte par rapport à son envie de fonder un foyer en Nouvelle-Zélande et lui propose de convoyer des orphelines qui sont envoyées là bas pour être au service de familles Anglaises qui vivent sur place, ça lui permettra de partir plus vite et surtout, son voyage est payé. Hélène n’hésite pas un seul instant, elle s’embarque à bord du voilier avec 6 fillettes, la plus âgée n’a que 13 ans, Howard n’est pas prévenu, ce sera une surprise. Gwyneira est issue d’une famille d’aristocrates, les Sylkam, elle a 17 ans, d’une beauté à couper le souffle. Elle a reçu une éducation noble mais préfère s’occuper des chevaux (elle est une cavalière émérite) et de dresser ses border collies qui ont obtenu plusieurs prix. Elle vit dans un magnifique domaine où son père élève des moutons, il est réputé pour avoir les plus belles bêtes, il commence aussi à être un peu désargenté (toutes proportions gardées). Ils accueillent Gérald Warden qui est éleveur de moutons en Nouvelle Zélande et qui vient pour acheter les meilleures bêtes afin d’enrichir son troupeau qui compte des milliers de têtes. L’homme est veuf et a construit un empire sur ses terres de Kiward station. Il est tout de suite attiré par Gwyneira mais il se sait trop âgé pour elle, aussi, lors d’une partie de poker, alors que le whyskie coule à flot et que Lord Sylkam est à court d’argent pour la mise, il lui propose carrément de jouer Gwyneira, si il gagne, il l’emmène chez lui où elle épousera son fils, un charmant jeune homme qui est, parait-il très beau. Terence Sylkman accepte et bien évidemment perd la partie, le destin de Gwyneira vient d’être scellé. Elle embarque à bord du Dublin, un immense voilier qui fait le trajet jusqu’à Lytteltown. Gérald Warden lui a permis d’emmener son cheval et son chien, avec les autres animaux qu’il a achetés. Elle voyage en première classe, une cabine somptueuse qui va lui être bien agréable durant les trois mois de traversée. Hélène est-elle aussi à bord du voilier mais en troisième classe, dans le fond du navire, logée avec les orphelines et comble de l’inconfort, les animaux sont tout près dans un espace spécialement aménagé pour eux. C’est comme ça qu’elle fait la connaissance de Gwyneira qui vient tous les jours voir son cheval pour le nourrir. Bien que les jeunes femmes soient différentes de caractère et de condition sociale, elle s’entendent tout de suite. Quand elles arrivent en Nouvelle Zélande, elles doivent se séparer, avec la promesse de se revoir très vite. Pour Hélène c’est la douche froide, Howard O’Keefe n’est pas du tout le gentleman qu’elle pensait, c’est un rustre qui possède une toute petite baraque en bois dans un trou perdu, il est désargenté, et surtout il boit. La jeune femme comprend bien vite mais c’est trop tard pour faire marche arrière. Elle pourrait renoncer à l’épouser, trouver un emploi de préceptrice, mais elle accepte de suivre Howard et elle comprend bien vite que ce n’est pas une épouse qu’il cherche mais une femme pour s’occuper de la maison et de la ferme. Gwyneira est mieux lotie, elle est d’abord époustouflée par les paysages et Gérald ne lui a pas menti, le domaine est magnifique et la maison aussi, elle est très grande et meublée avec classe. Il y a une écurie pour les chevaux, des hangars pour les moutons et autres, des jardins et deux domestiques pour l’intendance. Gwyneira a la surprise de trouver une chambre entièrement préparée par Lucas, le fils de Gérald, il a tout meublé chichement et Gérald n’a pas menti, Lucas est très beau et plaît tout de suite à Gwyneira. La jeune femme est heureuse, elle va pouvoir commencer une nouvelle vie, faire de grandes balades à cheval, tenter de s’immiscer dans l’élevage des moutons, Gérald organise aussi de somptueuses fêtes, la vie devrait être belle. Tandis que le mariage d’Hélène est fait à la va vite avec juste deux témoins et une nuit de noce désastreuse, celui de Gwyneira est célébré en grandes pompes avec le gratin des villes voisines. Ce que Gwyneira ignore encore mais que le lecteur comprend tout de suite c’est que Lucas est attiré par les garçons. Il est néanmoins très a l’écoute de Gwyneira et se révèle un compagnon agréable lorsqu’il s’agit de parler de musique ou de littérature, de sciences, de botanique. Côté devoir conjugal rien ne va. Les deux femmes avancent dans la vie tout en se rendant visite en cachette parce que Howard O’Keefe et Gérald Warden ne peuvent pas se supporter. Ils ont pourtant été associés autrefois mais une histoire de femme est venu tout gâcher. Warden a épousé la promise de O’Keefe. Depuis les deux hommes sont toujours prêts à s’entretuer. L’autrice nous raconte la vie des deux jeunes femmes, la naissance du fils d’Hélène qui n’est pas heureuse et qui a cependant réussi à créer une petite école pour apprendre à lire et à écrire aux enfants maoris. Gwyneira qui n’a toujours pas donné d’héritier à Warden qui commence à leur mettre la pression En parallèle l’autrice développe aussi sur le peuple maori et les problèmes rencontrés avec les colons Anglais. On suit également les aventures des orphelines qui, si pour certaines tout a mal commencé, arrivent plus ou moins à se débrouiller. Des drames viennent bousculer la vie de Gwyneira et d’Hélène. Les jeunes femmes restent liées contre vents et marées. L’autrice met également l’accent sur le courage des deux femmes, sur leur résilience et aussi sur leur côté féministe. Elles n’hésitent pas à braver les interdits. C’est surtout Gwyneira qui est remarquable, elle arrive à s’imposer dans un monde d’hommes, Hélène n’est pas en reste, même si c’est de façon différente et moins voyante. C’est un magnifique roman qui dépayse totalement et nous embarque dans des paysages somptueux. Les personnages sont très intéressants et pour certains attachants, j’adore suivre l’histoire de ces deux femmes qui sont très courageuses, l’intrigue est belle, il y a des surprises, des rebondissements, on ressent énormément d’émotions, on ne s’ennuie pas un seul instant et les 755 pages se dévorent sans qu’on ne s’en rende compte. C’est une trilogie, il y a deux autres volumes du même nombre de pages pratiquement LE CHANT DES ESPRITS et LE CRI DE LA TERRE que j’ai bien sûr prévu de lire. C’était ma dernière lecture de 2022 et c’est un beau coup de coeur !Ce roman retrace le parcours de deux femmes que tout sépare mais qui vont devenir amies. L’histoire commence en Angleterre, à Londres, en 1852, une époque où la femme n’a pas de statut, doit se marier, gérer la maison et élever des enfants. Hélene est préceptrice dans une famille d’aristocrates. Elle est célibataire, âgée de 26 ans (un âge où il n’est pas bien vu de ne pas être mariée). Elle est fille de Pasteur, ses parents sont décédés, elle fréquente régulièrement la paroisse et un matin voit une annonce qui propose de mettre en relation -en vue d’un mariage- des jeunes femmes Anglaises avec des Messieurs de Nouvelle-Zélande dont l’excellente réputation est garantie. Hélène décide de répondre et entame une correspondance avec un certain Howard O’keefe, mais la Nouvelle-Zélande c’est loin, il faut trois mois pour acheminer le courrier et autant pour avoir un retour. Un matin, la paroisse la contacte par rapport à son envie de fonder un foyer en Nouvelle-Zélande et lui propose de convoyer des orphelines qui sont envoyées là bas pour être au service de familles Anglaises qui vivent sur place, ça lui permettra de partir plus vite et surtout, son voyage est payé. Hélène n’hésite...
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