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Les fenêtres murmurent
Date de parution : 07/02/2013
Éditeurs :
Presses de la cité

Les fenêtres murmurent

Date de parution : 07/02/2013

A Anderlecht, commune de Bruxelles, près de la maison d’Erasme.
Deux couples, deux célibataires, plusieurs possibilités…
Un meurtre pour enrayer le chassé-croisé amoureux.
Et une enquête de plus pour l’inspecteur Lilas Klaus et son acolyte Serge Zwanze.
Bienvenue chez les Belges !

Pourquoi faudrait-il qu’une femme soit belle pour être aimée ? Quand Lucien Raskin lui pose la question, Georgette Vanderbiest est aux anges. Quelques jours plus tard, elle est égorgée.
En cette...

Pourquoi faudrait-il qu’une femme soit belle pour être aimée ? Quand Lucien Raskin lui pose la question, Georgette Vanderbiest est aux anges. Quelques jours plus tard, elle est égorgée.
En cette période de carnaval, c’est à l’inspecteur Lilas Klaus et à son acolyte Serge Zwanze qu’il revient de faire tomber les...

Pourquoi faudrait-il qu’une femme soit belle pour être aimée ? Quand Lucien Raskin lui pose la question, Georgette Vanderbiest est aux anges. Quelques jours plus tard, elle est égorgée.
En cette période de carnaval, c’est à l’inspecteur Lilas Klaus et à son acolyte Serge Zwanze qu’il revient de faire tomber les masques pour dévoiler le visage du meurtrier. Or, des masques, il y en a. Un mari trop séduisant. Un ami trop entreprenant. Une handicapée trop belle. Une bibliothécaire trop ingénue. Sans
oublier un violoncelliste qui consacre ses soirées à jouer de son instrument, nu, face à sa fenêtre qui ouvre sur le lieu du crime.
Elle est pourtant bien paisible, cette minuscule rue Porselein, à Anderlecht.
Bienvenue chez les Belges !

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EAN : 9782258102514
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258102514
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lila11 16/01/2019
    j'ai aimé ce polar belge : l'enquête est sympa, bien ficelée et progresse régulièrement au fil des pages, avec des révélations qui relancent l'histoire. Les personnages sont attachants et pour certains très atypiques. Une belle découverte.
  • martinevvb 03/02/2017
    Très pittoresque. Il est rare de lire un livre qui parle de cette partie de Bruxelles : Anderlecht -qui n'est sans doute connu que par son équipe de foot, et la rue Porselein. Bon petit polar qui se défend bien malgré une fin un peu abrupte.
  • beatriceferon 27/04/2015
    Tandis qu'elle se penche pour prendre sa mallette dans sa voiture, le docteur Georgette Vanderbiest est égorgée et le corps basculé dans le coffre. Pas plus de quelques minutes et ni vu ni connu. Est-ce si sûr? La fenêtre de Melchior Demeulenaere surplombe le lieu du crime et, tous les soirs, le musicien joue du violoncelle dans cette pièce. Et puis, le propriétaire du restaurant les Tréteaux remarque la tache étrange qui s'élargit sous le véhicule. Lilas Klaus et Serge Zwanze vont interroger les proches de la victime. Et on va vite s'apercevoir que tous ont d'inavouables secrets! Il y a une enquête qui tient en haleine jusqu'aux dernières pages du livre. Mais ce n'est pas elle qui m'intéresse le plus. Les personnages sont certes des caricatures, mais ils sont amusants et on s'attache à eux. Serge dialogue tous les jours avec la photo de sa femme morte sous ses yeux et tente d'apprivoiser son fils adolescent. Lilas veut se faire respecter en tant qu'inspecteur. Elle n'aime pas qu'on féminise son titre et qu'on la voie comme une fragile petite bonne femme. Elle a un lourd secret de famille à porter. Celui que j'aime le mieux est le truculent Stu Debacker. La scène à la Rotonde qui l'oppose à des machistes fachos vaut son pesant de coquilles d'huîtres, même si elle est outrée et invraisemblable. Elle est comique et fait du bien! On a vraiment bien envie d'aller s'accouder au Père Faro, le « staminei » dont Serge est pratiquement le seul client. Mais ce que je préfère, c'est que l'auteur nous promène dans les quartiers de Bruxelles. Ici, c'est un endroit que j'aime beaucoup et que je connais bien: Saint Guidon, la Maison d'Erasme et son joli béguinage qui sont mis à l'honneur. L'auteur nous donne beaucoup d'informations intéressantes sur des lieux peu ou mal connus. Par exemple, je ne savais pas qu'il y avait un sanctuaire marial au Vieux Pannenhuis, qui reproduisait fidèlement la grotte de Lourdes. Enfin, je trouve très drôles toutes les expressions en bruxellois qu'utilisent les protagonistes. Donc, je me suis beaucoup amusée en lisant ce roman et je l'ai adoré.Tandis qu'elle se penche pour prendre sa mallette dans sa voiture, le docteur Georgette Vanderbiest est égorgée et le corps basculé dans le coffre. Pas plus de quelques minutes et ni vu ni connu. Est-ce si sûr? La fenêtre de Melchior Demeulenaere surplombe le lieu du crime et, tous les soirs, le musicien joue du violoncelle dans cette pièce. Et puis, le propriétaire du restaurant les Tréteaux remarque la tache étrange qui s'élargit sous le véhicule. Lilas Klaus et Serge Zwanze vont interroger les proches de la victime. Et on va vite s'apercevoir que tous ont d'inavouables secrets! Il y a une enquête qui tient en haleine jusqu'aux dernières pages du livre. Mais ce n'est pas elle qui m'intéresse le plus. Les personnages sont certes des caricatures, mais ils sont amusants et on s'attache à eux. Serge dialogue tous les jours avec la photo de sa femme morte sous ses yeux et tente d'apprivoiser son fils adolescent. Lilas veut se faire respecter en tant qu'inspecteur. Elle n'aime pas qu'on féminise son titre et qu'on la voie comme une fragile petite bonne femme. Elle a un lourd secret de famille à porter. Celui que j'aime le mieux est le truculent Stu Debacker. La scène à la Rotonde...
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  • guilmom 17/11/2013
    Excellent suspens avec de bonds rebondissements. En plus dans les rues de Bruxelles, ce qui donne une couleur locale très sympa.
  • jeannedesaubry 22/02/2013
    On avait déjà suivi dans « Petits Meurtres chez ces Gens-là » le duo de l’inspecteur (ne dites pas l’inspectrice, elle déteste) Lilas Krauss et de l’ex flic Serge Swanze. En dehors de l’affaire sur laquelle ils se trouvent à travailler ensemble, ils ont un point commun. L’amour de leur progéniture. Plus ou moins sorti de son deuil matrimonial, Swanze s’occupe de Georges, son ado de fils. Lilas, quant à elle, a adopté la petite Méï qu’elle avait sauvé d’un triste destin dans l’opus précédent. Sur ces bases solides, et alors que Lilas essaie d’oublier qu’elle en pince pour l’ex flic, le duo part à la recherche de l’assassin d’une femme bien sous tous rapports. Neurochirurgienne de renom, gentille, riche mais…moche. Irrémédiablement moche, à tel point que personne n’a jamais cru à l’amour du mari, beau comme un éphèbe. Trop pauvre, le prétendant, trop puissante, la belle famille. Parmi les proches de la victime, une belle handicapée et son compagnon, kiné. Un musicien fou, qui ne joue que nu devant sa fenêtre pour mieux faire corps avec la musique. L’intrigue, va, tournicote, sans violence gore, sans débauche de cruauté. On est chez des gens simples, qui aiment manger et boire, dont la vie, solidement assise, parait presque provinciale. On fréquente les estaminets, les parcs, les bibliothèques, des lieux fortement marqués par leur belgitude. Les expressions flamandes qui parsèment le roman donnent une couleur chaleureuse bienvenue aux dialogues où Dulle Griet donne toute leur place aux petits personnages. [...] la suite sur leblog de Jeanne Desaubry On avait déjà suivi dans « Petits Meurtres chez ces Gens-là » le duo de l’inspecteur (ne dites pas l’inspectrice, elle déteste) Lilas Krauss et de l’ex flic Serge Swanze. En dehors de l’affaire sur laquelle ils se trouvent à travailler ensemble, ils ont un point commun. L’amour de leur progéniture. Plus ou moins sorti de son deuil matrimonial, Swanze s’occupe de Georges, son ado de fils. Lilas, quant à elle, a adopté la petite Méï qu’elle avait sauvé d’un triste destin dans l’opus précédent. Sur ces bases solides, et alors que Lilas essaie d’oublier qu’elle en pince pour l’ex flic, le duo part à la recherche de l’assassin d’une femme bien sous tous rapports. Neurochirurgienne de renom, gentille, riche mais…moche. Irrémédiablement moche, à tel point que personne n’a jamais cru à l’amour du mari, beau comme un éphèbe. Trop pauvre, le prétendant, trop puissante, la belle famille. Parmi les proches de la victime, une belle handicapée et son compagnon, kiné. Un musicien fou, qui ne joue que nu devant sa fenêtre pour mieux faire corps avec la musique. L’intrigue, va, tournicote, sans violence gore, sans débauche de cruauté. On est chez des gens simples, qui aiment manger et boire, dont la vie,...
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