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Le Triangle d'or
Michel Bussi (préface de)
Date de parution : 28/09/2023
Éditeurs :
Archipoche

Le Triangle d'or

Michel Bussi (préface de)
Date de parution : 28/09/2023
Après le succès sur Netflix de la série inspirée des aventures d’Arsène Lupin, avec Omar Sy pour interpréter le personnage créé par Maurice Leblanc, Archipoche publie, dans une élégante édition collector, la suite des meilleures aventures du gentleman cambrioleur.
Monocle, haut-de-forme, fleur à la boutonnière et revolver en poche : depuis 1905, la silhouette d’Arsène Lupin a effrayé et diverti des générations de lecteurs. Dandy et bagarreur, scélérat et... Monocle, haut-de-forme, fleur à la boutonnière et revolver en poche : depuis 1905, la silhouette d’Arsène Lupin a effrayé et diverti des générations de lecteurs. Dandy et bagarreur, scélérat et charmeur, ce gentleman a sévi dans plus d’une vingtaine d’œuvres, nées de l’imagination de Maurice Leblanc (1864-1941).
Pourquoi « Maman Coralie...
Monocle, haut-de-forme, fleur à la boutonnière et revolver en poche : depuis 1905, la silhouette d’Arsène Lupin a effrayé et diverti des générations de lecteurs. Dandy et bagarreur, scélérat et charmeur, ce gentleman a sévi dans plus d’une vingtaine d’œuvres, nées de l’imagination de Maurice Leblanc (1864-1941).
Pourquoi « Maman Coralie », l’infirmière dont s’est épris le capitaine Patrice Delval, mutilé de guerre, lui est-elle si peu reconnaissante d’avoir empêché son enlèvement ? Pour quelle raison le mari de celle-ci a-t-il été assassiné ? Ces mystères ont-ils à voir avec le vol inexpliqué des réserves d’or de la France ?
Donné pour mort depuis qu’il s’est jeté dans la mer du haut d’un rocher, Lupin serait bien en mal de déjouer la vaste conjuration dans laquelle Belval s’est impliqué malgré lui. À moins que…
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EAN : 9791039201445
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9791039201445
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ogrimoire 06/05/2022
    Cette histoire publiée initialement en 1918 est évidemment datée par certains côtés – qui, désormais, oserait appeler un ancien combattant sénégalais, défiguré, Ya-Bon ? Et qui oserait, surtout, en faire le souffre-douleur consentant d’un capitaine de l’armée française ? -. Pas de téléphone portable, pas de bases de données ni de dark-web, pas de course-poursuite – enfin, si… en péniche et en barque ! -. Et pourtant, à aucun moment on ne se dit « aille, ça a quand même sacrément mal vieilli… ». Certes, on assiste à une représentation en costumes, les hommes – même lorsqu’ils ne sont pas décrits – semblent porter le haut-de-forme et être sanglés dans un costume trois-pièces. Mais l’intrigue est ciselée juste comme il faut. En même temps, Maurice Leblanc savait jouer sur des intemporels. Il nous narre ici une histoire d’amour, de haine, de trahison, de vengeance, avec, à la clé, un trésor de 300 millions en or… Qui y résisterait ? Et, survolant toute cette histoire, un génie. Génie qui, après avoir longtemps recherché son propre profit, sans se départir de sa légendaire élégance, met ici ses talents au service de la France. On peut supposer que c’est en partie l’époque qui voulait cela… on imaginerait mal, alors que la Première Guerre mondiale faisait rage, voir le gentleman se préoccuper de son seul intérêt. Et, probablement, ce choix fait par Maurice Leblanc a contribué à ce que son héros devienne un véritable mythe, comme une incarnation d’un certain esprit français… Héroïque et tragique, étincelant et sombre, humain et cynique, c’est comme un condensé de nos contradictions qui s’étale sous nos yeux. Est-ce que j’aime Arsène Lupin ? Oui ! Est-ce que je vous invite à le redécouvrir sous ses traits originaux – même ceux qui ont adopté la série – ? Dix fois oui ! Est-ce que Le triangle d’or mérite de rejoindre votre PAL ? À mon avis, cent fois oui ! Alors n’attendez pas !Cette histoire publiée initialement en 1918 est évidemment datée par certains côtés – qui, désormais, oserait appeler un ancien combattant sénégalais, défiguré, Ya-Bon ? Et qui oserait, surtout, en faire le souffre-douleur consentant d’un capitaine de l’armée française ? -. Pas de téléphone portable, pas de bases de données ni de dark-web, pas de course-poursuite – enfin, si… en péniche et en barque ! -. Et pourtant, à aucun moment on ne se dit « aille, ça a quand même sacrément mal vieilli… ». Certes, on assiste à une représentation en costumes, les hommes – même lorsqu’ils ne sont pas décrits – semblent porter le haut-de-forme et être sanglés dans un costume trois-pièces. Mais l’intrigue est ciselée juste comme il faut. En même temps, Maurice Leblanc savait jouer sur des intemporels. Il nous narre ici une histoire d’amour, de haine, de trahison, de vengeance, avec, à la clé, un trésor de 300 millions en or… Qui y résisterait ? Et, survolant toute cette histoire, un génie. Génie qui, après avoir longtemps recherché son propre profit, sans se départir de sa légendaire élégance, met ici ses talents au service de la France. On peut supposer que c’est en partie l’époque qui voulait cela… on...
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  • capillo 22/02/2021
    Le triangle d'or, c'est un peu à la littérature ce qu'Usual Suspects est au cinéma : une démonstration, une affirmation d'un mensonge artistique. C'est un exercice que Maurice Leblanc n'invente pas, qui a déjà été utilisé et qui le sera encore : manipuler le lecteur en utilisant les outils littéraires, le point de vue notamment (à l'oeuvre chez Agatha Christie avec Roger Ackroyd). Ainsi, l'auteur scinde son récit en deux parties, l'une qui pose les éléments du "complot", de manière linéaire, l'autre qui met en scène Arsène Lupin et la façon dont il détricote l'intrigue, jusqu'à une explication finale qui montre à quel point le " méchant" s'est joué des "gentils", et par métaphore, l'auteur de ses lecteurs. C'est bougrement efficace, le principe interroge notre façon de lire, et l'on en vient à vouloir reprendre la lecture depuis le début pour repérer les indices. Pour autant, et ce sera là un point de vue très personnel, Le Triangle d'Or n'a pas réussi à me happer ; je l'ai trouvé trop long et, quelque part, assez daté. J'adore Arsène Lupin, mais là on ne s'est pas trouvé... Dernière chose en forme de post-scriptum : le traitement du personnage de Ya-Bon peut créer un malaise, car même s'il est positif et qu'une certaine ironie vient parfois accuser le capitaine Belval, le relent colonialiste méprisant prend le dessus. Autre temps, autres moeurs... Le triangle d'or, c'est un peu à la littérature ce qu'Usual Suspects est au cinéma : une démonstration, une affirmation d'un mensonge artistique. C'est un exercice que Maurice Leblanc n'invente pas, qui a déjà été utilisé et qui le sera encore : manipuler le lecteur en utilisant les outils littéraires, le point de vue notamment (à l'oeuvre chez Agatha Christie avec Roger Ackroyd). Ainsi, l'auteur scinde son récit en deux parties, l'une qui pose les éléments du "complot", de manière linéaire, l'autre qui met en scène Arsène Lupin et la façon dont il détricote l'intrigue, jusqu'à une explication finale qui montre à quel point le " méchant" s'est joué des "gentils", et par métaphore, l'auteur de ses lecteurs. C'est bougrement efficace, le principe interroge notre façon de lire, et l'on en vient à vouloir reprendre la lecture depuis le début pour repérer les indices. Pour autant, et ce sera là un point de vue très personnel, Le Triangle d'Or n'a pas réussi à me happer ; je l'ai trouvé trop long et, quelque part, assez daté. J'adore Arsène Lupin, mais là on ne s'est pas trouvé... Dernière chose en forme de post-scriptum : le traitement du personnage de Ya-Bon peut créer...
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  • Roiben 05/02/2020
    Un'ottima prova, questa di Leblanc, a tratti sono perfino riuscita ad apprezzare il suo personaggio femminile, mamma Coralie (a piccoli sorsi, perché nel complesso è estenuante). Amo Patrice, credo sia diventato uno dei miei personaggi prediletti dell'universo di Lupin, dopo Ganimard e Lupin stesso, s'intende. Ho apprezzato perfino Desmalions e Valenglay. Mi è dispiaciuto molto per Yabon. Non mi è dispiaciuto affatto per Sébastien. Trama intricata dalla quale è difficile staccarsi se non dopo aver letto la fine e aver tirato un sospiro di sollievo.
  • Errant 27/12/2018
    J'ai bien apprécié cette aventure mais pour des raisons inhabituelles car Arsène ne figure qu'en deuxième partie et même s'il a la verve et le talent habituel, le personnage laisse moins son empreinte que de coutume. Par contre Leblanc a concocté ici une intrigue magistrale dans laquelle je me suis perdu avec plaisir.. L'action ne manque pas, les rebondissements fusent, les personnages sont imposants, le rythme trépidant. Bref, tous les ingrédients pour en faire un divertissant moment de lecture sont réunis et les insolences de notre héros m'ont, encore une fois, accroché un sourire béat.
  • vassia7178 10/11/2018
    Mystère et suspense pour notre camarade au patronyme de fleur : Lupin.
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