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Les Hauts de Hurle-Vent
Frédéric Delebecque (traduit par)
Date de parution : 07/11/2019
Éditeurs :
12-21

Les Hauts de Hurle-Vent

Frédéric Delebecque (traduit par)
Date de parution : 07/11/2019

Un classique indémodable de la littérature anglo-saxonne du XIXe siècle dans une version collector.
 

Le roman d’une passion déchirante et violente qui unit les amants parmi les plus connus de la littérature, Heathcliff et Catherine Earnshaw. Des personnages aussi indomptés et tourmentés que la lande du Yorkshire qui voit naître ces amours contrariées, sources autant d’exaltation que de cruauté.
 
EAN : 9782823874983
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823874983
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • annarose1700 10/04/2024
    Would you like me to write the plot summary for the the baby in yellow video game? As you look after a suspicious toddler, you'll have to avoid traps in this comedic Lovecraftian horror game. You need to keep your sense of humor, remember to shower, and feed your child throughout all eight episodes. Exercise caution around the infant. The video game developed by Team Terrible is now available on Steam and Google Play. This game has captivated the gaming community and YouTubers. All the way from belly laughs to cries of dread, players will feel it all in this game. Although it's a scary game, The Baby in Yellow has some funny and fascinating parts that you could like. Taking care of this devil's progeny will provide you happiness and experiences you'll never forget. Have fun while playing! The article was very successful; the layout was tight, and the content was very good and rewarding. I hope you'll share more with me. Play game the baby in yellow free.
  • SChaptal 09/04/2024
    Il suffit parfois de tomber sur une vidéo au hasard pour avoir envie de se replonger dans une lecture vieille de… plus de 30 ans. En l’occurrence, Les Hauts de Hurle-vent d’Emily Brontë (avec la graphie du lieu proposée par le deuxième traducteur du roman, la première traduction s’intitulant Un amant), lu adolescente. Le roman tiendrait-il la route face à mes yeux d’adulte#8201;? Eh bien… oui#8201;! Même si, objectivement, il n’y a rien qui va dans cette histoire. C’est, pour reprendre une expression marketing à la mode, de la dark romance avant l’heure. Parmi tous les personnages, toutes générations confondues dans l’histoire d’Emily Brontë, il n’y a que deux personnes à peu près normales : Mr Lockwood, le locataire d’Heathcliff qui cherche à s’isoler du brouhaha de la ville en s’exilant sur la lande pour plusieurs mois, et Hélène «#8201;Nelly#8201;» Dean, la femme de charge de la maison qu’il loue qui va lui raconter l’histoire de son propriétaire et des familles voisines Earnshaw et Linton. Tous les autres, y compris le médecin Mr Kenneth qu’on pourrait accuser a minima de complicité passive et de non-dénonciation de crime, sont soit victimes, soit coupables (et le plus souvent les deux) de violences conjugales, intrafamiliales et ne sont guère sympathiques. Et pourtant, l’autrice nous happe avec ses descriptions, ses portraits de personnages et son récit. Elle a un don pour à la fois éluder le plus dur (les coups sont rarement clairement indiqués, mais sont entendus à travers une cloison), rendre ses personnages particulièrement vivants et attachants (tout en étant comme Catherine première du nom et le fameux Heathcliff, parfaitement odieux de leur plus jeune âge à leur mort) tout en laissant une très grande place à l’imagination de son lectorat. Un exemple#8201;? Heathcliff est décrit à son arrivée comme un gamin «#8201;noir d’aspect#8201;» à l’âge indéterminé, mais dont la peau blêmit, aux allures de bohémien (ce qui sous-entendrait des origines européennes) mais qui pourrait aussi être le fils d’un prince de Chine ou d’Inde. Adulte, il est grand et fort, avec des cheveux et des yeux noirs. Et les autres personnages ne sont guère plus décrits. Cette possibilité laissée à chacun de coller les traits de son choix sur les acteurs de cette histoire explique peut-être pourquoi cette tragédie campagnarde écrite en 1847 résonne toujours autant presque deux siècles plus tard. Et pourquoi elle a eu autant de déclinaisons et d’adaptations à travers le temps. Suivant vos goûts, vous pourrez lire Les Hauts de Hurle-vent en différents formats (numérique, papier avec toutes les tailles possibles, audio) et avec différentes traductions. N’ayant pas retrouvé mon vieux livre d’adolescente, ma relecture s’est faite via une version libre de droits avec la deuxième traduction francophone connue. Même si la couverture n’est pas la plus attrayante qui soit. Il suffit parfois de tomber sur une vidéo au hasard pour avoir envie de se replonger dans une lecture vieille de… plus de 30 ans. En l’occurrence, Les Hauts de Hurle-vent d’Emily Brontë (avec la graphie du lieu proposée par le deuxième traducteur du roman, la première traduction s’intitulant Un amant), lu adolescente. Le roman tiendrait-il la route face à mes yeux d’adulte#8201;? Eh bien… oui#8201;! Même si, objectivement, il n’y a rien qui va dans cette histoire. C’est, pour reprendre une expression marketing à la mode, de la dark romance avant l’heure. Parmi tous les personnages, toutes générations confondues dans l’histoire d’Emily Brontë, il n’y a que deux personnes à peu près normales : Mr Lockwood, le locataire d’Heathcliff qui cherche à s’isoler du brouhaha de la ville en s’exilant sur la lande pour plusieurs mois, et Hélène «#8201;Nelly#8201;» Dean, la femme de charge de la maison qu’il loue qui va lui raconter l’histoire de son propriétaire et des familles voisines Earnshaw et Linton. Tous les autres, y compris le médecin Mr Kenneth qu’on pourrait accuser a minima de complicité passive et de non-dénonciation de crime, sont soit victimes, soit coupables (et le plus souvent les deux) de violences...
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  • Sarrousse 06/04/2024
    En ces derniers jours pluvieux, je me suis plongée avec bonheur dans ce grand classique qu’est Les Hauts de Hurlevent. J’en avais déjà beaucoup entendu parler mais je ne m’attendais pas à un roman aussi noir. Quasiment tous les personnage sont détestables, plein de hauteur ou de cynisme et surtout de noirceur. Pourtant j’ai adoré. Je pense que c’est une des forces d’Emily Bronte : on déteste les personnages mais pourtant, ils nous fascinent. Les Hauts de Hurlevent n’est qu’un enchevêtrement d’histoires d’amour passionnées et tragiques. Cela paraît fou quand on découvre, en quelques bribes dans la préface, la vie de l’autrice, qui a l’air tellement éloignée de ces tumultes amoureux. Bref, je suis plus que ravie d’avoir enfin découvert ce classique et, si vous ne l’avez pas encore fait (et si vous n’êtes pas trop dans un moment de déprime), je ne peux que vous inviter très fort à faire de même !
  • LesDemoisellesdeChatillon 05/04/2024
    Un chef-d’œuvre ! La première fois que j’ai lu Les Hauts de Hurlevent je devais avoir 16 ou 17 ans. Aucun livre ne m’avait fait un effet pareil. J’étais sur la plage en plein été et pourtant, grâce à la plume envoûtante d’Emily Brontë, j’avais la sensation d’être glacée, perdue sur une morne lande. J’ai voulu le relire pour voir s’il me procurait toujours autant d’émotions (vous pouvez nous rejoindre tout le mois sur mon Discord - ICI - pour en parler plus longuement) et la réponse est OUI ! J’avais oublié beaucoup de détails, notamment sur la génération suivante et j’ai pris un plaisir fou à le relire dans cette superbe édition. Il ne s’agit absolument pas d’une histoire d’amour - une passion destructrice plutôt, de l’orgueil et un besoin d’absolu -, rien de comparable aux œuvres des autres sœurs Brontë. Les Hauts de Hurlevent sont à l’image du lieu de l’intrigue : froid, cruel et sauvage. L’histoire n’est qu’une suite d’événements affreux, les personnages sont tous plus détestables les uns que les autres (la palme à Heathcliff - un vrai vrai méchant) alors pourquoi est-ce que j’adore ce roman ? Parce qu’Emily Brontë a tellement bien su peindre son sombre tableau ! Quand on commence Les Hauts, impossible de s’arrêter. On est aspiré par la lande... Il y a une certaine fascination morbide à observer le destin de cette famille, la chute inéluctable de ces êtres infâmes. Savoir inspirer un tel sentiment d’horreur pour un personnage fictif je trouve ça brillant. Je les voyais évoluer, interagir… ils étaient vivants (et j’aurais bien distribué des paires de claques). C’est un classique vraiment accessible à tous. La plume est fluide et on ne se perd pas en longues descriptions. Heathcliff et Catherine n’ont décidément pas pris une ride. Définitivement à lire au moins une fois.Un chef-d’œuvre ! La première fois que j’ai lu Les Hauts de Hurlevent je devais avoir 16 ou 17 ans. Aucun livre ne m’avait fait un effet pareil. J’étais sur la plage en plein été et pourtant, grâce à la plume envoûtante d’Emily Brontë, j’avais la sensation d’être glacée, perdue sur une morne lande. J’ai voulu le relire pour voir s’il me procurait toujours autant d’émotions (vous pouvez nous rejoindre tout le mois sur mon Discord - ICI - pour en parler plus longuement) et la réponse est OUI ! J’avais oublié beaucoup de détails, notamment sur la génération suivante et j’ai pris un plaisir fou à le relire dans cette superbe édition. Il ne s’agit absolument pas d’une histoire d’amour - une passion destructrice plutôt, de l’orgueil et un besoin d’absolu -, rien de comparable aux œuvres des autres sœurs Brontë. Les Hauts de Hurlevent sont à l’image du lieu de l’intrigue : froid, cruel et sauvage. L’histoire n’est qu’une suite d’événements affreux, les personnages sont tous plus détestables les uns que les autres (la palme à Heathcliff - un vrai vrai méchant) alors pourquoi est-ce que j’adore ce roman ? Parce qu’Emily Brontë a tellement bien su peindre son sombre tableau ! Quand on...
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  • Ayla24 02/04/2024
    Magnifique et abominable ! Davantage une histoire d'attachement viscéral et de vengeance que celle de l'amour romantique que l'on voudrait y voir. Ce livre dérange, révolte et fascine tout à la fois. Il est d'une beauté macabre et envoûtante. Il m'est arrivée plus d'une fois en cours de lecture de ne plus savoir si j'adorais ou si je détestais. Heathcliff est l'une des figures d'anti-héros les plus entêtantes qu'il m'ait été donné de croiser dans la littérature. On se demande comment une si jeune femme, avec une vie de quasi recluse a pu imaginer un tel florilège de haine et de violence. Dans une langue superbe. La lande du Yorkshire y est un personnage en soi. Ce livre vous hante longtemps après l'avoir refermé, sans que l'on s'y attende, tout comme les fantômes éternels de Cathy et de Heathcliff.
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