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Les Chroniques du kangourou
Odile Demange (traduit par)
Date de parution : 14/03/2019
Éditeurs :
Robert Laffont

Les Chroniques du kangourou

Odile Demange (traduit par)
Date de parution : 14/03/2019
Le nouveau phénomène de l’humour vient de Berlin-Est… Et c’est un kangourou !

Un jour, Marc-Uwe Kling voit débarquer chez lui un kangourou sans gêne. Communiste et chômeur, le marsupial vide le réfrigérateur et refuse de payer un loyer. Surtout, il entraîne le...

Un jour, Marc-Uwe Kling voit débarquer chez lui un kangourou sans gêne. Communiste et chômeur, le marsupial vide le réfrigérateur et refuse de payer un loyer. Surtout, il entraîne le narrateur − souvent contre son gré − dans des conversations à bâtons rompus brassant tous les sujets, du totalitarisme des...

Un jour, Marc-Uwe Kling voit débarquer chez lui un kangourou sans gêne. Communiste et chômeur, le marsupial vide le réfrigérateur et refuse de payer un loyer. Surtout, il entraîne le narrateur − souvent contre son gré − dans des conversations à bâtons rompus brassant tous les sujets, du totalitarisme des marchands de soupe en sachet aux tatouages de Robbie Williams. Difficile à la lecture de savoir qui des deux protagonistes montre le plus de mauvais esprit…

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EAN : 9782221241998
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221241998
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • katicha 08/03/2024
    La vie est pleine de surprises. La vie de Marc-Uwe surtout . Un beau jour, le destin frappe à sa porte, sous la forme d'un kangourou. Un kangourou qui parle. Et qui s'incruste rapidement, pour donner lieu à une colocation inédite dont l'auteur nous livre ici les moments saillants, sous forme de brefs chapitres. Car ce kangourou qui parle n'est pas comme les autres kangourous parlants, non. D'abord, il est d'une mauvaise foi épouvantable. Paresseux, glouton, ivrogne à ses heures, il se mêle de tout et envoie son poing dans la figure des gens qui le contredisent. Mais surtout, surtout, c'est un kangourou élevé en RDA. Qui a combattu avec le Viêtcong, qui honnit le capitalisme, qui pratique la philosophie de combat, qui provoque les forces réactionnaires dès qu'il en a l'occasion (du moins tout ce qui lui semble tel), qui a sculpté un jeu d'échecs à l'effigie de la Bande à Baader, et qui rédige un manifeste politique sobrement intitulé Opportunisme Répression à ses heures perdues. Bref, on se marre du début à la fin, et la cohabitation - pour houleuse qu'elle soit - réserve des surprises hilarantes. Du moins aux gens de ma génération.
  • Sovane 15/07/2023
    Lorsque l'auteur de ce roman découvre que son nouveau voisin de palier n'est autre qu'un kangourou impertinent, communiste et fan de Nirvana de surcroit, il manque de s'étouffer. Et, très vite, il s'habitue à cohabiter avec cet éternel révolté contre le capitalisme et la société de consommation... Car notre kangourou n'est pas en manque d'idées ingénieuses pour prendre à leur propre jeu les tenants du commerce : se créer un numéro payant et tenir la jambe aux démarcheurs c'est un excellent moyen de gagner de l'argent ! le projet commercial trop tôt avorté de créer des chocolats fourrés à la saucisse était aussi dans les tuyaux de notre entrepreneur en herbe. Très vite nos deux héros deviennent inséparables car le kangourou s'avère un excellent colocataire, avec lequel on peut fumer des pétards en jouant au Monopoly mais aussi et surtout avoir des conversations aussi improbables qu'édifiantes. Un roman presque surréaliste mais pourtant d'une lucidité folle et sans atermoiement sur notre condition contemporaine en général, dans lequel l'auteur met en lumière de savoureux phénomènes particuliers comme "le totalitarisme de la soupe en sachet" ou "le fromage fondu de l'apocalypse".
  • AlouquaLecture 10/05/2019
    Amateurs d’humour au second degré, ce livre est franchement fait pour vous. Deux personnages qui n’ont certes pas inventé le fil à couper le beurre, mais question humour, ils valent leur pesant d’or. Le kangourou, qui au départ n’est qu’un voisin de Marc-Uwe, s’incruste petit à petit, jusqu’à finalement emménager chez lui. Cela c’est fait de manière naturelle, juste un peu forcée, mais après tout, Marc-Uwe n’a pas son mot à dire, le kangourou se tape l’incruste et croyez-moi que pour le déloger de là, c’est mission impossible. C’est malgré tout un duo qui fonctionne assez bien, même si nos deux compères se mènent mutuellement la vie dure, je dirais que quelque part, ils effacent la solitude de l’autre. A deux, ils vont devoir faire face à des situations de la vie courante, mais le problème, c’est qu’avec eux, tout part très vite dans des situations complètement abracadabrantes. Je pense pouvoir accepter énormément de choses, mais c’est vrai que par moment, j’ai eu un peu de mal à les suivre dans leurs délires. Cela vient peut-être de la traduction, cela vient peut-être de l’auteur lui-même, cela vient peut-être des personnages qui n’en font finalement qu’à leurs têtes, mais certains passages m’ont été plus ardus. J’avoue qu’il faut un petit temps d’adaptation à l’humour de l’auteur, mais dès les premiers chapitres passés, tout ce passe pour le mieux, je dirais à partir de la vingtième page, les chapitres étant très courts, certains ne font qu’une seule page. Mais ce ne sont pas réellement des chapitres comme dans les autres livres, ici se sont plutôt des petites tranches de leurs vie et cela donne une vitesse de lecture incroyable, les pages s’enchaînent à un rythme de dingue. Sans m’en rendre compte, lorsque j’ai débuté ma lecture, cela faisait environ une vingtaine de minutes que je lisais, j’en étais déjà pas loin de la page 50 !!! Comme je le disais, c’est rapide à lire, les 300 pages, défilent. Mais honnêtement, je n’en retirerais aucune d’entre elles, ni n’en ajouterais, c’est nickel comme cela l’est. Sans vous en dire plus sur le sujet, sachez que sous des traits d’humour plus que décalés, l’auteur nous sort pas mal de vérités, de constatations sur le monde, sur ce qui fonctionne ou pas dans la société. Il parait qu’avec un peu d’humour, tout passe, eh bien je peux vous certifier qu’il a réussi à faire passer beaucoup de choses qui en temps normal pourraient devenir choquantes, mais ici, cela passe. Un livre que je ne regrette absolument pas d’avoir découvert et que je vous conseille de découvrir vous aussi. Préparez une boîte avec quelques chocolats à la liqueur, cela pourra vous servir Amateurs d’humour au second degré, ce livre est franchement fait pour vous. Deux personnages qui n’ont certes pas inventé le fil à couper le beurre, mais question humour, ils valent leur pesant d’or. Le kangourou, qui au départ n’est qu’un voisin de Marc-Uwe, s’incruste petit à petit, jusqu’à finalement emménager chez lui. Cela c’est fait de manière naturelle, juste un peu forcée, mais après tout, Marc-Uwe n’a pas son mot à dire, le kangourou se tape l’incruste et croyez-moi que pour le déloger de là, c’est mission impossible. C’est malgré tout un duo qui fonctionne assez bien, même si nos deux compères se mènent mutuellement la vie dure, je dirais que quelque part, ils effacent la solitude de l’autre. A deux, ils vont devoir faire face à des situations de la vie courante, mais le problème, c’est qu’avec eux, tout part très vite dans des situations complètement abracadabrantes. Je pense pouvoir accepter énormément de choses, mais c’est vrai que par moment, j’ai eu un peu de mal à les suivre dans leurs délires. Cela vient peut-être de la traduction, cela vient peut-être de l’auteur lui-même, cela vient peut-être des personnages qui n’en font finalement qu’à leurs têtes, mais certains passages m’ont été plus...
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