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Les Éléphants
Date de parution : 29/03/2012
Éditeurs :
Sonatine

Les Éléphants

Date de parution : 29/03/2012

Après le succès de La Bande à Gabin, Philippe Durant nous raconte ici les petites histoires du cinéma populaire des années soixante-dix.

Coup de tête, Le Sucre, Le Magnifique, Comment réussir dans la vie quand on est con et pleurnichard, Un éléphant ça trompe énormément, Les Aventures de Rabbi Jacob, Tout le...

Coup de tête, Le Sucre, Le Magnifique, Comment réussir dans la vie quand on est con et pleurnichard, Un éléphant ça trompe énormément, Les Aventures de Rabbi Jacob, Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, Comme la lune, L’Emmerdeur, L’aventure c’est l’aventure, Le Grand Blond...

Coup de tête, Le Sucre, Le Magnifique, Comment réussir dans la vie quand on est con et pleurnichard, Un éléphant ça trompe énormément, Les Aventures de Rabbi Jacob, Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, Comme la lune, L’Emmerdeur, L’aventure c’est l’aventure, Le Grand Blond avec une chaussure noire, Adieu poulet, Buffet froid, Mais où est donc passée la 7e compagnie ?… Les films populaires des années soixante-dix sont dans toutes les mémoires. Sur le modèle de La Bande à Gabin, Philippe Durant retrace la vie quotidienne des tournages, multiplie les anecdotes relatives à des personnages aussi hauts en couleur que Jean Yanne, Jean Rochefort, Pierre Brasseur, Pierre Richard, Bernard Blier, Jean Carmet ou encore Michel Audiard.
Des frasques de Patrick Dewaere et Gérard Depardieu sur le plateau des Valseuses aux conséquences sur la production des Bronzés de l’absence d’algues sur les plages de Côte d’Ivoire, en passant par les conversations surréalistes de Lee Marvin et Jean Carmet sur le tournage de Canicule ou l’erreur magistrale d’un producteur qui négligea les tagliatelles aux fruits de mer de Lino Ventura, Philippe Durant multiplie les petites histoires plus réjouissantes les unes que les autres. Il nous convie ainsi à un voyage désopilant dans les cuisines et les coulisses du cinéma, souvent plus animées encore que la plupart des films de cette époque.

Historien de cinéma, Philippe Durant est l’auteur de nombreuses biographies (de Jean-Paul Belmondo, Lino Ventura, Michel Audiard, etc.) Il a publié chez Sonatine Éditions La Bande à Gabin (2010).

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EAN : 9782355841446
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782355841446
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • benleb 17/01/2015
    Ce livre est un recueil d’anecdotes sur le cinéma français, classées en chapitres thématiques : les figurants, les producteurs, les réalisateurs spécialisés dans les navets, etc..., avec trois chapitres consacrés à des acteurs : Lino Ventura, Jean Carmet et Louis de Funès. On voit Carmet et Depardieu planter un tournage pour aller manger dans un restaurant à plusieurs centaines de kilomètres. Ou bien Jean Lefebvre se transformer en leader syndical parce qu’on lui a coupé des scènes sur un des Gendarmes. Souvent drôles, ces anecdotes témoignent d'un cinéma français encore insouciante et pas encore totalement soumis aux financiers. Après la morts de géants comme Bourvil ou Gabin, une nouvelle génération apparaît, issue du café théâtre et marqué par l'esprit de 1968. C'est un livre sans prétention et divertissant.
  • Bazart 07/09/2012
    Saviez vous que les algues qui servaient de cache sexe à Michel Blanc, alias Jean Claude Dusse dans les Bronzés, dans une scène oh combien mémorable du film, ont du faire un voyage de 12 heures en avion dans un container rempli de glace? En effet, comme en Cote d'Ivoire, il était impossible de trouver des algues, et que Patrice Leconte tenait à son gag (il a bien eu raison), ils ont été directement envoyés d'un restaurant de luxe parisien spécialisé dans les fruits de mer... personne n'avait pensé à ce petit détail qui a tant posé problème à l'équipe du film... Ce genre d'anecdotes, Les Elephants, Le dernier ouvrage de l'historien du cinéma Philippe Durant en regorge d'une bonne centaine, du même acabit. Dans ce nouveau livre sur le cinéma que j'ai pu lire grace à L'agence Moonfleet (un grand merci à eux), j'ai appris énormément de choses sur un cinéma que je connaissais finalement assez mal, du moins de l'intérieur (je ne lisais pas les revues Première de l'époque, of course) celui du cinéma populaire français des années 1970. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le titre du livre fait évidemment pas référence à ceux du PS 5les Jospin, Mauroy, Fabius et consort., mais au titre d'un des films phares de cette année, un film qui fait .partie pour moi de mes films de chevet, Un elephant ca trompe énormément. Ce film abrite en effet 4 des comédiens phares de cette époque, dont Rochefort et Victor Lanoux qui font partie des acteurs très présents dans le livre de Durant. En effet, et ce, même si l'ouvrage n'élude pas non plus quelques cinéastes phares de cette période (dont Bertrand Blier, Jean Yanne, ou bien encor Francis Weber), il sera surtout question des comédiens "mastodontes" du cinéma populaire français. Les Depardieu, Carmet, Rochefort, Ventura, De Funès et autres acteurs de la Troupe du Splendid, ceux qui nous ont faire rire à gorge déployée et nous ont fait passer de sacrées bonnes soirées, assis devant le petit écran, à l'époque dorée où la TV diffusait 5 films par semaine. Lino Ventura, Jean Carmet et De Funès ont carrément droit à un chapitre en entier qui insiste à chaque fois en détail sur l'évolution de leur carrière à travers cette décennie, et on cerne un peu mieux l'aura que pouvait avoir ces acteurs sur le public, et meme sur les professionnels du milieu, aura que bien peu de comédiens ont encore actuellelino-ventura_491ment. J'ai pris un immense pied à redécouvrir toute cette génération, peuplée de forts en gueule et de bons vivants, baignant dans le faste des années 70, période insouciante, où la spontanéité était reine et où le cinéma était moins une affaire de business qu'aujourd'hui. Tournages rocambolesques, caprices de stars ( Brigitte Bardot, Delon, mais aussi Jean Rochefort , querelles d'égos, farces potaches, complicité entre acteurs charismatiques... Au fil des plus de deux cents pages de ces « Éléphants », on sourit beaucoup et on découvre que ce cinéma là laissait la part belle à l'amitié entre les acteurs ( en témoigne notamment celle du tandem Dewaere/Depardieu ou encore celle autour du binome Ventura/ Brel) Et les anecdotes recensées par Durant, et souvent totalement inconnues du grand public, sont franchement délectables : Francis Blanche qui donne le téléphone personnel de Jean Carmet à la radio en tant que spécialiste du hoquet ou lorsque Jean Yanne, producteur de « La Grande Bouffe », est contraint de mettre des panneaux « Défense de manger le décor : en fait, les acteurs, censés nager dans… leur excréments, évoluent dans un mélange de chocolat et crème de marrons de chez Daloyau, grand traiteur parisien. Bref, un ouvrage qui est passé un peu inaperçu et qui m'a fait passé un moment incroyable et un peu empreint de nostalgie pour cette époque un peu révolue; l'auteur, même s'il ne le dit jamais ouvertement, semblant quand même un peu la regretter par rapport à notre époque actuelle.Saviez vous que les algues qui servaient de cache sexe à Michel Blanc, alias Jean Claude Dusse dans les Bronzés, dans une scène oh combien mémorable du film, ont du faire un voyage de 12 heures en avion dans un container rempli de glace? En effet, comme en Cote d'Ivoire, il était impossible de trouver des algues, et que Patrice Leconte tenait à son gag (il a bien eu raison), ils ont été directement envoyés d'un restaurant de luxe parisien spécialisé dans les fruits de mer... personne n'avait pensé à ce petit détail qui a tant posé problème à l'équipe du film... Ce genre d'anecdotes, Les Elephants, Le dernier ouvrage de l'historien du cinéma Philippe Durant en regorge d'une bonne centaine, du même acabit. Dans ce nouveau livre sur le cinéma que j'ai pu lire grace à L'agence Moonfleet (un grand merci à eux), j'ai appris énormément de choses sur un cinéma que je connaissais finalement assez mal, du moins de l'intérieur (je ne lisais pas les revues Première de l'époque, of course) celui du cinéma populaire français des années 1970. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le titre du livre fait évidemment pas référence à ceux du PS 5les...
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