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Les lèvres qui voient
Patrick Berthon (traduit par)
Date de parution : 21/04/2016
Éditeurs :
12-21

Les lèvres qui voient

Patrick Berthon (traduit par)
Date de parution : 21/04/2016
(Re)découvrez tous les grands succès de Patricia Wentworth chez 12-21, l'éditeur numérique !

Personne n'aurait pu deviner que Paulina Paine était sourde. Mais elle déchiffrait parfaitement le mouvement des lèvres. Les deux hommes qui se retrouvèrent non loin d'elle, lors d'un vernissage, ne...

Personne n'aurait pu deviner que Paulina Paine était sourde. Mais elle déchiffrait parfaitement le mouvement des lèvres. Les deux hommes qui se retrouvèrent non loin d'elle, lors d'un vernissage, ne se rendirent compte que trop tard qu'elle avait saisi toute leur conversation. Paulina en fut tellement ébranlée qu'elle décida de...

Personne n'aurait pu deviner que Paulina Paine était sourde. Mais elle déchiffrait parfaitement le mouvement des lèvres. Les deux hommes qui se retrouvèrent non loin d'elle, lors d'un vernissage, ne se rendirent compte que trop tard qu'elle avait saisi toute leur conversation. Paulina en fut tellement ébranlée qu'elle décida de rendre visite à Miss Silver, l'ancienne gouvernante devenue détective qui, tout en tricotant, parvenait à denouer les énigmes les plus difficiles. Ce fut la dernière démarche de Paulina Paine...

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EAN : 9782823823295
Code sériel : 2407
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823823295
Code sériel : 2407
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Nitocris2021 18/02/2024
    Même si cet opus de miss Silver n'a pas de qualités historiques et que ses personnages sont moins réussis que dans d'autres j'ai personnellement retrouvé les qualités qui me plaisent dans cette série. Une bonne petite enquête pas spécialement crédible mais distrayante, une bonne pincée de romantisme et un peu de moralisme. Une lecture détente .
  • Matdemisaine 27/03/2023
    Les lèvres qui voient partent sur une belle idée de départ : une femme sourde depuis l’explosion d’une bombe à Londres pendant la deuxième guerre mondiale apprend à lire sur les lèvres avec une telle dextérité qu’elle surprend des propos criminels lors d’un vernissage. La suite est plus convenue : plein de jeunes gens dans une belle demeure et l’assassin parmi eux. Une bluette en filigrane. Il reste que l’intrique est plaisante, un peu désuète mais charmante, certains personnages sont bien saisis et plus impitoyables que dans d’autres romans de l’autrice. On note comme un élément récurrent de ses ouvrages la fin qui se règle dans une descente vertigineuse et bien pratique. Un livre agréable à déguster sans modération.
  • Symphonia2 07/07/2018
    On m’a conseillé Patricia Wentworth car je suis une inconditionnelle d’Agatha Christie et de Miss Marple. Et force est de constater que l’ambiance est très similaire. J’ai beaucoup aimé, non seulement l’atmosphère mais le personnage principal, Miss Silver, ancienne détective privée, qui ne paie pas de mine comme on dit, mais qui se révèle être une personne remarquablement intelligente et perspicace. Sa façon d’écouter tous les protagonistes de l’histoire tout en tricotant, pour récolter le maximum d’informations, me rappelle vraiment Miss Marple. On ne se méfie jamais d’une petite dame âgée qui tricote (Erreur!). L’enquête est très bien ficelée et bien menée. Le suspens est prenant – j’ai lu le livre en 3 jours – mais une partie de la solution s’est dévoilée d’elle même avant la fin, ce que j’ai trouvé un peu dommage. En résumé, c’est une très bonne découverte. Je lirai d’autres romans de cette auteur avec plaisir, ce qui me changera un peu des Miss Marple que je connais trop bien maintenant.
  • Derfuchs 04/05/2018
    Mon avis : -Driiin -Allô, j’écoute… -Patricia Wentworth ? -Madame Wentworth, oui, à qui ai-je l’honneur ? -Stanislas Trévite de l’écho du tricot de Tacoignières, en France. -Connais pas. C’est quoi, un journal, une marque, une publicité ? -Un magazine mensuel spécialisé en tricot. Puis-je vous poser quelques questions ? -Oui, pourquoi pas, bien que le tricot ce n’est pas mon truc. -Ah, bon, je croyais. Bon, voilà, nous avons 539 abonnées et nous avons organisé un concours avec votre roman « Les lèvres qui voient ». Il s’agissait de définir si Maud Silver aurait terminé, au cours du roman, le châle de bébé qu’elle tricotait à la page 34 du livre. -Et alors, il y a eu des gagnantes ? -C’était facile et nous avons reçu trop de bonnes réponses aussi nous avons épicé le jeu par une question subsidiaire : de quelle grosseur sont les aiguilles utilisées pour le châle ? Qu’en pensez-vous ? -Mon Dieu, je n’en sais strictement rien, il faut demander à Miss Silver (rires). -Non, non, pour les aiguilles nous savons, nous avons des spécialistes, ce sont des n° 8 pour un châle . Que pensez-vous de la question ? -N°8 vous croyez, hum...suis pas certaine, c’est ma mère qui tricotait et comme elle était courte de vue elle tricotait gros, 10/12 peut-être...et quelle est la réponse à la première question ? -Page 222, Maud Silver tricote un chausson de bébé, donc elle a terminé le châle, sinon la grosseur des aiguilles est une bonne question selon vous ? -J’écris des romans, mon personnage Maud Silver est détective privée, rémunérée pour cela. Le tricot est un moyen de déstabiliser ses interlocuteurs, de reconnaissance au fil des bouquins et,certes, elle tricote comme d’autres lisent ou boivent du thé. Je n’ai pas à savoir si cette manie que j’ai créée donne matière à un concours de magazine français, franchement, quand même ! -D’accord mais Jane Marple, elle… -Stop, je vous en prie, vous allez trop loin, Marple est un plagiat de cette Agatha Christie. C’est une paysanne, une pipelette, une concierge, bref tout le contraire de Silver qui est une londonienne, une citadine… -D’accord, d’accord, excusez-moi, je ne pensais pas à mal, on ne peut empêcher le lecteur de faire le rapprochement, vous en serez d’accord. Je ne voulais pas vous vexer. -Bien et l’intrigue, qu’ont pensé vos lectrices de l’intrigue ? -Ma foi, oui, du bien, je pense, nous n’avons pas eu de reproches sur votre livre, il a été lu par toutes bien entendu, sinon comment trouver la solution… -En fait vous n’en savez rien, on se demande à quoi bon se décarcasser pour faire un livre qui tient la route, pour qu’en fin il serve de soutien à un concours de pelotes de laine. -Excusez, pas tout à fait, il a été étudié quand même et personnellement je trouve que c’est une riche idée que cette Paulina qui lit sur les lèvres, ensuite y mêler un tableau et son peintre, des jeunes gens, un beau manoir en province élégante anglaise avec une étude approfondie des caractères, quelques policiers dont Franck Abbott, son complice habituel et le collier de la reine Marie-Antoinette, souvenir douloureux pour nous français, comme trame du bouquin. A cela la psychologie de Miss Silver, ses manies, sa logique et le dénouement inattendu en font un livre très intéressant à lire, sans oublier votre écriture raffinée… -Oui d’accord, bien, pas de flatterie...Au moins vous l’avez lu ce livre, merci. -De rien. Puis-je venir avec notre photographe pour mettre votre portrait à notre prochaine une ? -On verra, on verra. Au revoir et à bientôt. Clic Dialogue imaginaire. Mon avis : -Driiin -Allô, j’écoute… -Patricia Wentworth ? -Madame Wentworth, oui, à qui ai-je l’honneur ? -Stanislas Trévite de l’écho du tricot de Tacoignières, en France. -Connais pas. C’est quoi, un journal, une marque, une publicité ? -Un magazine mensuel spécialisé en tricot. Puis-je vous poser quelques questions ? -Oui, pourquoi pas, bien que le tricot ce n’est pas mon truc. -Ah, bon, je croyais. Bon, voilà, nous avons 539 abonnées et nous avons organisé un concours avec votre roman « Les lèvres qui voient ». Il s’agissait de définir si Maud Silver aurait terminé, au cours du roman, le châle de bébé qu’elle tricotait à la page 34 du livre. -Et alors, il y a eu des gagnantes ? -C’était facile et nous avons reçu trop de bonnes réponses aussi nous avons épicé le jeu par une question subsidiaire : de quelle grosseur sont les aiguilles utilisées pour le châle ? Qu’en pensez-vous ? -Mon Dieu, je n’en sais strictement rien, il faut demander à Miss Silver (rires). -Non, non, pour les aiguilles nous savons, nous avons des spécialistes, ce sont des n° 8 pour un châle . Que pensez-vous de la question ? -N°8 vous croyez, hum...suis pas certaine, c’est ma mère qui tricotait et comme elle était courte de vue elle tricotait gros, 10/12 peut-être...et quelle est la réponse à la première...
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  • poppy64 22/10/2011
    Une bonne enquête menée par la miss marple de l'auteur. Que peut voir sur les lèvres une personne sourde avant de mourir. L'enquête est bien faite. On est en haleine jusqu'à la fin
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