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Les Borgia
Claude Schopp (préface de)
Date de parution : 01/06/2011
Éditeurs :
Archipoche

Les Borgia

Claude Schopp (préface de)
Date de parution : 01/06/2011
César Borgia, fils du pape Alexandre VI, étend sa puissance sur Rome. Tous les moyens sont bons pour écarter ennemis et rivaux. Publiant en 1840 cette sanglante histoire, qui prend place dans son recueil de Crimes célèbres, Alexandre Dumas retrouve la voluptueuse et cruelle Renaissance, cadre de son premier triomphe théâtral, Henri III et sa cour.
 
Sur les pas de Dumas dans les ténèbres de la Renaissance italienne
 
Tous les moyens sont bons pour César Borgia (1475-1507), fils du pape Alexandre VI, afin d'écarter ennemis, rivaux et étendre...
Sur les pas de Dumas dans les ténèbres de la Renaissance italienne
 
Tous les moyens sont bons pour César Borgia (1475-1507), fils du pape Alexandre VI, afin d'écarter ennemis, rivaux et étendre sa puissance sur Rome. Il ira jusqu’à éliminer, par le poison ou par les armes, les membres de sa propre...
Sur les pas de Dumas dans les ténèbres de la Renaissance italienne
 
Tous les moyens sont bons pour César Borgia (1475-1507), fils du pape Alexandre VI, afin d'écarter ennemis, rivaux et étendre sa puissance sur Rome. Il ira jusqu’à éliminer, par le poison ou par les armes, les membres de sa propre famille : son frère aîné, les maris de sa sœur Lucrèce et les maîtresses qui eurent le malheur de se brûler à son pouvoir et de partager son lit.
Mais sa cruauté finira par se retourner contre lui… Écrivant cette sanglante aventure, issue de la série des Crimes célèbres (1839-1840), Dumas entraîne le lecteur dans les bas-fonds de l’Histoire et fait revivre l’une des grandes figures criminelles de la Renaissance. Modèle du Prince de Machiavel, Borgia offre l’exemple d’une romantique alliance des contraires : raffinement et sauvagerie, dépravation et courage.
Si l’admiration de Dumas le dispute à la répulsion, c’est qu’il y avait aussi dans ce monstre l’étoffe d’un grand homme qui, au forceps, tentait de mettre au monde l’Italie unie que le XIXe siècle peinait à réaliser.
 
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EAN : 9782352872375
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 230
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782352872375
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 230
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JacquesYvesDepoix 21/07/2020
    "La reine Margot" m'avait enchanté. "Les Borgia" m'ont tuer. Lol. Le récit commence bien. Il apporte sa dose de mystère et pose la fin d'une époque : le chant du cygne des Médicis. Mais ensuite, ça coince. D'abord, le lecteur se rend compte qu'il n'a pas en mains un roman mais un récit historique, un peu romancé sans plus. Et puis Dumas inonde sa narration de personnages que l'esprit du lecteur tente à chaque fois de retenir le plus précisément possible alors qu'en somme ils n'apparaîtront plus ou peu. Moi, lecteur, j'en suis tout étourdi. Je me fâche enfin car le procédé se répète et Dumas liste même des catalogues de noms comme s'il confondait son récit avec un who's who mondain de l'époque de la Renaissance italienne. À moins qu'il ait voulu se créer un pense-bête pour ne rien oublier plus tard de ses recherches. Cet aspect-là des choses, on ne peut lui enlever, à Dumas : quel boulot de prospective ! Mais bon. Moi lecteur, je suis déçu. Ceci dit, je me console, je n'ai dépensé qu'un euro et quatre-vingt-dix-neuf centimes. Pas cher. Ça m'apprendra. Décidément, les classiques ne me portent pas chance. Je me remets bientôt en selle et persévère tant mes lacunes sont grandes et m'agacent."La reine Margot" m'avait enchanté. "Les Borgia" m'ont tuer. Lol. Le récit commence bien. Il apporte sa dose de mystère et pose la fin d'une époque : le chant du cygne des Médicis. Mais ensuite, ça coince. D'abord, le lecteur se rend compte qu'il n'a pas en mains un roman mais un récit historique, un peu romancé sans plus. Et puis Dumas inonde sa narration de personnages que l'esprit du lecteur tente à chaque fois de retenir le plus précisément possible alors qu'en somme ils n'apparaîtront plus ou peu. Moi, lecteur, j'en suis tout étourdi. Je me fâche enfin car le procédé se répète et Dumas liste même des catalogues de noms comme s'il confondait son récit avec un who's who mondain de l'époque de la Renaissance italienne. À moins qu'il ait voulu se créer un pense-bête pour ne rien oublier plus tard de ses recherches. Cet aspect-là des choses, on ne peut lui enlever, à Dumas : quel boulot de prospective ! Mais bon. Moi lecteur, je suis déçu. Ceci dit, je me console, je n'ai dépensé qu'un euro et quatre-vingt-dix-neuf centimes. Pas cher. Ça m'apprendra. Décidément, les classiques ne me portent pas chance. Je me remets bientôt en selle et persévère...
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  • henrimesquida 03/01/2020
    Source inégalable pour un devoir d'Histoire Moderne mais pénible épreuve pour celui qui veut en savoir plus sur l'aspect romantique et romanesque de la famille papale la plus controversée à ce jour.
  • bfauriaux 01/12/2019
    Un livre revenu dans l'actualité avec la saga televisee du meme nom on retrouvera ici tout le machiavelisme de cette famille mythique avec le plus grand plaisir: un live splendide et une reussite incontournable de l'auteur !
  • marylinestan 28/03/2018
    Cette fin du XVème siècle voit l’avènement d’un nouveau pape : par la vertu d’un sacre truqué, l’ambitieux Roderic Borgia, devient Alexandre VI, self made pape, dont les yeux avides, du haut du Vatican, vont rapidement se tourner vers l’Europe. Flanqué de cinq enfants nés de sa maîtresse Rosa Vanozza, le pape est père : d’une fille, Lucrèce qu’il aime de tout son cœur et plus en corps, et de César, son fils façonné à son image, dans lequel se reflète son âme. Damnée. Ensemble, ces trois Borgia font former un triumvirat redoutable uni par la luxure, l’appât du gain et une inconcevable cruauté que rien, ni personne n’arrête, même pas Alexandre Dumas, qui taille avec truculence dans les épisodes de la petite et de la grande Histoire. Tel un Gargantua énervé, l’auteur débite avec largesse des pans d’intrigues princières, de guerres utérines entre les cités italiennes où par le truchement des alliances interviennent aussi les armées des rois de France et d’Espagne, sans compter les mercenaires suisses. Et entre ces mets dégoulinants, étroitement imbriquées, s’articulent les scélératesses renouvelées de la famille Borgia. Au fil du texte, César, véritable sérial killer, a dignement dépassé son père, assassinant, trahissant, torturant, empoisonnant, avec une candeur merveilleuse ses ennemis, ses amis, son frère en particulier et tous ceux qui ont l’heurt de se trouver sur son chemin en général. La somme des ignominies perpétrées sans qu’aucune retenue, ni aucune embûche vienne n’y mettre un frein a quelque chose de fascinant. Inhumainement fascinant (concept à méditer). Enfin, l’impensable se produit : le machiavélique César meurt. Désolée pour cette révélation qui gâche le suspens, mais j’avais besoin de (me) le préciser. Bref, un livre hors du commun, dérangeant, instructif, passionnant. Cette fin du XVème siècle voit l’avènement d’un nouveau pape : par la vertu d’un sacre truqué, l’ambitieux Roderic Borgia, devient Alexandre VI, self made pape, dont les yeux avides, du haut du Vatican, vont rapidement se tourner vers l’Europe. Flanqué de cinq enfants nés de sa maîtresse Rosa Vanozza, le pape est père : d’une fille, Lucrèce qu’il aime de tout son cœur et plus en corps, et de César, son fils façonné à son image, dans lequel se reflète son âme. Damnée. Ensemble, ces trois Borgia font former un triumvirat redoutable uni par la luxure, l’appât du gain et une inconcevable cruauté que rien, ni personne n’arrête, même pas Alexandre Dumas, qui taille avec truculence dans les épisodes de la petite et de la grande Histoire. Tel un Gargantua énervé, l’auteur débite avec largesse des pans d’intrigues princières, de guerres utérines entre les cités italiennes où par le truchement des alliances interviennent aussi les armées des rois de France et d’Espagne, sans compter les mercenaires suisses. Et entre ces mets dégoulinants, étroitement imbriquées, s’articulent les scélératesses renouvelées de la famille Borgia. Au fil du texte, César, véritable sérial killer, a dignement dépassé son père, assassinant, trahissant, torturant,...
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  • YannJulien 26/07/2016
    Alexandre Dumas est mon auteur préféré. Là, je n'ai pas retrouvé le style, le récit qui se lit "comme du petit lait"; même le rythme est chaotique, pourtant certains -très bons- éléments sont là, l'intrigue, les empoisonnements au sein de cette famille qui a marqué l'histoire et l'imaginaire collectif. Peut-être Auguste Maquet était-il absent de ce livre...
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