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Les chemins de Maison Haute
Michel Ganstel (traduit par)
Date de parution : 01/10/2015
Éditeurs :
Archipoche

Les chemins de Maison Haute

Michel Ganstel (traduit par)
Date de parution : 01/10/2015
Quand Virginie, la petite-fille de Sam Barforth, se retrouve orpheline à seize ans, elle hérite d’un véritable empire industriel. Pour préserver la fortune familiale, son grand-père l'oblige à épouser son... Quand Virginie, la petite-fille de Sam Barforth, se retrouve orpheline à seize ans, elle hérite d’un véritable empire industriel. Pour préserver la fortune familiale, son grand-père l'oblige à épouser son cousin Joël, homme cynique et arriviste.Virginie va donc connaître l'existence d'une sage épouse, astreinte à une morale qui exclut le... Quand Virginie, la petite-fille de Sam Barforth, se retrouve orpheline à seize ans, elle hérite d’un véritable empire industriel. Pour préserver la fortune familiale, son grand-père l'oblige à épouser son cousin Joël, homme cynique et arriviste.Virginie va donc connaître l'existence d'une sage épouse, astreinte à une morale qui exclut le plaisir, jusqu'au jour où elle découvre la passion avec Charles Aycliffe, dont elle devient la maîtresse.Mais Virginie va être soumise à bien des épreuves. Aux bouleversements sociaux, à la rébellion contre le machisme, s'ajoutent les drames qu'entraîne son comportement. Joël va cependant ouvrir les yeux sur la nature exceptionnelle de sa femme, faire amende honorable et lui pardonner. Il la supplie de rester avec lui. Le choix appartient enfin à Virginie : que décidera-t-elle ? 
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EAN : 9782352878124
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 592
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782352878124
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 592
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • rulhe 19/08/2020
    dans l, Angleterre victorienne virginia barforth fille d'un riche filateur, doit supporté sont père et son frère. hommes autoritaires, jusqu'au jour ou ils meurent sous les coups d, ouvriers en colère 😠. elle va devenir l, héritière du patrimoine, pour le gardé elle va épousée sont cousin joel, un arriviste cynique qu'elle aime pas. plus tard elle va rencontré Charles, qui va lui faire découvrir l, amour et la tendresse. a travers sa trilogie Brenda Jagger, dresse le portrait effroyable des conditions de vie des ouvriers. une histoire complexe, mais passionnante.
  • Bislys 01/01/2020
    A la suite du décès de son père et de son frère, Virginie hérite d'un véritable empire industriel et devient aussi un parti de choix pour tous les jeunes hommes de la région. Forcée d'épouser son cousin, elle doit réussir à s'imposer pour conserver sa liberté. Pas facile dans l'Angleterre victorienne. Dur dur d'avoir un avis vraiment tranché sur ce premier tome de la saga des Barforth. Si j'ai aimé toute l'atmosphère de l'époque victorienne et l'évolution du mode de vie, j'ai été un peu plus dubitative sur les personnages et l'histoire en elle-même que j'ai trouvé lente et manquant cruellement du souffle romanesque que j'aime habituellement retrouver dans les sagas familiales. Virginie est passive une grande partie du roman et les personnages masculins manquent de caractères. On m'avait promis un roman à la Autant en emporte le vent mais pour moi on en est encore loin. Oui pour l'ambiance, mais non pour les personnages. Virginie Barforth n'arrive pas à la cheville de Scarlett O'Hara. J'espère que dans le tome 2 Virginie va un peu plus développer sa force de caractère (qui semble s'esquisser à la fin du livre). A voir donc car j'en attend plus pour être totalement convaincue.A la suite du décès de son père et de son frère, Virginie hérite d'un véritable empire industriel et devient aussi un parti de choix pour tous les jeunes hommes de la région. Forcée d'épouser son cousin, elle doit réussir à s'imposer pour conserver sa liberté. Pas facile dans l'Angleterre victorienne. Dur dur d'avoir un avis vraiment tranché sur ce premier tome de la saga des Barforth. Si j'ai aimé toute l'atmosphère de l'époque victorienne et l'évolution du mode de vie, j'ai été un peu plus dubitative sur les personnages et l'histoire en elle-même que j'ai trouvé lente et manquant cruellement du souffle romanesque que j'aime habituellement retrouver dans les sagas familiales. Virginie est passive une grande partie du roman et les personnages masculins manquent de caractères. On m'avait promis un roman à la Autant en emporte le vent mais pour moi on en est encore loin. Oui pour l'ambiance, mais non pour les personnages. Virginie Barforth n'arrive pas à la cheville de Scarlett O'Hara. J'espère que dans le tome 2 Virginie va un peu plus développer sa force de caractère (qui semble s'esquisser à la fin du livre). A voir donc car j'en attend plus pour être totalement...
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  • Lewellyna 31/03/2014
    Comme j'ai lu tous les livres traduits de Brenda Jagger, je mesure la qualité de son œuvre, parfois inégale malheureusement. Les Chemins de Maison Haute est le premier livre d'une trilogie, dans le plus pur style Jagger, à savoir que chaque héroïne de ce triptyque (l'histoire dans son ensemble se déroule sur 3 générations) a un caractère qui ne ressemble en rien à la précédente, bien que faisant partie d'une même famille. L'auteur explore toutes les facettes permises à une femme pas encore libérée de vivre sa vie et ses choix, dans un monde dominé par les hommes et leurs désirs, les mariages arrangés, les maternités précoces, le statut social, ... Et parfois à l'encontre des bonnes mœurs de l'époque (amants, séparations maritales, maîtresses, etc) ce qui ne se vit pas sans encombre. Chaque livre se lit à la première personne, ce qui rend chaque tome unique, parce que les narratrices sont différentes. L'héroïne de ce 1er tome, Virginie, est au début passive, endormie, elle est jeune, mais c'est un trait de caractère qui ne la rend pas agaçante, parce qu'elle est intelligente et a bien conscience qu'on se sert d'elle. Elle est la spectatrice d'une nouvelle ère, industrielle, et l'auteur nous replonge avec beaucoup de réalisme dans cette Angleterre du 19ème, avec ses mœurs compliquées sur fond social en révolte. Où les disparités sociales se font encore plus flagrantes, avec une bourgeoisie émergente de plus en plus riche et méprisante envers les ouvriers et/ou tout ce qui ne leur correspond pas (tout statut social inférieur), tandis que eux mêmes sont exécrés par la noblesse qui les trouve vulgaires et arrivistes. Sans récapituler l'histoire, Virginie va grandir, se confronter à un monde dont elle était protégée jusqu'alors, s'affirmer au delà du possible pour cette époque, et vivre enfin sa vie comme elle l'entend. Et c'est sans doute ça que j'aime avec Jagger, dans ses meilleurs romans, elle s'inspire souvent de Dickens, on s'intéresse autant aux riches qu'aux modestes, avec en plus une trame amoureuse écorchée, parce que rien n'est jamais simple, et que les héroïnes doivent souffrir encore pour connaître peut être ce qui pourrait s'approcher du bonheur, enfin! Elle fait revivre avec réalisme la vie dans une Angleterre victorienne qui n'en finit plus d'étouffer. N'oublions pas, on est pas dans une fable sociale mais dans un roman d'amour victorien bien raconté au 20ème siècle (le roman a été écrit en 1980)... J'ai aimé les 3 tomes, avec une préférence pour le dernier, question d'héroïne :) Bonne lecture!Comme j'ai lu tous les livres traduits de Brenda Jagger, je mesure la qualité de son œuvre, parfois inégale malheureusement. Les Chemins de Maison Haute est le premier livre d'une trilogie, dans le plus pur style Jagger, à savoir que chaque héroïne de ce triptyque (l'histoire dans son ensemble se déroule sur 3 générations) a un caractère qui ne ressemble en rien à la précédente, bien que faisant partie d'une même famille. L'auteur explore toutes les facettes permises à une femme pas encore libérée de vivre sa vie et ses choix, dans un monde dominé par les hommes et leurs désirs, les mariages arrangés, les maternités précoces, le statut social, ... Et parfois à l'encontre des bonnes mœurs de l'époque (amants, séparations maritales, maîtresses, etc) ce qui ne se vit pas sans encombre. Chaque livre se lit à la première personne, ce qui rend chaque tome unique, parce que les narratrices sont différentes. L'héroïne de ce 1er tome, Virginie, est au début passive, endormie, elle est jeune, mais c'est un trait de caractère qui ne la rend pas agaçante, parce qu'elle est intelligente et a bien conscience qu'on se sert d'elle. Elle est la spectatrice d'une nouvelle ère, industrielle, et...
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  • iarsenea 15/07/2010
    Comme la quatrième de couverture de ce livre est tout sauf un résumé, je prendrai la peine pour cette fois de faire un résumé de l'histoire de Brenda Jagger, même si cela paraît difficile dû à la longue période sur laquelle se déroule l'histoire et aussi au nombre de personnages. Les chemins de Maison Haute a comme personnage principal Viginie Barforth, qui, au début de l'histoire, est la petite-fille cadette du grand Barforth, propriétaire richissime d'une usine de filature. Barforth est un personnage haïssable, ne pensant qu'à sa fortune et aux profits de son usine et négligeant toute sa famille, excepté son petit-fils Edwin, le grand frère de Virginie, à qui il a l'intention de léguer l'usine à sa mort. Lorsque les employés de l'usine se révoltent pour leurs pitoyables conditions de travail, Edwin est tué et détruit par le fait même tous les espoirs de son grand-père de voir le succès de son usine se perpétrer dans les générations suivantes. Pourtant, il ne s'avoue pas battu et se souvient tout à coup de l'existence de sa petite fille de seize ans, qu'il dote à l'excès et qu'il marie à un cousin Barforth éloigné qu'il a toujours détesté, mais dont il ne doute pas des qualités pour réussir. C'est ainsi que Virginie passe de la petite fille ignorée de tous à celle qui doit sauver la famille a un prix qu'elle n'est pas tout à fait prête à payer. Le mariage de Virginie n'est pas tout à fait malheureux, mais il n'est pas heureux non plus. Quelques années après son mariage, elle rencontre Charles Aycliffe, fils renié d'un bourgeois très riche, et tombe en amour avec lui. Pourtant, celui-ci n'a rien a lui offrir, et Virginie se retrouvera forcée à faire des choix. Mon commentaire : J'ai trouvé cette histoire charmante, mais d'un charme légèrement désuet et dépassé. Je ne vous cacherai pas qu'il y a des longueurs, et que quelquefois, j'ai été excédée par certains personnages et par l'écriture qui m'a semblée trop impersonnelle, s'attardant sur des détails insignifiants et passant par-dessus ceux qui nous intéressent. Malgré cette frustration, j'ai été incapable de laisser le livre, parce que j'attendais toujours impatiemment de savoir si l'auteure finirait par en dire plus (ou moins, dépendamment du segment de l'histoire dans lequel j'étais). Au final, je me rends compte que je ne sais trop quoi penser de ce livre. L'ai-je aimé ou non ? Je crois que je l'aurais adoré si je l'avais lu il y a quelques années. Mais il y a des livres qui vieillissent bien, et d'autres qui vieillissent mal. Je crois malhereusement que les chemins de Maison Haute font partie de cette dernière catégorie. Ce n'est pas le sujet qui vieillit mal, mais la façon de le raconter qui n'est pas sans rappeler un peu les Harlequin, Autant en emporte le vent, ou encore, comme le souligne la quatrième de couverture, Les oiseaux se cachent pour mourir.Comme la quatrième de couverture de ce livre est tout sauf un résumé, je prendrai la peine pour cette fois de faire un résumé de l'histoire de Brenda Jagger, même si cela paraît difficile dû à la longue période sur laquelle se déroule l'histoire et aussi au nombre de personnages. Les chemins de Maison Haute a comme personnage principal Viginie Barforth, qui, au début de l'histoire, est la petite-fille cadette du grand Barforth, propriétaire richissime d'une usine de filature. Barforth est un personnage haïssable, ne pensant qu'à sa fortune et aux profits de son usine et négligeant toute sa famille, excepté son petit-fils Edwin, le grand frère de Virginie, à qui il a l'intention de léguer l'usine à sa mort. Lorsque les employés de l'usine se révoltent pour leurs pitoyables conditions de travail, Edwin est tué et détruit par le fait même tous les espoirs de son grand-père de voir le succès de son usine se perpétrer dans les générations suivantes. Pourtant, il ne s'avoue pas battu et se souvient tout à coup de l'existence de sa petite fille de seize ans, qu'il dote à l'excès et qu'il marie à un cousin Barforth éloigné qu'il a toujours détesté, mais dont il ne...
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