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Le temps des bâtisseurs - tome 1 Le visionnaire
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 01/06/2015
Éditeurs :
L'Archipel

Le temps des bâtisseurs - tome 1 Le visionnaire

Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 01/06/2015
Aux environs de 1860, on parcourait encore le Bas-Canada sur des routes de terre et on traversait les rivières sur des bacs.Trois membres de la famille Saintonge contribuèrent de façon... Aux environs de 1860, on parcourait encore le Bas-Canada sur des routes de terre et on traversait les rivières sur des bacs.Trois membres de la famille Saintonge contribuèrent de façon déterminante à forger le Québec d’aujourd’hui. Le père, Frédéric, surnommé le Visionnaire, s’exile pour fonder une communauté francophone dans le... Aux environs de 1860, on parcourait encore le Bas-Canada sur des routes de terre et on traversait les rivières sur des bacs.Trois membres de la famille Saintonge contribuèrent de façon déterminante à forger le Québec d’aujourd’hui. Le père, Frédéric, surnommé le Visionnaire, s’exile pour fonder une communauté francophone dans le Midwest américain. Le fils de celui-ci, également nommé Frédéric et qualifié de Prodige, dresse églises, presbytères et nombre de résidences prestigieuses. Enfin, son frère Jean-Charles, dit « l’Affranchi », mène une existence libre, en précurseur des temps nouveaux.Ces pionniers – et les femmes qui les ont accompagnés – sont ceux et celles qui ont mis le Québec au monde ! Ce livre est leur histoire…
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EAN : 9782809817201
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 241
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809817201
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 241
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bebi 08/07/2015
    La famille Saintonge vit dans la seconde partie du 19eme siècle dans une région du Canada français. Deux frères, mariés, et ayant une ribambelle d’enfants, entretiennent deux terrains contigus. Rien ne va plus le jour où tout le monde découvre au grand jour la liaison que frédéric entretient avec sa belle-sœur. Il décide alors de quitter sa femme pour les Etats-Unis, emmenant son aîné, qui rêve de devenir architecte. Les choses ne sont pas faciles, et leur rêve ne se laisse pas apprivoiser facilement. Que dire ? J’ai un grand blanc au moment de parler de ce roman. J’attendais une grande épopée, une saga familiale sur plusieurs générations, remplies de faits historiques, d’aventures, d’amour, … bref une histoire comme je les aime. Je déchante. Je me suis heurtée à un récit rempli de répétition, de lenteur, de platitude. J’ai eu du mal à trouver le sens de ce roman. A part les querelles entre Frédéric Saintonge père et le curé de sa paroisse, puis ses déboires le prêtre de Sainte-Anne, je n’ai pas vu grand-chose qui vaille qu’on s’y intéresse. Je suis déçue, car finalement, ces 300 pages m’ont semblé ennuyeuses et longues à lire. C’est vraiment dommage.
  • Ghiblitotoro 01/07/2015
    Je tiens en premier lieu à remercier Babelio et les éditions de l’Archipel d’avoir bien voulu m’envoyer "Le visionnaire". J’ai eu un peu de mal à entrer dans la lecture de ce roman. Pour plusieurs raisons. Tout d’abord, mon esprit n’était pas disposé pour ce genre de lecture, bien trop habitué qu’il était à évoluer dans des univers fantastiques et tumultueux, à la narration vive et rapide. Ensuite, parce que l’écriture avance par circonvolutions, tant les descriptions des lieux, que les discours des personnages. Il a donc fallu m’habituer à ce style d’écriture de facture assez classique. Enfin, le personnage sur lequel est principalement centrée l’histoire ne m’était pas a priori sympathique. En effet, Frédéric Saintonge père est un rêveur, qui semble prendre peu de parts aux responsabilités familiales, que ce soit l’exploitation ou les tâches de la maisonnée. Avec son fils aîné, qui s’appelle comme lui, il passe son temps à bâtir sur le papier un monde à son image. Lui écrit des articles de journaux dans lesquels il livre une pensée alambiquée et qu’il signe du nom du « visionnaire » tandis que son fils esquisse les objets du quotidien en les enjolivant au passage. Comme il n’est pas satisfait de son quotidien, Frédéric père vise ailleurs : la femme de son frère, puis, une fois la liaison dévoilée, une colonie du Canada Français aux Etats-Unis. Toutefois, malgré ces quelques bémols, je ne cache pas que le roman m’a quand même attrapée. Qu’allait devenir cet entêté de première, au verbe haut et aux prétentions démesurées ? Comment le fils se sortirait-il du sillage tracé par le père ? J’ai apprécié également la critique des ecclésiastiques. Le lecteur peste contre les abbés qui profitent de leur petit pouvoir local pour s’accaparer les faveurs des dames ou influencer les esprits vers une interprétation toute personnelle de la religion catholique. Il peste aussi contre notre « visionnaire » qui se jette sans réfléchir dans les pièges tendus. Et puis, si l’on suit surtout les hommes de la famille, dont les visions novatrices heurtent le conservatisme du milieu duquel ils sont issus – et sans doute aussi celui du lecteur…, les femmes ne sont pas en reste et ne sont pas dénuées de ressources ni de volonté propre. Bref, rien que d’humain. Des réalités diverses selon les points de vue adoptés et des renversements de situation liés autant à la nature humaine qu’aux aléas de la vie.Je tiens en premier lieu à remercier Babelio et les éditions de l’Archipel d’avoir bien voulu m’envoyer "Le visionnaire". J’ai eu un peu de mal à entrer dans la lecture de ce roman. Pour plusieurs raisons. Tout d’abord, mon esprit n’était pas disposé pour ce genre de lecture, bien trop habitué qu’il était à évoluer dans des univers fantastiques et tumultueux, à la narration vive et rapide. Ensuite, parce que l’écriture avance par circonvolutions, tant les descriptions des lieux, que les discours des personnages. Il a donc fallu m’habituer à ce style d’écriture de facture assez classique. Enfin, le personnage sur lequel est principalement centrée l’histoire ne m’était pas a priori sympathique. En effet, Frédéric Saintonge père est un rêveur, qui semble prendre peu de parts aux responsabilités familiales, que ce soit l’exploitation ou les tâches de la maisonnée. Avec son fils aîné, qui s’appelle comme lui, il passe son temps à bâtir sur le papier un monde à son image. Lui écrit des articles de journaux dans lesquels il livre une pensée alambiquée et qu’il signe du nom du « visionnaire » tandis que son fils esquisse les objets du quotidien en les enjolivant au passage. Comme il n’est pas...
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  • Tounet 21/06/2015
    La famille Saintonge se compose de deux ménages vivant au Hameau de l’ Islet: un coin perdu du Canada français. Il s’agit de deux frères : le cadet, Félicien couard et sentencieux, est marié à la belle Francine qui,elle,n’a pas froid aux yeux. Quant au deuxième ménage, c’est celui de l’aîné, Frédéric, l’idéaliste, le visionnaire, avide de changer le monde et qui a épousé la ronde et terrienne Géraldine, mère poule en puissance qui ne rêve que de bonheur familial et paisible, de train de vie immuable. A force d’être mal mariés, Frédéric et Francine en viennent à s’aimer. La rumeur se met alors à enfler d’autant que le curé s’en mêle; et voilà notre Frédéric plus ou moins contraint de s’exiler à Sainte-Anne, un village de planches dans la région de Chicago;il emmène avec lui son fils aîné et homonyme:Frédéric, dans l’espoir de fonder une colonie francophone aux États Unis. Je me remercie Babelio et les éditions de l’Archipel pour l’envoi de ce livre. On est happé par l’écriture simple et limpide de Louis Caron qui nous dresse le portrait d’une dynastie naissante de bâtisseurs et architectes, qui nous plonge dans le quotidien rude et parfois même aride de cette Amérique des pionniers où tout était à construire. Un bémol quand même car la chute du roman est un peu abrupte mais peut être le deuxième volume effacera-t-il cette impression? On verra! La famille Saintonge se compose de deux ménages vivant au Hameau de l’ Islet: un coin perdu du Canada français. Il s’agit de deux frères : le cadet, Félicien couard et sentencieux, est marié à la belle Francine qui,elle,n’a pas froid aux yeux. Quant au deuxième ménage, c’est celui de l’aîné, Frédéric, l’idéaliste, le visionnaire, avide de changer le monde et qui a épousé la ronde et terrienne Géraldine, mère poule en puissance qui ne rêve que de bonheur familial et paisible, de train de vie immuable. A force d’être mal mariés, Frédéric et Francine en viennent à s’aimer. La rumeur se met alors à enfler d’autant que le curé s’en mêle; et voilà notre Frédéric plus ou moins contraint de s’exiler à Sainte-Anne, un village de planches dans la région de Chicago;il emmène avec lui son fils aîné et homonyme:Frédéric, dans l’espoir de fonder une colonie francophone aux États Unis. Je me remercie Babelio et les éditions de l’Archipel pour l’envoi de ce livre. On est happé par l’écriture simple et limpide de Louis Caron qui nous dresse le portrait d’une dynastie naissante de bâtisseurs et architectes, qui nous plonge dans le quotidien rude et...
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