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Les 40èmes délirants
Collection : Romans
Date de parution : 07/06/2012
Éditeurs :
le cherche midi

Les 40èmes délirants

Collection : Romans
Date de parution : 07/06/2012

« Ceci n’est pas un roman.
C’est un récit… rocambolesque.
Le récit d’un voyage dans l’imaginaire,
c’est-à-dire qui ne répond pas aux lois du réel.
Pas d’horaires… ni d’avance, ni de retard !
On part...

« Ceci n’est pas un roman.
C’est un récit… rocambolesque.
Le récit d’un voyage dans l’imaginaire,
c’est-à-dire qui ne répond pas aux lois du réel.
Pas d’horaires… ni d’avance, ni de retard !
On part quand on veut.
On ne revient pas à l’heure dite.
Personne ne vous attend au pied
de la grande horloge.
Aucun décalage horaire.
Aucun train...

« Ceci n’est pas un roman.
C’est un récit… rocambolesque.
Le récit d’un voyage dans l’imaginaire,
c’est-à-dire qui ne répond pas aux lois du réel.
Pas d’horaires… ni d’avance, ni de retard !
On part quand on veut.
On ne revient pas à l’heure dite.
Personne ne vous attend au pied
de la grande horloge.
Aucun décalage horaire.
Aucun train ne vous siffle.
L’esprit suit son chemin, vagabonde…
sans carte ni boussole,
ce qui n’empêche (n’exclut)
ni les sentiments, ni les drames…
ni… d’en rire…
si l’envie vous en prend. »

Raymond Devos



Étonnant ! Avec sa faculté d’invention et d’émerveillement sans limites, Raymond Devos nous raconte l’équipée de Max dans un pays au-delà d’un désert imaginaire et de ses mirages. Nous y découvrons d’incroyables personnages prêts à s’embarquer sur une sorte d’Arche de Noé, pour retrouver le monde réel... le seul qui vaille, là où le ciel est le ciel, les étoiles, des étoiles et les êtres des âmes, et pas ces virtuels qu’ils sont, paraît-il, devenus… Un vrai bonheur !

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EAN : 9782749127897
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782749127897
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Jeannot45 05/04/2024
    Max est un mime-parlant. Comme disait l’auteur : « C’était assez révolutionnaire. Le directeur était parti du principe que, puisqu’après le cinéma muet, il y avait eu le cinéma parlant, si l’on voulait que le mime évolue, il fallait aussi lui donner la parole, d’où le nom de mime-parlant. » Il rencontre un spectateur qui lui demande de l’emmener faire la traversée du désert dans l’imaginaire. Ils se mettent en route Et là, le grain de sable… J’ai commencé la lecture de ce livre avec beaucoup de gourmandise. Le début était prometteur. Raymond Devos, magicien des mots, jongleurs des expressions et des doubles sens s’en donnait à cœur joie. Et puis au fur et à mesure, l’enthousiasme s’estompe. A la lecture il manque la gouaille du conteur, ce qui fait tout le sel de ses sketches. On est dans « l’absurdie » et les situations et les jeux de mots sont de moins en moins subtiles. Je termine le livre déçu même si quelques pages sont absolument délirantes.
  • Gruizzli 14/10/2021
    Une chose assez courante en littérature, c'est la catégorisation d'un livre dans un style bien défini et que l'on cherche à distinguer du reste. Ce qui souvent absurde, car un livre reste avant tout un message, comme n'importe quelle expression artistique. On veut dire quelque chose, on le dit via un moyen qui parlera plus que la simple parole normale. On peut broder des textes, ou les simplifier, écrire,  chanter, jouer, peindre, sculpter, bâtir ... Et parfois, on ne sait pas trop dans quelle catégorie il faut ranger ce que l'on a à dire. Alors c'est le moment du mélange de plusieurs choses. On mélange des styles, des effets, des arts, et le final est alors plus déroutant que l'on pourrait croire. C'est, mesdames et messieurs, un roman de ce genre que je vous propose aujourd'hui, rapidement. Un beau roman. Les 40ème délirants de Devos. Devos, je pense que c'est mon comique préféré. Il sait manier à merveille le mot et le verbe, accommoder la langue, l'humour, la poésie et la grande tradition du mime, du clown et simplement de la musique. Ses spectacles sont un régal car un peu fourre-tout, sans que l'on puisse deviner la suite, sans que l'on sache ce qu'il va encore trouver pour nous émerveiller. Je suis toujours plié de rire à chacun de ses sketchs, et je suis aussi émerveillé, étonné, sidéré, fasciné par cet homme qui sait combiner tant de talents dans divers domaines au même moment au même endroit pour juste nous faire rire, sourire, ou simplement passer un moment agréable. Je crois que dans le genre, il excelle. Il prenait plaisir à faire rire son public, et cela se ressent. Un artiste que j'adore. Quand je vois un livre d'un homme génial et qui sait marier les mots, je ne réfléchis pas trop longtemps et je me jette dessus. Lorsqu'on me dit que Devos à écrit des livres (j'ai découvert cela très récemment), je me jette dessus sans le moindre temps de réflexion. Et me voila possesseur d'un petit livre en format de poche, au titre rêveur, à la couverture qui attire l’œil et me donne envie de le lire. Que me faut-il de plus pour ouvrir ? Je me précipite dessus et le dévore en moins de une heure. Encore dans le livre, je m'assois pour écrire cette chronique. Ce livre est très court. Mais d'une certaine façon, il est très lent. L'histoire est tellement absurde de base. Un homme, mime-parlant, est entraîné par un autre homme pour aller dans les contrées de l'imaginaire. Ce mime, appelé Max, va rentrer dans un désert par son imagination, mais se retrouve coincé lorsqu'une tempête se déclenche. Et le voila prisonnier d'un monde au-delà de l'imaginaire ! Coincé sur une île, peuplée de fous, ou de personnes ayant dépassés les limites de l'imagination, et qui vont essayer de retourner dans le monde réel. Ce spitch peut laisser songeur, mais il est un prétexte à une succession de petits chapitres qui vont découper le livre en autant de petits sketchs, chacun à sa manière amusant. Ils sont tous originaux, ils sont tous drôles, chacun à au moins un jeu de mots et tous ont du rêve, de la poésie et de l'imagination à revendre. En un roman, Devos nous livre assez d'idées pour faire deux mille romans. Dans le genre, il me rappelle fortement Boris Vian et son univers décalé. Sauf que Boris Vian faisait une satyre de la société, alors que Devos s'évade dans des contrées complètement lointaines, sans plus aucun lien avec la terre (alors qu'elle s'en attache à chaque paragraphe), dans un monde où l'imaginaire lui-même est dépassé. Nous voila dans une île, près du 40ème délirant, proche du 40ème rugissant. Avec des fous. Si j'ai adoré ce roman (et je l'ai vraiment adoré), c'est pour son style. La patte de Devos se ressent très fortement, au point qu'on pourrait l'entendre nous le lire. Je suis sûr qu'en lecture orale, ce livre aurait un succès incroyable. Il est drôle d'un bout à l'autre, inventif, sans perdre pour autant une structure narrative, il contient des milliers d'idées qui bouillonnent en tout sens sans jamais se perdre ni s'arrêter, il vous fait passer par tout ce qu'on peut imaginer. Et voila que nous avons aussi le droit à des grands personnages, un air de Duke Ellington et bien d'autres choses qui nous font voyager agréablement. Ce roman pose une ambiance qu'on ne lâche plus et dans laquelle toutes les folies sont permises. Ne cherchons pas à comprendre, allons de l'avant simplement. Et sans attaches ! L'introduction est en ce sens parlant. Devos signe un superbe livre, totalement en accord avec ce qu'on connaît de lui sur scène. Il nous livre un ouvrage décalé, sans que l'on puisse le catégoriser dans un genre précis. C'est drôle, c'est frais, c'est neuf, c'est décalé, c'est inventif. Je pourrais le couvrir d'éloge des heures durant. C'est court et vite lu, c'est très facile à relire, on retrouvera beaucoup de détails qui nous ont échappés lors de la première lecture. Les perles sont légions, tout est bon. Je suis charmé, au-delà de ce que je pensais. À lire ? Oui, si vous aimez Devos. Sinon, passez votre chemin, imperméable à ce style unique au monde. Il nous faut aimer la belle langue, la fantaisie d'esprit et l'imagination. C'est du Boris Vian sans critique sociale mais avec encore plus d'humour et de bon mots. J'aime les deux. J'ai aimé Devos. Je vous le recommande.Une chose assez courante en littérature, c'est la catégorisation d'un livre dans un style bien défini et que l'on cherche à distinguer du reste. Ce qui souvent absurde, car un livre reste avant tout un message, comme n'importe quelle expression artistique. On veut dire quelque chose, on le dit via un moyen qui parlera plus que la simple parole normale. On peut broder des textes, ou les simplifier, écrire,  chanter, jouer, peindre, sculpter, bâtir ... Et parfois, on ne sait pas trop dans quelle catégorie il faut ranger ce que l'on a à dire. Alors c'est le moment du mélange de plusieurs choses. On mélange des styles, des effets, des arts, et le final est alors plus déroutant que l'on pourrait croire. C'est, mesdames et messieurs, un roman de ce genre que je vous propose aujourd'hui, rapidement. Un beau roman. Les 40ème délirants de Devos. Devos, je pense que c'est mon comique préféré. Il sait manier à merveille le mot et le verbe, accommoder la langue, l'humour, la poésie et la grande tradition du mime, du clown et simplement de la musique. Ses spectacles sont un régal car un peu fourre-tout, sans que l'on puisse deviner la suite, sans que l'on sache...
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  • rosulien 06/08/2021
    Une petit livre du grand Devos On y retrouve l’univers délirant et imaginaire , le monde absurde et loufoque de notre grand comique C’est sympathique mais moins ciselé que dans les grands sketchs que nous connaissons tous par cœur Plaisant mais à réserver aux inconditionnels de Raymond Devos dont je fais partie Juste une petite friandise qui ne restera pas dans les mémoires
  • 0665109556 30/01/2020
    Notre corpus d'aujourd'hui s'intitule les #40_délirants écrit par #devos_raymond.cette fois ci il ne s'agit pas d'un roman mais plutôt un récit rocambolesque, on va suivre notre personnage principal dans l'imaginaire, on va vivre avec lui ses aventures, ses péripéties et ses périples dans un monde irrèel. Comment il est parvenu à s'introduire dans l'au-delà de l'imaginair ? Est ce que le monde imaginaire était comme celui du réel ? Pourquoi le choix de traverser le désert dans l'imaginaire puisque on peut le réaliser dans le monde réel ? Est ce qu' il s'agit de la métempsycose ? Le fait que l'homme est persuadé de pouvoir être quelqu'un d'autre dans une vie antérieure et aussi on va s'intéresse au sujet de l'incarnation. Duke voudrais faire la traversée du désert dans l'imaginaire !! Il trouve que notre personnage principal qui est max va réaliser son désir, max est un jeune homme qui exerce la pantomime dans un cirque à Paris, il perfectionne son travail surtout la scène où il a mimé qui a soif et qui a but, il buvait le contenu d'une bouteille avec une telle conviction. C'est max qui a la capacité d'entraîner dans l'imaginaire et surtout qu'il pouvait le ramener au réel sans dommage. Même s'il s'agit d'un voyage fictif, duke a un but, il est venu dans ce monde imaginaire pour voir les femmes qui dansent la danse du ventre ce qui va contraster le chemin de max pour lui on ne peut pas exagérer dans l'imaginaire, on ne peut pas aller derrière les chameaux, c'est dangereux, c'est l'inconnu. On voit clairement l'hisitation de max et la peur de l'inconnu comme chaque créature mais cette fois-ci est différente on est dans notre monde, c'est un univers fictif qui ne répond pas aux lois du réel, on n'est pas obligé de garder l'imagination borne, etriquè ,vétuste et rétro ! Max va franchir, transgresser sa peur et aller au delà de l'imaginaire seul, c'est un homme de parole, il est obligé de trouver son spectateur qui est perdu dans ce désert déserte. Max a fait beaucoup de rencontre en traversant le disert, il a eu l'occasion de rencontrer des personnalités liées à la religion, comme le prophète Noé, EVe et le fils de Dieu selon leur religion qui est le prophète jésus mais il va vite comprendre que tous les personnages, ils ont une autre vie dans un monde antérieure c'est la métempsycose ou bien c'est juste l'envie de s'incarner dans d'autres personnalités et de vivre des aventures dans l'au-delà de l'imaginaire , le désir de changer de rayer ses contraintes et de vivre des escapades fabuleuses puisqu'il ne reste aucun lieu à explorer dans le monde réel, ils se sont réunis pour explorer un nouveau monde par le portrait_robot (bateau), la mer c'est la seul solution pour gagner ce nouveau monde. Comme le réel répond au lois ainsi que l'imaginaire, au moment de la navigation, ils ont confronté le rocher fantôme, c'est un obstacles qu'on ne pouvait jamais le franchir c'est le 40 délirants, il s' agit d'un couloir, une voie d'eau étroite et cette voie d'eau est à géométrie variable , selon que le vent souffle la mer grossit !!! Notre corpus d'aujourd'hui s'intitule les #40_délirants écrit par #devos_raymond.cette fois ci il ne s'agit pas d'un roman mais plutôt un récit rocambolesque, on va suivre notre personnage principal dans l'imaginaire, on va vivre avec lui ses aventures, ses péripéties et ses périples dans un monde irrèel. Comment il est parvenu à s'introduire dans l'au-delà de l'imaginair ? Est ce que le monde imaginaire était comme celui du réel ? Pourquoi le choix de traverser le désert dans l'imaginaire puisque on peut le réaliser dans le monde réel ? Est ce qu' il s'agit de la métempsycose ? Le fait que l'homme est persuadé de pouvoir être quelqu'un d'autre dans une vie antérieure et aussi on va s'intéresse au sujet de l'incarnation. Duke voudrais faire la traversée du désert dans l'imaginaire !! Il trouve que notre personnage principal qui est max va réaliser son désir, max est un jeune homme qui exerce la pantomime dans un cirque à Paris, il perfectionne son travail surtout la scène où il a mimé qui a soif et qui a but, il buvait le contenu d'une bouteille avec une telle conviction. C'est max qui a la capacité d'entraîner dans...
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  • Babelutte52 19/07/2018
    Pour moi c'est la transposition d'un rêve. On pourrait tout simplement rêver cette histoire. C'est pure poésie et non accessible à tous. Peut-être suis-je partial, mais je suis un inconditionnel de Raymond Devos que j'écoute depuis toujours. Excellente lecture aux amateurs du genre !
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