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Le rosaire de la douleur
Date de parution : 01/10/2015
Éditeurs :
Archipoche

Le rosaire de la douleur

Date de parution : 01/10/2015
L’enquêteur Victor Boudreaux, assisté de Jeanne ainsi que de sa nièce débarquée tout droit de Louisiane, se retrouve bien malgré lui dans une affaire digne d’un film noir : l’un de... L’enquêteur Victor Boudreaux, assisté de Jeanne ainsi que de sa nièce débarquée tout droit de Louisiane, se retrouve bien malgré lui dans une affaire digne d’un film noir : l’un de ses amis d’enfance est accusé du meurtre de sa compagne.A Bénirpurhain, capitale des nouvelles technologies, affaires d’argent, magouilles et crimes... L’enquêteur Victor Boudreaux, assisté de Jeanne ainsi que de sa nièce débarquée tout droit de Louisiane, se retrouve bien malgré lui dans une affaire digne d’un film noir : l’un de ses amis d’enfance est accusé du meurtre de sa compagne.A Bénirpurhain, capitale des nouvelles technologies, affaires d’argent, magouilles et crimes passionnels s’entremêlent. Entre arrangements entre personnalités publiques, investissements malhonnêtes et, pour couronner le tout, l’assassinat en prison du copain d’enfance, Victor Boudreaux et ses acolytes n’auront aucun répit, et surtout, ne pourront se fier à personne.Dans cette ville où personne n’est innocent, un suspect peut se cacher derrière n’importe qui. Même les gendarmes et les francs-maçons ont leurs secrets !Il semblerait bien que ce ne soit pas seulement pour un crime passionnel que Victor Boudreaux ait été appelé à Bénirpurhain… 
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EAN : 9782352878117
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 216
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782352878117
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 216
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • encoredunoir 20/07/2013
    Victor Boudreaux, le détective privé le plus bourrin de France – et pas pour autant le bête –que l’on avait découvert dans La mort fait mal, est de nouveau rattrapé par une ombre sortie de son passé. C’est Tanguy, un vieux pote de lycée auquel il n’a jamais rendu sa collection de 45 tours de blues, qui fait appel à lui pour le sortir d’un mauvais pas. Sacrément mauvais même, puisque Tanguy est accusé du meurtre de sa compagne et que son passé criminel ne plaide pas en sa faveur. Voilà donc Boudreaux, récent chargé de famille puisqu’il a hérité d’une nièce cajun orpheline, qui débarque à Bénipurhain (son nouveau plan de circulation, ses loges maçonniques, son usine de soupe en boîte Potoutage) comme un éléphant dans un magasin de porcelaines contrefaites. Disons-le tout de go, c’est un plaisir que de retrouver Boudreaux, sa philosophie personnelles (« à son avis, et son avis comptait ») sa chaîne de tronçonneuse, son artillerie digne d’un porte-avion et sa haine des flics, des bourgeois et de toutes les pourritures n’assumant pas leur malhonnêteté. Comme dans La mort fait mal, il s’agit pour Michel Embareck de mettre à jour les dessous pas reluisant de la vie d’une petite ville provinciale : ambitions politiques bas de gamme, conflits d’intérêts, haines recuites… Balancé là-dedans, Victor Boudreaux, pas sa seule présence – et par quelques concours de circonstances – fait émerger toute cette fange plus puante que l’odeur d’un velouté champignon-asperge de l’usine Potoutage qui rythme la vie et sans doute l’appétit de la population locale. À travers une intrigue retorse, certes, mais plus carrée que celle du volume précédent, Embareck livre donc encore un roman où les bêtes et méchants en prennent plein les dents de la part d’un type encore plus méchant mais beaucoup moins bête et, surtout, dépourvu de cette ambition à la petite semaine qui les animent et les rend détestables et de pitié mal placée. Porté par la langue imagée de l’auteur propre à provoquer régulièrement quelques bonnes quintes de rire, et adoucit par la présence de Jeanne la secrétaire cinéphile et Joliette la nièce genre chipie à qui on la fait pas, Le rosaire de la douleur assure parfaitement son rôle d’exutoire. De quoi passer un bon moment. On nous dit par ailleurs qu’un troisième volume des enquêtes de Boudreaux, douze ans après, est annoncé. Et c’est tant mieux. Victor Boudreaux, le détective privé le plus bourrin de France – et pas pour autant le bête –que l’on avait découvert dans La mort fait mal, est de nouveau rattrapé par une ombre sortie de son passé. C’est Tanguy, un vieux pote de lycée auquel il n’a jamais rendu sa collection de 45 tours de blues, qui fait appel à lui pour le sortir d’un mauvais pas. Sacrément mauvais même, puisque Tanguy est accusé du meurtre de sa compagne et que son passé criminel ne plaide pas en sa faveur. Voilà donc Boudreaux, récent chargé de famille puisqu’il a hérité d’une nièce cajun orpheline, qui débarque à Bénipurhain (son nouveau plan de circulation, ses loges maçonniques, son usine de soupe en boîte Potoutage) comme un éléphant dans un magasin de porcelaines contrefaites. Disons-le tout de go, c’est un plaisir que de retrouver Boudreaux, sa philosophie personnelles (« à son avis, et son avis comptait ») sa chaîne de tronçonneuse, son artillerie digne d’un porte-avion et sa haine des flics, des bourgeois et de toutes les pourritures n’assumant pas leur malhonnêteté. Comme dans La mort fait mal, il s’agit pour Michel Embareck de mettre à jour les dessous pas reluisant de...
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