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Le serpent et la perle
Catherine Barret (traduit par)
Date de parution : 11/06/2015
Éditeurs :
Presses de la cité

Le serpent et la perle

Catherine Barret (traduit par)
Date de parution : 11/06/2015
La talentueuse Kate Quinn s’attaque à la puissante famille des Borgia. Entre convoitises et manigances, un roman historique qui vous plonge dans les arcanes du pouvoir et vous maintient en apnée jusqu’à la dernière page.
Rome, 1492. La belle Giulia Farnese épouse le jeune et séduisant Orsino et croit que la fortune lui sourit. Mais elle découvre avec stupeur que son mariage n’est qu’un leurre,... Rome, 1492. La belle Giulia Farnese épouse le jeune et séduisant Orsino et croit que la fortune lui sourit. Mais elle découvre avec stupeur que son mariage n’est qu’un leurre, orchestré par l’influent cardinal Borgia, bien décidé à en faire sa concubine.
Enfermée dans une prison dorée, espionnée par les serviteurs,...
Rome, 1492. La belle Giulia Farnese épouse le jeune et séduisant Orsino et croit que la fortune lui sourit. Mais elle découvre avec stupeur que son mariage n’est qu’un leurre, orchestré par l’influent cardinal Borgia, bien décidé à en faire sa concubine.
Enfermée dans une prison dorée, espionnée par les serviteurs, Giulia peut compter sur le soutien de Leonello, un cynique garde du corps qui poursuit de sa vengeance un mystérieux tueur, et de Carmelina, cuisinière irascible au passé secret.
Tandis que la corruption grandit au Vatican et que le nombre de leurs ennemis ne cesse de croître, Giulia et ses acolytes doivent faire preuve de ruse pour survivre dans le monde des Borgia. N’est pas intrigant qui veut…
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EAN : 9782258118980
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258118980
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Marion_piou 20/11/2023
    Très bon premier tome qui nous régale avec un mélange de détails historiques et de fiction. Je me suis attachée aux personnages et j'ai adoré détester les Borgia ! Kate Quinn a une plume très captivante avec laquelle on ne s'ennuie pas malgré les plus de 500 pages ! Vivement le deuxième tome !
  • coraliel59 21/05/2023
    Dans ce roman, Kate Quinn nous emmène dans la Rome de la fin du XVème siècle. Nous nous trouvons transportés en plein mariage de Giulia Farnese et Orsino Orsini. Mais la Bella découvre bientôt qu'il s'agit d'un faux semblant. Elle est en fait vendue au cardinal Rodrigo Borgia qui sera bientôt pape sous le nom d'Alexandre VI. Nous découvrons la vie de cette jeune femme et de la célébre famille Borgia. Nous suivons également les aventures de l'intrigante cuisinière Carmelina qui cache pourquoi elle a du fuir sa ville natale de Venise. Dans le même temps, à Rome, des femmes sont retrouvées crucifiées et égorgées, ce qui intrigue le nain Leonello qui vient d'être promu garde du corps de Giulia. Ces trois personnages alternent leur récit pour un roman facile à lire. Les personnages sont intéressants et on a envie de mieux les découvrir. Je vais donc m'empresser de lire la suite, d'autant que la fin laisse pas mal de questions en suspens.
  • Mariloup 29/03/2023
    Ma fascination pour la célèbre famille Borgia est immense, et ce, depuis de nombreuses années. Je l'avais découverte à l'époque grâce au jeu vidéo Assassin's Creed Brotherhood où elle faisait office d'adversaire. Ce fut la découverte, le coup de cœur et depuis, j'ai vu les deux séries TV que j'adore, lu plein de livres sur eux, fictions ou non. Alors quand j'ai vu que Kate Quinn, l'autrice de la saga La Maîtresse de Rome pour laquelle j'avais eu un énorme coup de cœur, s'était lancée dans une nouvelle saga sur les Borgia, je ne pouvais pas passer à côté ! L'intrigue se déroule en Italie et plus particulièrement à Rome, durant cette époque appelée Renaissance, vers 1492, du temps des Borgia. Entre intrigues, alliances, mariages, conclaves et accession au trône de Saint Pierre. Nous découvrons Rodriguo Borgia, futur Alexandre VI, pape ; son fils aîné, Cesar, ecclésiastique (évêque plus précisément), froid, intelligent, ambitieux ; Juan, Duc de Gandie, garde, hautain, sûr de lui ; Lucrèce, fille bien aimée, d'une beauté ensorcelante, solaire ; Joffrey, le plus jeune, incarne la douceur et l'innocence. Des enfants qui ne sont que des pions sur un échiquier géant, celui de leur père. Ces personnages illustres qui ont marqué l'Histoire, le Temps, nous apparaissent à travers trois personnages, trois points de vue. Celui de Giulia Farnese, surnommée la Bella ou Vénus du Vatican, qui deviendra la maîtresse de Rodrigo Borgia alors qu'elle est mariée à un Orsini, dont la liaison n'est plus un secret, et cette dernière est prête à tout pour garder sa place auprès du pape. Le point de vue de Leonello, un nain au service de Giulia et Lucrèce en tant que garde du corps, adroit aux lancers de couteaux et intelligent, ce dernier va enquêter sur une série de meurtres de femmes au sein de la cité romaine. Et le point de vue de Carmelina, la cuisinière attitrée des Orsini, très douée dans son domaine et dont son secret peut tout lui coûter. Les plus du roman : une seconde partie beaucoup plus passionnante ; une fiction mais avec des dates clés, des lieux, des personnages et des faits historiques réels ; trois points de vue pour une meilleure immersion et différents statuts explorés ; des descriptions délicieuses et riches ; une accentuation sur la cuisine italienne, de quoi vous donner l'eau à la bouche ; l'ascension de la famille Borgia à travers le regard de trois personnages de leur entourage. Les points négatifs : Leonello m'a un peu trop fait penser à Tyrion Lannister de la saga Game of Thrones et cela m'a énormément perturbé ; pas mal de longueurs qui ont failli me faire abandonner, surtout au début de ma lecture ; une entrée dans l'histoire difficile ; quelques frustrations de ma part tant cela manquait de "sel", de piquant au roman. En bref, j'ai beaucoup aimé ce premier tome, bien que je lui trouve beaucoup de longueurs et un manque flagrant de peps. J'ai aimé découvrir l'ascension des Borgia par le biais de trois personnages distincts, cela en fait une fiction originale. Il me tarde de découvrir La Concubine du Vatican.Ma fascination pour la célèbre famille Borgia est immense, et ce, depuis de nombreuses années. Je l'avais découverte à l'époque grâce au jeu vidéo Assassin's Creed Brotherhood où elle faisait office d'adversaire. Ce fut la découverte, le coup de cœur et depuis, j'ai vu les deux séries TV que j'adore, lu plein de livres sur eux, fictions ou non. Alors quand j'ai vu que Kate Quinn, l'autrice de la saga La Maîtresse de Rome pour laquelle j'avais eu un énorme coup de cœur, s'était lancée dans une nouvelle saga sur les Borgia, je ne pouvais pas passer à côté ! L'intrigue se déroule en Italie et plus particulièrement à Rome, durant cette époque appelée Renaissance, vers 1492, du temps des Borgia. Entre intrigues, alliances, mariages, conclaves et accession au trône de Saint Pierre. Nous découvrons Rodriguo Borgia, futur Alexandre VI, pape ; son fils aîné, Cesar, ecclésiastique (évêque plus précisément), froid, intelligent, ambitieux ; Juan, Duc de Gandie, garde, hautain, sûr de lui ; Lucrèce, fille bien aimée, d'une beauté ensorcelante, solaire ; Joffrey, le plus jeune, incarne la douceur et l'innocence. Des enfants qui ne sont que des pions sur un échiquier géant, celui de leur père. Ces personnages illustres...
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  • leboncoinlecture 23/01/2022
    Kate Quinn nous emmène à Rome et au Vatican, dans la maisonnée du cardinal Rodrigo Borgia qui devient vite le pape Alexandre VI. Chaque chapitre alterne le point de vue des trois mêmes personnages : Tout d’abord, Carmelina (personnage fictif), une cuisinière hors pair et pleine de caractère, ayant fui Venise et cachant d’obscurs secrets, qui trouve refuge parmi les casseroles de son cousin, maître cuisinier d’Adriana del Mila, cousine de Rodrigo Borgia, mère d’Orsino Orsini, jouant le rôle de duègne pour la jeune Lucrèce. Ensuite, le nain Leonello (fictif également), cynique, amoureux des arts et des lettres, expert aux jeux de cartes, as du lancer de couteaux, qu’une lugubre enquête va mener des gargotes romaines au palais le plus en vue. Enfin, Giulia Farnese, qui arrive à Rome pour épouser Orsino Orsini et finit maîtresse officielle du Pape. Les trois points de vue font chacun avancer l’histoire et permettent d’explorer un pan de la vie de la cour papale et de la vie familiale (reconstituée et imaginée en partie) du clan Borgia, menées, selon les circonstances, d’une main de fer ou de velours par le patriarche Rodrigo Borgia. J’ai beaucoup aimé les descriptifs culinaires de Carmelina ainsi que sa manière de penser et de voir les choses, passant presque toujours par le plaisir du goût, les émotions que cela peut susciter, par les odeurs etc. J’aurais aimé que soit développée l’éducation intellectuelle de Lucrèce. Il nous est dit qu’elle a de nombreux récepteurs, qu’elle apprend différentes langues etc. Mais les seules préoccupations que l’autrice met dans sa tête et dans sa bouche concernent son mariage et son rôle d’épouse. J’ai assez peu apprécié de voir Giulia Farnese se complaire dans la séduction par tous les moyens de son Pape de 40 ans de plus qu’elle, toutes les activités des dames ne tournant qu’autour des étoffes, des bijoux, des soins de la peau et des cheveux… Cela m’a fortement agacée de les voir réduites à ça. Cependant, le rôle des différentes femmes de la maison se complexifie par endroits et celui de Giulia connaît une belle évolution. En toile de fond, les hommes craignent l’invasion des Français pour réclamer le royaume de Naples, les jeux de pouvoirs et d’alliance entre les familles, notamment par les mariages. On n’échappe évidemment pas à l’inquiétante étrangeté de César Borgia et de son chien de garde Michelotto. Une lecture qui coule toute seule mais qui appuie trop sur la romance à mon goût. Je ne pense pas me laisser tenter par le tome 2.Kate Quinn nous emmène à Rome et au Vatican, dans la maisonnée du cardinal Rodrigo Borgia qui devient vite le pape Alexandre VI. Chaque chapitre alterne le point de vue des trois mêmes personnages : Tout d’abord, Carmelina (personnage fictif), une cuisinière hors pair et pleine de caractère, ayant fui Venise et cachant d’obscurs secrets, qui trouve refuge parmi les casseroles de son cousin, maître cuisinier d’Adriana del Mila, cousine de Rodrigo Borgia, mère d’Orsino Orsini, jouant le rôle de duègne pour la jeune Lucrèce. Ensuite, le nain Leonello (fictif également), cynique, amoureux des arts et des lettres, expert aux jeux de cartes, as du lancer de couteaux, qu’une lugubre enquête va mener des gargotes romaines au palais le plus en vue. Enfin, Giulia Farnese, qui arrive à Rome pour épouser Orsino Orsini et finit maîtresse officielle du Pape. Les trois points de vue font chacun avancer l’histoire et permettent d’explorer un pan de la vie de la cour papale et de la vie familiale (reconstituée et imaginée en partie) du clan Borgia, menées, selon les circonstances, d’une main de fer ou de velours par le patriarche Rodrigo Borgia. J’ai beaucoup aimé les descriptifs culinaires de Carmelina ainsi que sa manière de penser et de...
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  • JML38 10/06/2020
    Kate Quinn nous entraîne à Rome en pleine Renaissance pour nous faire découvrir la vie mouvementée d'une famille qui a laissé une trace importante dans l'histoire : Les Borgia. le personnage principal est Rodrigo Borgia, cardinal aux dents longues dont l'objectif est le poste suprême de la chrétienté, et dont les mœurs on ne peut plus dissolues avec maîtresses et progéniture n'empêchent pas l'ascension, avec le soudoiement comme principale arme de persuasion. Le futur pape a jeté son dévolu sur une jeune et très belle femme, Giulia Farnese. D'abord outrée par la trahison de la famille Orsini qui n'a pas hésité à la livrer au cardinal en lieu et place de leur fils que la belle vient pourtant d'épouser, celle-ci ne tarde pas à succomber au charme de cet homme bien plus âgé, à la prestance et aux attentions envoûtantes. La narration est à trois voix. Celle de Giulia alterne avec celle de Carmelina, qui a fui Venise pour des raisons obscures et qui tente d'imposer ses talents de cuisinière à Rome, et celle de Leonello, un nain devenu par obligation expert en jeux d'argent et en lancer de couteaux, qui recherche l'assassin d'une des ses amies. Ces trois personnages, dont seule celui de la Bella Giulia est réel, ont tissé des relations privilégiées, Carmelina étant devenu indispensable à la maîtresse du cardinal grâce à ses sublimes sucreries et Leonello en tant que garde du corps. Les autres membres de la famille Borgia, César, Juan, Lucrèce et Joffre ont existé, et le récit repose sur des faits réels que l'auteure a simplement romancés, modifiant quelque peu la chronologie de certains événements. J'ai pris un réel plaisir à découvrir cette période de l'histoire de Rome. L'utilisation de trois narrations donne beaucoup de rythme et de vie à l'histoire, d'autant plus que ce sont les trois personnages les plus intéressants qui en sont les auteurs. Giulia est attachante, dans ce rôle particulier qui est le sien, à la fois détestée et enviée pour sa place illégitime auprès d'un des hommes les plus influents de l'époque, sa gentillesse n'ayant d'égale dans les descriptions que sa sublimissime beauté. Carmelina est magnifique dans un autre registre, faisant saliver par les recettes minutieusement évoquées dans son récit. Leonello, quant à lui, est surprenant par son franc-parler, empreint de beaucoup de cynisme, n'hésitant pas à profiter de sa position particulière de protecteurs des femmes et enfants proches de Rodrigo Borgia, pour se permettre des remarques parfois très désobligeantes mais souvent très justes. Ce roman est le premier opus d'une saga consacrée à la famille Borgia qui se poursuit avec « la concubine du Vatican », que je reconnais avoir très envie de lire. Kate Quinn nous entraîne à Rome en pleine Renaissance pour nous faire découvrir la vie mouvementée d'une famille qui a laissé une trace importante dans l'histoire : Les Borgia. le personnage principal est Rodrigo Borgia, cardinal aux dents longues dont l'objectif est le poste suprême de la chrétienté, et dont les mœurs on ne peut plus dissolues avec maîtresses et progéniture n'empêchent pas l'ascension, avec le soudoiement comme principale arme de persuasion. Le futur pape a jeté son dévolu sur une jeune et très belle femme, Giulia Farnese. D'abord outrée par la trahison de la famille Orsini qui n'a pas hésité à la livrer au cardinal en lieu et place de leur fils que la belle vient pourtant d'épouser, celle-ci ne tarde pas à succomber au charme de cet homme bien plus âgé, à la prestance et aux attentions envoûtantes. ...
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