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Le Seigneur des atolls
Date de parution : 25/08/2011
Éditeurs :
Presses de la cité
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Le Seigneur des atolls

Date de parution : 25/08/2011

Mai 1968 : les dernières illusions de Chrétien pour construire un monde meilleur volent en éclats.
Eté 1968 : Upo (« fêlé » en tahitien) se refait une vie au...

Mai 1968 : les dernières illusions de Chrétien pour construire un monde meilleur volent en éclats.
Eté 1968 : Upo (« fêlé » en tahitien) se refait une vie au cœur de l’atoll de Tureia dont il découvre la culture maorie. Mais ce paradis terrestre est en danger : il...

Mai 1968 : les dernières illusions de Chrétien pour construire un monde meilleur volent en éclats.
Eté 1968 : Upo (« fêlé » en tahitien) se refait une vie au cœur de l’atoll de Tureia dont il découvre la culture maorie. Mais ce paradis terrestre est en danger : il recèle des trésors qui attisent les appétits les plus voraces et des essais nucléaires sont pratiqués à proximité sans que la population en soit informée.
Un an plus tard : Foch est le seigneur de l’atoll et y règne en maître absolu et respecté. Chrétien, Upo et Foch sont un seul et même homme, recherché par la DST et par les barbouzes. Lui veut simplement préserver son île de la contamination nucléaire et des dérives mercantiles. Son arme ? Un secret qui, révélé au monde, remettrait bien des choses en question.

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EAN : 9782258092075
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Gwelan 25/01/2013
    J'ai lu la plupart des romans de la série "Coureurs de nuit" ou apparaît en arrière plan, comme un marionnettiste manipulant tous les personnages, le fameux Foch. Qui est-il ? D'où vient-il? Le seigneur des atolls nous fait enfin connaître l'histoire de ce personnage. Comment Chrétien, un journaliste trop idéaliste voulant se retirer du monde dans une ile polynésienne se transforme en Hugo puis en Foch. Et devient ce personnage de l'ombre très dur quant il se confronte à des voyous et quant il s’agit de trouver de l'argent pour son ile. Une description crue bien que peut être un peu poussée sur les ravages qu'ont réellement fait la recherche atomique sur les iles du pacifique et sur la santé des personnes qui y travaillaient. Un romans qui diffère de la série des "coureurs de nuit" mais tout aussi passionnant.
  • Natiora 03/04/2012
    En mai 1968, Chrétien, un journaliste, assiste à des affrontements meurtriers au cours des manifestations soulevées par les étudiants. Son directeur refuse de passer les images à l'antenne. Ecoeuré par l'ingérence politique, car à cette époque la présidence avait un droit de regard sur les informations diffusées, Chrétien démissionne et part à l'autre bout du monde, sur un coup de tête, en Polynésie française. Lorsqu'il cherche un pilote pour le déposer sur l'île de Tureia, on le prend pour un fou, car l'île est réputée abriter une peuplade anthropophage. Qu'à cela ne tienne, Chrétien compte bien aller au bout de son projet. L'arrivée sur l'île est plutôt hostile, mais il parvient à se faire accepter par la tribu et surtout par le chef Arakino, avec qui il nouera une sincère relation d'amitié. Il en oubliera son identité et deviendra Upo. Le lecteur apprend avec lui certaines coutûmes tahitiennes, telles que le fa'mu, qui consiste à adopter ou échanger des enfants. Coûtume qui lui apportera deux fils. Bientôt, il se sent tahitien et non plus un popa'a, un blanc. Pourtant un autre popa'a habite l'île, Moto Guzzi, un coureur de nuit, chargé de veiller aux relations entre Tureia et la presqu'île de Taravo : une zone militaire occupée par des légionnaires. C'est là que le destin de Upo va prendre une dimension héroïque. Il va comprendre ce qui se passe sur cette zone militaire, comprendre aussi qu'on achète le silence du peuple de Tureia. Et il consacrera sa vie à rendre sa dignité à ce peuple, assisté par ses deux jeunes fils, aussi rusés que lui. On assiste ainsi à la métamorphose d'un homme, pour qui tous les moyens sont bons. Le roman s'accélère vraiment à ce moment là. Au départ le récit est intrigant, car on se demande si Chrétien va finir rôti à la broche. Puis on se demande ce qu'il va bien pouvoir faire sur cette île. Et plus l'histoire avance plus on approche du thriller, avec un suspense bien maintenu et des ficelles si fines qu'on ne voit pas venir les pages suivantes. L'intelligence d'Upo et la façon dont il va manipuler des personnes influentes à Papeete sont bluffantes, il n'y a pas de négociations, discussions... que la peur. Une peur latente, entretenue par des méthodes dignes des plus grands mafieux, car Upo sait appuyer sur les points sensibles. Tout ceci pour le bien de l'île, et dans le but de dévoiler au monde le secret qu'il a découvert concernant des expériences sur les effets de la radioactivité, au grand dam des services secrets français. En tant que journaliste, Pascal Martin sait de quoi il parle lorsqu'il évoque les effets néfastes des essais nucléaires en Polynésie française. Son propre père fut employé dans le Centre d'énergie atomique et a déclaré un cancer. Intéressé par le sujet, il s'est rendu auprès des populations locales pour qu'elles témoignent des conditions de travail et des effets que les essais ont eu sur leur santé. Le seigneur des atolls continue sur la lancée et nous permet de saisir le mépris des autorités françaises à l'égard des populations soumises au danger de la radioactivité. Mais bien plus qu'un roman documentaire, c'est un récit au rythme soutenu, passionnant, car il se passe énormément de choses, qu'on ne peut exposer plus afin de préserver le plaisir de se laisser entraîner dans cette aventure, portée par le charisme de Upo. On ressort de cette lecture fasciné par ce personnage qui démontre avec grandeur qu'à coeur vaillant, rien d'impossible. En mai 1968, Chrétien, un journaliste, assiste à des affrontements meurtriers au cours des manifestations soulevées par les étudiants. Son directeur refuse de passer les images à l'antenne. Ecoeuré par l'ingérence politique, car à cette époque la présidence avait un droit de regard sur les informations diffusées, Chrétien démissionne et part à l'autre bout du monde, sur un coup de tête, en Polynésie française. Lorsqu'il cherche un pilote pour le déposer sur l'île de Tureia, on le prend pour un fou, car l'île est réputée abriter une peuplade anthropophage. Qu'à cela ne tienne, Chrétien compte bien aller au bout de son projet. L'arrivée sur l'île est plutôt hostile, mais il parvient à se faire accepter par la tribu et surtout par le chef Arakino, avec qui il nouera une sincère relation d'amitié. Il en oubliera son identité et deviendra Upo. Le lecteur apprend avec lui certaines coutûmes tahitiennes, telles que le fa'mu, qui consiste à adopter ou échanger des enfants. Coûtume qui lui apportera deux fils. Bientôt, il se sent tahitien et non plus un popa'a, un blanc. Pourtant un autre popa'a habite l'île, Moto Guzzi, un coureur de nuit, chargé de veiller aux relations entre Tureia et la presqu'île...
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  • Isaloredan 29/07/2011
    J'ai lu tous les volumes de la saga de Pascal Martin, dont celui-ci terminé hier. Si ça n'est pas de la grande littérature, nous sommes cependant dans du très bon divertissement, efficace et prenant. L'auteur nous déroute ici, car ce roman ne reprend en rien la trame habituelle des précédentes aventures de ses "coureurs de nuit", mais nous entraîne au contraire dans le passé de leur patron, le mystérieux Foch. On découvre ainsi comment Chrétien, journaliste de l'ORTF quitte tout du jour au lendemain, pour aller refaire sa vie dans un atoll perdu de la Polynésie Française. Les événements (essais nucléaires, expérimentation sur des êtres humains...) et les traditions maoris vont faire de lui un homme neuf, Foch, à la fois respecté et craint par ses proches, mais aussi par les hauts dignitaires de la république française. S'il faut attendre la bonne moitié du livre pour que thriller démarre, la première partie n'en est par pour autant ennuyeuse. Les habitués de la saga sont tellement en attente d'informations sur Foch depuis le premier volume, qu'ils sont pour le coup rassasiés par cette vie déroulée pour eux par l'auteur. Ensuite, on se retrouve emporté dans un tourbillon où popa'a (blancs) mafieux et barbouzes de la DST jouent tous des rôles plus glauques les uns que les autres. Ce livre peut être lu indépendamment de la série, mais cependant, je conseille vivement de lire les autres volumes avant. On en apprécie d'autant plus les révélations en cascades qui arrivent ici.J'ai lu tous les volumes de la saga de Pascal Martin, dont celui-ci terminé hier. Si ça n'est pas de la grande littérature, nous sommes cependant dans du très bon divertissement, efficace et prenant. L'auteur nous déroute ici, car ce roman ne reprend en rien la trame habituelle des précédentes aventures de ses "coureurs de nuit", mais nous entraîne au contraire dans le passé de leur patron, le mystérieux Foch. On découvre ainsi comment Chrétien, journaliste de l'ORTF quitte tout du jour au lendemain, pour aller refaire sa vie dans un atoll perdu de la Polynésie Française. Les événements (essais nucléaires, expérimentation sur des êtres humains...) et les traditions maoris vont faire de lui un homme neuf, Foch, à la fois respecté et craint par ses proches, mais aussi par les hauts dignitaires de la république française. S'il faut attendre la bonne moitié du livre pour que thriller démarre, la première partie n'en est par pour autant ennuyeuse. Les habitués de la saga sont tellement en attente d'informations sur Foch depuis le premier volume, qu'ils sont pour le coup rassasiés par cette vie déroulée pour eux par l'auteur. Ensuite, on se retrouve emporté dans un tourbillon où popa'a (blancs) mafieux et...
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