Les Accoucheuses tome 3

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• amelie_et_ses_lectures 16/12/2022

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  J’ai débuté le troisième et dernier tome de la saga #lesaccoucheuses plus de 3 mois après avoir terminé le deuxième volume qui m’avait laissé une impression en demi-teinte. Dans ce pavé de plus de 900 pages, on retrouve les personnages principaux des tomes précédents tout en se concentrant sur Flavie. En effet, au début du livre elle vit parmi une communauté aux mœurs étranges située aux états unis et ce n’est pas la partie la plus réussie de la trilogie selon moi !   En effet, la lecture du premier tiers à été difficile pour moi car par le biais des lettres et réflexions de Flavie l’autrice s’attarde dans de longues digressions philosophiques et religieuses que j’ai trouvé répétitives et peu intéressantes. Cependant au fur et à mesure de l’accélération de l’intrigue mon intérêt pour ce livre est remonté. Ainsi par la suite j’ai retrouvé ce qui m’avait plus dans le premier tome c’est-à-dire le récit du combat de ses femmes pour exercer leur métier en toute indépendance, le tout savamment parsemé d’aspects plus personnels. Même si le happy-end final est un peu facile à mon goût. En bref, un tome 3 qui clôt joliment cette saga entamée avec un coup de cœur, et je crois que j’aurais encore été plus séduite par cette trilogie s’il y avait eu moins de digressions et de répétitions  ! J’ai débuté le troisième et dernier tome de la saga #lesaccoucheuses plus de 3 mois après avoir terminé le deuxième volume qui m’avait laissé une impression en demi-teinte. Dans ce pavé de plus de 900 pages, on retrouve les personnages principaux des tomes précédents tout en se concentrant sur Flavie. En effet, au début du livre elle vit parmi une communauté aux mœurs étranges située aux états unis et ce n’est pas la partie la plus réussie de la trilogie selon moi !   En effet, la lecture du premier tiers à été difficile pour moi car par le biais des lettres et réflexions de Flavie l’autrice s’attarde dans de longues digressions philosophiques et religieuses que j’ai trouvé répétitives et peu intéressantes. Cependant au fur et à mesure de l’accélération de l’intrigue mon intérêt pour ce livre est remonté. Ainsi par la suite j’ai retrouvé ce qui m’avait plus dans le premier tome c’est-à-dire le récit du combat de ses femmes pour exercer leur métier en toute indépendance, le tout savamment parsemé d’aspects plus personnels. Même si le happy-end final est un peu facile à mon goût. En bref, un tome 3 qui clôt joliment cette saga entamée avec un coup de cœur, et je...

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• Sylvanie26 28/07/2022

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  Dans ce tome 3, la suite de "Les accoucheuses",  Flavie démarre une nouvelle vie au cœur de l'État de New York. Cette fin de saga reste une histoire forte et enrichissante. Puis en alternance au fil des chapitres, on retrouve Léonie, sa mère, restée au Canada. Elle poursuit cette mission auprès des femmes avec ferveur dans cette maison qu'elle a créée. Devant ces médecins, tous hommes bien sûr, les parcours des sages-femmes (et des femmes en général) ressemble à une bataille de chaque instant. Le côté romanesque adoucit les envies de "pousser" à certains passages des coups de gueule particulièrement sur la "bien-pensance" des bourgeoises (oui des femmes) empêchant les avancées novatrices pour se libérer du joug masculin et de toutes les façons du catholicisme toujours virulent avec ses représentants masculins ("monseigneur est irrité par l'esprit d'indépendance qui règne ici !"). Dans le même temps, Flavie évolue dans une étrange communauté où cette liberté est, pardon, un peu dérangeante car ces passages donnent un peu de lourdeur à l'histoire. Malgré cela, si un quatrième tome venait à paraître je me le procurerais. Une bien jolie fresque très documentée dans un monde hostile au bien-être des femmes encore et toujours... Non seulement elles se confrontent encore et toujours aux règles des hommes, mais également à ces injonctions de la "bonne" société du 19e siècle de Montréal. Au risque de me répéter, ces femmes d'un autre temps sont si modernes. Elles sont admirables, déterminées, dignes, fabuleuses... "les sages-femmes devront laisser malmener par une autorité parfois abusive, par un médecin qui dissimule un manque d'expérience derrière une science théorique péremptoire !" Oui ces ouvrages, à chaque tome, sont des pavés, pour autant, je les recommande. Le travail de l'auteure est véritablement admirable. Mon préféré reste le tome 2. Merci à toutes femmes qui ont mené tant et tant de combats avant nous.Dans ce tome 3, la suite de "Les accoucheuses",  Flavie démarre une nouvelle vie au cœur de l'État de New York. Cette fin de saga reste une histoire forte et enrichissante. Puis en alternance au fil des chapitres, on retrouve Léonie, sa mère, restée au Canada. Elle poursuit cette mission auprès des femmes avec ferveur dans cette maison qu'elle a créée. Devant ces médecins, tous hommes bien sûr, les parcours des sages-femmes (et des femmes en général) ressemble à une bataille de chaque instant. Le côté romanesque adoucit les envies de "pousser" à certains passages des coups de gueule particulièrement sur la "bien-pensance" des bourgeoises (oui des femmes) empêchant les avancées novatrices pour se libérer du joug masculin et de toutes les façons du catholicisme toujours virulent avec ses représentants masculins ("monseigneur est irrité par l'esprit d'indépendance qui règne ici !"). Dans le même temps, Flavie évolue dans une étrange communauté où cette liberté est, pardon, un peu dérangeante car ces passages donnent un peu de lourdeur à l'histoire. Malgré cela, si un quatrième tome venait à paraître je me le procurerais. Une bien jolie fresque très documentée dans un monde hostile au bien-être des femmes encore et toujours... Non seulement elles se confrontent encore et toujours...

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• AnitaMillot 27/07/2020

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  1853. Flavie a quitté le Bas-Canada et a rejoint son amie Marguerite en Amérique, dans la communauté d’Omeida, dirigée par Father Noyes. De son côté, Léonie sa mère voit ses souvenirs de jeunesse bouleversés par la mort du Docteur Nicolas Rousselle, terrassé (pratiquement dans ses bras) par une crise cardiaque foudroyante, lors d’une visite professionnelle à la Société Compatissante. S’il se montrait régulièrement méprisant et arrogant avec les sages-femmes, il n’en fut pas moins son premier amoureux quand elle avait à peine dix-huit ans, dans sa ville natale de Longueuil … Il sera remplacé par son fils, Jacques Rousselle, au grand regret de Léonie qui aurait préféré que son gendre Bastien lui succède, quand bien même Flavie et ce dernier s’étaient séparés (provisoirement ne pouvait-elle s’empêcher d’espérer …) Ce troisième et dernier opus m’a un peu moins passionnée que les précédents, je dois bien l’avouer. Ceci étant probablement dû au fait que Flavie puisse être séduite par une communauté sectaire, détail relativement incompatible avec le personnage auquel l’auteure nous avait habitué … On y espèrait de même une ouverture vers une émancipation féminine qui n’est pas encore au rendez-vous (il est vrai qu’il faudra encore attendre près d’un siècle pour en voir l’épanouissement …)
• Arweeeen 09/02/2019

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  Et voilà, c'est fini... Ayant adoré les deux premiers tomes, je me suis empressée de commencer le dernier. J'ai préféré la deuxième partie, même si elle commence sur un évènement assez tragique. J'ai été assez dérouté par les choix de Flavie dans la première partie, car j'avais pensé quelle était plutôt contre ce genre d'idée. Évidemment, sans vouloir me répéter, l'écriture, les personnages, les quelques faits historiques relatés m'ont enchanté. Au terme de ma lecture je me sens assez triste de devoir dire au revoir à Flavie et Léonie, Bastien, Catherine, Marguerite, Simon, Marie - Claire et Françoise...
• Blandine80 27/05/2017

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  On retrouve Léonie et sa famille, ainsi que son entourage. Flavie s'est éloignée, préférant la vie dans une communauté mystique sur fond de religion chrétienne. Léonie continue de se battre pour son école d'apprentissage pour sage-femmes. elle continue de se heurter à la fierté mâle des médecins et du clergé. On suit les progrès de la médecine, d'hygiène au fur et à mesure des années qui passent. Il aurait été dommage de ne pas lire le tome 3 en ayant apprécié les deux premiers. Toutefois l'histoire ne nécessitait pas 940 pages. Les longs "cours" de religion du father Noyes (qui a réellement existé) ont cassé mon enthousiasme. j'ai sauté quelques lignes ! D'un point de vue purement historique AM Sicotte colle à la réalité mais ça gâche considérablement l'intérêt éprouvé pour la vie, l'évolution de la famille.