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Les enquêtes du commissaire Léon 7
Les bonbons de Bruxelles
Date de parution : 03/10/2013
Éditeurs :
Belfond

Les enquêtes du commissaire Léon 7

Les bonbons de Bruxelles

Date de parution : 03/10/2013

Dans ce septième volume des Enquêtes du commissaire Léon, retrouvez  une histoire du flic qui tricote en cachette depuis qu’il a arrêté de fumer, confectionne des paletots ringards pour son...

Dans ce septième volume des Enquêtes du commissaire Léon, retrouvez  une histoire du flic qui tricote en cachette depuis qu’il a arrêté de fumer, confectionne des paletots ringards pour son chien Babelutte, a son QG au Colibri, un bistrot de Montmartre, et vit chez sa mère Ginette, adepte des concours...

Dans ce septième volume des Enquêtes du commissaire Léon, retrouvez  une histoire du flic qui tricote en cachette depuis qu’il a arrêté de fumer, confectionne des paletots ringards pour son chien Babelutte, a son QG au Colibri, un bistrot de Montmartre, et vit chez sa mère Ginette, adepte des concours en tous genres. Du Nadine Monfils dans toute sa splendeur !

Dans le train qui l’emmène à Bruxelles, le commissaire Léon rencontre Madeleine, une étrange vieille dame qui lui montre une lettre d’amour écrite par l’homme de sa vie, Augustin, mort depuis longtemps. Puis elle disparaît, sans laisser de trace… Pourtant, alors qu’il arpente le marché aux puces, Léon découvre une valise remplie de lettres adressées à Madeleine et signées Augustin. Convaincu que le hasard n’existe pas, il se lance à la recherche de la vieille dame. Mais il semblerait qu’elle soit morte depuis fort longtemps… 

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EAN : 9782714456373
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714456373
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Sharon 19/10/2019
    Non, le commissaire Léon ne prend pas de vacances. Il semble que ses deux précédentes excursions (voir les tomes 4 et 6) lui aient servi de leçons. Il accompagne sa mère à l'enterrement de son oncle Jef, et cela lui permet de se rendre à Bruxelles. Surtout, il rencontre une vieille dame, qui lui parle de son défunt amour, dont elle a été séparée. Vieille dame qui, apparemment, enfin, selon ses proches, serait morte dans l'incendie de l'asile où elle avait été enfermée à la demande de sa famille, parce qu'elle avait eu le tort d'aimer un homme marié. Morte, brûlée vive, comme Zelda Fitzgerald. Où est la réalité, où est le merveilleux ? Comme dans Le silence des canaux, la frontière est fine entre les deux, sans que l'on sache jamais si les indices qui parsèment le chemin du commissaire Léon ne sont pas de simples coïncidences. Comme dans ses précédents volumes, l'autrice nous montre les violences qui sont faites aux plus vulnérables, et la quasi-impossibilité de s'en protéger. Elle montre aussi la fascination que les tueurs en série exercent sur certaines femmes, leur capacité à les manipuler. Un roman qui, pour une fois, ne se termine pas à Montmartre.
  • RosesNoires888 30/03/2016
    Ici, l'enquête passe au second plan... Bienvenue au pays des fantômes !
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