Les demoiselles des écoles

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• LesLecturesDeRudy 23/01/2018

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  Voilà un livre où il ne se passe rien ou si peu de chose et pourtant quel merveilleux moment de lecture qui nous plonge dans cette France et une époque pas si lointaine dans le temps et pourtant si différente de la nôtre. On suit avec plaisir la vie au jour le jour d'une jeune fille/femme qui deviendra institutrice . Ce qui à l'époque relevait presque du sacerdoce . On y découvre une manière de vivre tellement éloignée de ce que nous vivons de nos jours. Michel Peyramaure est un fabuleux conteur et parvient à nous captiver avec un rien.Bref un excellent complément à "L'orange de Noël" dont la lecture est je ne dirais pas indispensable pour comprendre ce roman mais plutôt complémentaire tant les deux histoires s'imbriquent l'une dans l'autre .
• Corinne31 15/03/2013

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  Tome 2 décevant, j'avais adoré le 1er tome ... on peut donc s'arrêter après sa lecture !
• BVIALLET 05/05/2012

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  En 1914, en Auvergne, Malvina, jeune fille de paysans pauvres, ayant passé brillamment les épreuves du certificat d'études primaires, sur les conseils de Cécile, son institutrice à peine âgée de cinq ans de plus qu'elle, accepte de poursuivre ses études d'abord en primaire supérieur puis à l'école normale d'institutrices de Brive. Elle y découvre un endroit austère qui a tout d'une prison, une directrice à la poigne de fer et des camarades pas toujours agréables. Heureusement, Cécile ne l'oublie pas. Elle lui écrit, finance partiellement ses études et lui rend de fréquentes visites. Ainsi s'ébauche une amitié qui durera toute une vie. Mais un jour, Bastien, l'ami de Cécile, la délaisse pour s'intéresser à Malvina qui s'éprend du jeune homme, grand blessé de guerre et futur journaliste. L'amitié entre les deux « demoiselles des écoles » y résistera-t-elle ? Ce roman de terroir est plus sentimental que proprement historique. Peyramaure le présente sous la forme d'un journal dans lequel Malvina aurait consigné au fil des jours et en cachette toutes ses impressions d'élève enseignante pendant la période troublée du premier conflit mondial. Elle aurait présenté à l'auteur ses écrits, longtemps oubliés au fond d'un tiroir, pour que cette histoire toute simple lui permette de donner une suite à son précédent roman « L'orange de Noël » qui racontait la rencontre entre les deux protagonistes. Le style est agréable, les personnages intéressants, quoique fort modernes pour l'époque (femmes libérées ?), dommage que le contexte historique et social ne serve que de lointain arrière-plan. On aurait aimé en apprendre plus sur la vie quotidienne dans une école normale de province à cette époque.En 1914, en Auvergne, Malvina, jeune fille de paysans pauvres, ayant passé brillamment les épreuves du certificat d'études primaires, sur les conseils de Cécile, son institutrice à peine âgée de cinq ans de plus qu'elle, accepte de poursuivre ses études d'abord en primaire supérieur puis à l'école normale d'institutrices de Brive. Elle y découvre un endroit austère qui a tout d'une prison, une directrice à la poigne de fer et des camarades pas toujours agréables. Heureusement, Cécile ne l'oublie pas. Elle lui écrit, finance partiellement ses études et lui rend de fréquentes visites. Ainsi s'ébauche une amitié qui durera toute une vie. Mais un jour, Bastien, l'ami de Cécile, la délaisse pour s'intéresser à Malvina qui s'éprend du jeune homme, grand blessé de guerre et futur journaliste. L'amitié entre les deux « demoiselles des écoles » y résistera-t-elle ? Ce roman de terroir est plus sentimental que proprement historique. Peyramaure le présente sous la forme d'un journal dans lequel Malvina aurait consigné au fil des jours et en cachette toutes ses impressions d'élève enseignante pendant la période troublée du premier conflit mondial. Elle aurait présenté à l'auteur ses écrits, longtemps oubliés au fond d'un tiroir, pour que cette histoire toute simple lui permette...

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