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Les dames de Missalonghi
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 12/05/2021
Éditeurs :
Archipoche

Les dames de Missalonghi

Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 12/05/2021
« Colleen McCullough, à sa manière, plaide pour la cause des femmes : même quand on est pauvre, le bonheur peut passer à notre porte, il suffit de savoir le saisir. » Sylvie Genevoix, Jours de France
Sans beauté ni fortune, Missy, 33 ans, mène une vie terne auprès de sa mère, de sa tante et de leurs travaux d’aiguille, tout en rêvant du grand amour…
… lorsqu’une...
Sans beauté ni fortune, Missy, 33 ans, mène une vie terne auprès de sa mère, de sa tante et de leurs travaux d’aiguille, tout en rêvant du grand amour…
… lorsqu’une chance s’offre à elle, la dernière peut-être. Il s’appelle John Smith et c’est l’homme le plus séduisant que l’on ait...
Sans beauté ni fortune, Missy, 33 ans, mène une vie terne auprès de sa mère, de sa tante et de leurs travaux d’aiguille, tout en rêvant du grand amour…
… lorsqu’une chance s’offre à elle, la dernière peut-être. Il s’appelle John Smith et c’est l’homme le plus séduisant que l’on ait vu en ville depuis longtemps. On prétend qu’il serait un ancien forçat.

Missy, jusqu’ici si soumise, n’entend pas laisser échapper ce clin d’oeil du destin…
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EAN : 9791039200028
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9791039200028
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • rosytta 22/01/2023
    Missy vit en compagnie de sa mère et de sa tante dans une très modeste maison au coeur de la vallée australienne. La jeune femme a toujours fait ce qu'on lui dictait de faire jusqu'au jour où un mystérieux inconnu fait son apparition près de chez elle. Dans un style très simple et sans grande fioriture, l'autrice nous embarque dans une romance assez facile qui moi m'a semblait totalement inutile. En revanche j'ai plutôt bien aimé ces trois femmes, j'ai aimé les voir se libérer tour à tour des diktats de leur famille. Sans grande surprise ni grand frisson, sans en attendre énormément au niveau de l'intrigue, j'ai plutôt passé un bon moment de lecture même si la fin m'a semblait précipité et surtout triché. A noté cependant que j'ai adoré les descriptions faites par l'autrice sur cette partie de l'Australie, c'était très dépaysant.
  • ma_chouette_litherapie 09/12/2021
    C'est le premier livre que je lis de cette auteure. Nous sommes projetés dans un autre cadre, temps, époque, dans un cadre un peu désuet. Elle nous embarque, aussi, à Byron en Australie une petite bourgade où les Hurlingford possèdent tout ou presque et règnent en maîtres. Ceci est d'autant plus vrai si vous êtes un homme et que vous possédez de l'argent...Hélas Missy, 33 ans, est née Hurlingford par sa mère et vit encore avec cette dernière Drusilla et une de ses tantes Octavia. Elles mènent une vie simple, rustique, rythmée sur les travaux de la ferme...Missy s'y sent étriquée, se fond dans le décor et se plie aux règles. Sa seule échappatoire est la lecture qui lui ouvre des portes secretes, lui permet de rêver et d'éprouver un peu de liberté...Mais tout va basculer d'une part grâce à Una qui travaille à la bibliothèque. Cette dernière vient de Sydney est divorcée et est indépendante. Les livres qu'elle va prêter à Missy et leurs échanges vont avoir un effet sur cette dernière. D'autre part, le changement va survenir suite à l'arrivée de John Smith à Byron. Qui est-il et quels sentiments va-t-il provoquer en Missy ? Je vous invite à vous rendre à Buron pour le découvrir... Mes sentiments : + une écriture fluide et agréable malgré le peu d'action + un livre court (environ 250 pages) + la passion de Missy pour la lecture + l'amour de Missy pour la nature, sa vallée et la liberté + la condition féminine de l'époque si bien décrite + Drusilla la mère de Missy quand bien même au début elle peut nous apparaître antipathique + l'impact d'Una. - Missy qui peut nous apparaître au début fade et sans intérêt - sa transformation un peu trop spectaculaire - le mensonge qu'elle va élaborer pour arriver à ses fins - la chute un peu trop rapide C'est le premier livre que je lis de cette auteure. Nous sommes projetés dans un autre cadre, temps, époque, dans un cadre un peu désuet. Elle nous embarque, aussi, à Byron en Australie une petite bourgade où les Hurlingford possèdent tout ou presque et règnent en maîtres. Ceci est d'autant plus vrai si vous êtes un homme et que vous possédez de l'argent...Hélas Missy, 33 ans, est née Hurlingford par sa mère et vit encore avec cette dernière Drusilla et une de ses tantes Octavia. Elles mènent une vie simple, rustique, rythmée sur les travaux de la ferme...Missy s'y sent étriquée, se fond dans le décor et se plie aux règles. Sa seule échappatoire est la lecture qui lui ouvre des portes secretes, lui permet de rêver et d'éprouver un peu de liberté...Mais tout va basculer d'une part grâce à Una qui travaille à la bibliothèque. Cette dernière vient de Sydney est divorcée et est indépendante. Les livres qu'elle va prêter à Missy et leurs échanges vont avoir un effet sur cette dernière. D'autre part, le changement va survenir suite à l'arrivée de John Smith à Byron. Qui est-il et quels sentiments va-t-il provoquer en Missy ? Je vous...
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  • opheliedms 22/09/2021
    Dans ce livre, nous faisons la connaissance de Missy, 33 ans qui vit avec sa mère et sa tante. Une même famille deux côtés s’oppose : les Hurlingford riches et les pauvres. Faisant partie des Hurlingford mais du côté des parents pauvres, Missy peine dans sa vie de tous les jours : elle doit travailler dur, faire face à sa cousine Alicia et pire elle est destinée à ne pas connaître l’amour. Heureusement pour elle, elle peut s’évader à travers la lecture, son petit plaisir caché. A travers ses lectures, Missy peut rêver, s’imaginer une vie pleine de romance et oublier sa condition. Un jour, un certain John Smith va faire son apparition dans la petite ville. Son arrivée bien qu’anodine, va faire naître en elle un sentiment de révolte contre sa famille qui juge les femmes de Bryon faibles. Une lecture qui a été expéditive c’est le moins que je puisse dire. Cela n’a pas été un coup de cœur mais j’ai passé un agréable moment. Le fait que le livre soit court, rend la lecture hyper facile et rapide et j’ai trouvé ça un peu « dommage » car c’est allé un peu trop vite à mon goût. En ce qui concerne le personnage de Missy, je l’ai adoré bien que je ne cautionne pas tout ce qu’elle fait pour arriver à ses fins. Son évolution est spectaculaire. On rencontre une Missy qui se cache dans ses robes marron, qui ne rêve que de porter une robe rouge et connaître l’amour. Elle sait qu’elle est sa place et ne peut que rêver pour pouvoir s’échapper de sa condition. Puis au fur et à mesure elle prend conscience de certaines choses et décide de ne pas se laisser abattre, qu’elle peut faire de belles choses et prend confiance en elle. Ainsi plus rien ne peut l’arrêter, elle renaît et s’émancipe ! On se retrouve plongé dans une époque non indiquée mais le mode de vie décrit par l’auteure nous laisse deviner qu’il s’agit d’une époque ancienne. Ainsi, on voit vraiment la place de la femme, écrasée par les hommes qui n’osent pas les contredire et ce depuis des générations. C’est ainsi et ça ne changera pas. Sauf qu’au fur et à mesure et grâce à Missy qui gagne en assurance et en perspicacité les femmes de Missalonghi prennent en assurance et refusent de se laisser marcher dessus. J’avais beaucoup de mal avec certains personnages comme la mère et la tante de Missy qui me semblaient froides et indifférentes à l’égard de Missy mais plus j’avançais dans ma lecture plus je les appréciais, réalisant combien cela devait être difficile pour elles ! Ce sont des battantes et on ressent bien tout l’amour qu’une mère éprouve pour sa mère et ses inquiétudes. Dans ce livre, nous faisons la connaissance de Missy, 33 ans qui vit avec sa mère et sa tante. Une même famille deux côtés s’oppose : les Hurlingford riches et les pauvres. Faisant partie des Hurlingford mais du côté des parents pauvres, Missy peine dans sa vie de tous les jours : elle doit travailler dur, faire face à sa cousine Alicia et pire elle est destinée à ne pas connaître l’amour. Heureusement pour elle, elle peut s’évader à travers la lecture, son petit plaisir caché. A travers ses lectures, Missy peut rêver, s’imaginer une vie pleine de romance et oublier sa condition. Un jour, un certain John Smith va faire son apparition dans la petite ville. Son arrivée bien qu’anodine, va faire naître en elle un sentiment de révolte contre sa famille qui juge les femmes de Bryon faibles. Une lecture qui a été expéditive c’est le moins que je puisse dire. Cela n’a pas été un coup de cœur mais j’ai passé un agréable moment. Le fait que le livre soit court, rend la lecture hyper facile et rapide et j’ai trouvé ça un peu « dommage » car c’est allé un peu trop vite à mon goût. En...
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  • Valmyvoyou_lit 22/06/2021
    A trente-trois ans, Missy vit avec sa mère et sa tante, à Byron. La ville est tenue par les Hurlingford. L’épicerie, la bibliothèque privée, la banque, la quincaillerie, la boulangerie, etc. : tous les commerces appartiennent à un Hurlingford. Missy fait partie de cette famille, cependant, elle est du côté des parents pauvres. Des règles d’héritage ont favorisé la fortune des hommes et ont appauvri les femmes célibataires. Ces dernières n’ont le droit de travailler que pour leurs proches et sont destinées à vivre dans la misère. Le peu d’argent qu’elles possèdent doit être dépensé dans les boutiques du clan. Missy est destinée à une vie de pauvreté, sans connaître l’amour d’un homme et sans loisirs. Sa seule évasion est la lecture de romans qu’elle se procure en cachette, car ils ne correspondent pas aux oeuvres autorisées par sa mère. Missy accepte sa condition et elle étouffe ses rêves. Mais les femmes qui lisent sont dangereuses… la littérature lui fait entrevoir un monde différent. Un souffle de romantisme et une envie d’aventures l’envahissent. Peut-être que l’installation de John Smith, dans la vallée qu’elle aime tant, n’est pas étrangère à l’éclosion de ses désirs de changement. De plus, elle surprend des conversations qui attisent son envie de justice. Avec prudence et intelligence, elle fait naître la révolte des femmes de Byron. Sa première victime est Alicia, sa cousine, qui profite, allègrement, des richesses de son père et qui multiplie les mesquineries. J’ai été très amusée par ces femmes, qui après avoir été écrasées depuis des générations, prennent de l’assurance. J’ai applaudi les ruses de Missy et sa perspicacité. Ce roman décrit la condition féminine, à une époque ancienne. Les dates ne sont pas indiquées, mais on peut les estimer, par les descriptions des modes de vie : les voitures étaient des charrettes tirées par des chevaux et c’était un luxe d’en posséder, le train existait, etc. Les hommes dominent, les femmes pauvres n’osent pas se rebeller, de peur de perdre le peu qu’elles ont, alors que celles qui ont une petite influence ne défendent pas les autres, par crainte d’anéantir ce qu’elles ont. Au début du livre, Missy se fond dans le décor, cachée dans ses robes marron. Elle n’aspire pas à une vie différente, car elle sait qu’elle ne peut pas espérer un autre destin. Elle n’est pas particulièrement jolie, enlaidie par des tenues choisies pour durer, et elle n’a pas de fortune. Pourtant, les transformations physiques et vestimentaires s’effectuent, parallèlement, à sa confiance en elle qui grandit. Missy prend le pouvoir et la couleur rouge flamboie. Les Dames de Missalonghi a un côté désuet, un peu classique, et c’est ce contraste avec le feu, qui s’éveille en Missy, qui est amusant. En raison du nom de l’auteure, je m’attendais à une fresque romanesque, mais en réalité, ce livre est plus proche d’un roman social, pimenté par de l’humour. J’ai passé un agréable moment. Je remercie sincèrement Mylène des Éditions de l’Archipel pour ce service presse. A trente-trois ans, Missy vit avec sa mère et sa tante, à Byron. La ville est tenue par les Hurlingford. L’épicerie, la bibliothèque privée, la banque, la quincaillerie, la boulangerie, etc. : tous les commerces appartiennent à un Hurlingford. Missy fait partie de cette famille, cependant, elle est du côté des parents pauvres. Des règles d’héritage ont favorisé la fortune des hommes et ont appauvri les femmes célibataires. Ces dernières n’ont le droit de travailler que pour leurs proches et sont destinées à vivre dans la misère. Le peu d’argent qu’elles possèdent doit être dépensé dans les boutiques du clan. Missy est destinée à une vie de pauvreté, sans connaître l’amour d’un homme et sans loisirs. Sa seule évasion est la lecture de romans qu’elle se procure en cachette, car ils ne correspondent pas aux oeuvres autorisées par sa mère. Missy accepte sa condition et elle étouffe ses rêves. Mais les femmes qui lisent sont dangereuses… la littérature lui fait entrevoir un monde différent. Un souffle de romantisme et une envie d’aventures l’envahissent. Peut-être que l’installation de John Smith, dans la vallée qu’elle aime tant, n’est pas étrangère à l’éclosion de ses désirs de changement. De plus, elle surprend des conversations...
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  • LaureLiseuseHyperfertile 13/06/2021
    Colleen McCullough m’a valu mon premier immense coup de cœur 2021 alors je me suis laissée tenter sans souci pour la reparution de ce court roman déjà édité en France à la fin des années 80. C’est d’abord le roman d’un univers, d’un cadre de vie bien particulier dans la petite ville de Byron. En quelques générations s’est créé là un cadre de vie que je qualifierai de limite sectaire. Un homme riche puis ses nombreux descendants, un partage de la fortune bien particulier avec évidemment des fils favorisés. Quelques générations plus tard vivent là des descendants presque tous liés les uns aux autres. Le docteur est ton cousin, l’épicier un autre et surtout la ville oppose ceux qui vivent dans l’opulence à ceux qui peinent à joindre les deux bouts. Et pour peu que tu sois une femme, tu survis encore plus mal car tes cousins t’achètent tes biens un prix dérisoire, abusant de leur droit familial. Dans ce cadre si spécifique, nous faisons la connaissance de Missy qui vit avec sa mère et sa tante. Toutes trois ont une maison, des légumes qu’elles vendent une misère et un grand talent pour la couture dont elles ne peuvent pas faire leur métier. Pourtant, peu à peu, événement après événement, plusieurs choses changent dans la vie de Missy. Elle va surprendre des conversations qui éclaireront des choses qu’elle n’a jamais perçues sur la vie bien particulière à Byron. Elle va échanger avec Una, la bibliothécaire qui l’éveillera d’une part à la romance et développera son esprit romantique et passionné mais aussi à l’indépendance de part les conversations qu’elles auront. Et puis, Missy va faire la connaissance de John Smith, nouveau venu à Byron, homme riche et sans aucun lien familial avec quiconque. Et très vite, la jeune femme est déterminée à devenir son épouse ! Je crois que j’ai retrouvé ici le talent de Colleen McCullough pour nous emporter dans son récit, qui que soient ses personnages et peu importe ce qu’ils vivent. Sa plume est prenante, je me suis inévitablement prise d’affection pour Missy et j’ai adoré les victoires qu’elle remporte sur cette famille si peu bienveillante et la liberté et l’audace qu’elle acquiert peu à peu. Dans le fond, Missy est une héroïne exactement comme je les aime et je suis heureuse de l’avoir laissée dans une situation de vie bien plus douce et plaisante que celle du début du roman.Colleen McCullough m’a valu mon premier immense coup de cœur 2021 alors je me suis laissée tenter sans souci pour la reparution de ce court roman déjà édité en France à la fin des années 80. C’est d’abord le roman d’un univers, d’un cadre de vie bien particulier dans la petite ville de Byron. En quelques générations s’est créé là un cadre de vie que je qualifierai de limite sectaire. Un homme riche puis ses nombreux descendants, un partage de la fortune bien particulier avec évidemment des fils favorisés. Quelques générations plus tard vivent là des descendants presque tous liés les uns aux autres. Le docteur est ton cousin, l’épicier un autre et surtout la ville oppose ceux qui vivent dans l’opulence à ceux qui peinent à joindre les deux bouts. Et pour peu que tu sois une femme, tu survis encore plus mal car tes cousins t’achètent tes biens un prix dérisoire, abusant de leur droit familial. Dans ce cadre si spécifique, nous faisons la connaissance de Missy qui vit avec sa mère et sa tante. Toutes trois ont une maison, des légumes qu’elles vendent une misère et un grand talent pour la couture dont elles ne peuvent pas faire leur...
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