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Les Misérables - tome 07
Collection : mangas
Date de parution : 10/11/2016
Éditeurs :
12-21

Les Misérables - tome 07

Collection : mangas
Date de parution : 10/11/2016
Une fabuleuse interprétation graphique du grand classique Les Misérables de Victor Hugo !

 
Nous sommes en pleines révoltes en 1832. Des émeutes ont lieu dans Paris le jour des funérailles du général Lamarque. Anjolras et ses acolytes préparent une barricade à proximité du... Nous sommes en pleines révoltes en 1832. Des émeutes ont lieu dans Paris le jour des funérailles du général Lamarque. Anjolras et ses acolytes préparent une barricade à proximité du cabaret, le Corinthe. Sans nouvelles de Cosette, Marius rejoint la révolution. Éponine le retrouve et, avant de mourir, lui donne... Nous sommes en pleines révoltes en 1832. Des émeutes ont lieu dans Paris le jour des funérailles du général Lamarque. Anjolras et ses acolytes préparent une barricade à proximité du cabaret, le Corinthe. Sans nouvelles de Cosette, Marius rejoint la révolution. Éponine le retrouve et, avant de mourir, lui donne une lettre de Cosette. Gavroche transmet la réponse de Marius à Jean Valjean qui apprend ainsi le secret de sa fille.
 
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EAN : 9782823855401
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823855401
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Franz 07/04/2019
    Les barricades. Enjolras, le meneur charismatique des révolutionnaires patentés, tient en joue un insurgé et lui accorde une minute pour recommander son âme à Dieu. Le visage fermé, le regard dur, les autres révoltés attendent dans un silence de mort l’exécution sommaire. Parmi eux se distingue un infiltré notoire, l’inspecteur Javert. Les quatre premières pages en couleur du manga introduisent sans fard ni détour l’insurrection républicaine à Paris en juin 1832. Par un jeu de contrastes multiples, les tensions deviennent palpables. La mort semble constituer la seule issue possible à un coup d’éclat politique déterminé mais idéaliste et somme toute improvisé. Le terrain des affrontements n’a pas été assez étudié, les possibilités de repli n’ont pas été envisagées. La barricade est faite de bric et de broc, incapable de résister à une canonnade. Pourtant, dans ce contexte plombé, les révolutionnaires croient en des lendemains qui chantent, Enjolras, l’ange racé, le premier, Grantaire, le sceptique, en dernier. Déjà le 7e et avant-dernier tome de l’adaptation en manga des Misérables, porté par un souffle épique qui ne faiblit pas. Comment ne pas être affolé par toute cette jeunesse fauchée en plein rêve : Eponine, Gavroche et toute la coterie de l’ABC dans un bain de sang, Enjolras et Grantaire en dernier, unis sous la salve meurtrière ? Marius est blessé, évanoui et porté par Jean Valjean dans les égouts. La soldatesque veut parfaire sa mission et restaurer l’ordre en éliminant la chienlit jusqu’à l’ultime victime, traquant le fuyard jusque dans le Léviathan, les boyaux nauséabonds souterrains, domaine réservé des rats. L’action est menée tambour battant. Takahiro Arai orchestre une dynamique étourdissante avec ses découpages, la gestuelle chorégraphiée des personnages, les visages expressifs et les impacts meurtriers de la mitraille. Gavroche s’écroule dans une sobriété émouvante. Eponine expire dans une grâce fragile qui tord les tripes. L’amour est bel et bien piétiné, sans état d’âme, par l’armée uniforme et les politiciens cyniques invisibles qui se gardent bien de se mouiller. Rien ne change et les Mozart assassinés jonchent les poubelles de l’histoire.Les barricades. Enjolras, le meneur charismatique des révolutionnaires patentés, tient en joue un insurgé et lui accorde une minute pour recommander son âme à Dieu. Le visage fermé, le regard dur, les autres révoltés attendent dans un silence de mort l’exécution sommaire. Parmi eux se distingue un infiltré notoire, l’inspecteur Javert. Les quatre premières pages en couleur du manga introduisent sans fard ni détour l’insurrection républicaine à Paris en juin 1832. Par un jeu de contrastes multiples, les tensions deviennent palpables. La mort semble constituer la seule issue possible à un coup d’éclat politique déterminé mais idéaliste et somme toute improvisé. Le terrain des affrontements n’a pas été assez étudié, les possibilités de repli n’ont pas été envisagées. La barricade est faite de bric et de broc, incapable de résister à une canonnade. Pourtant, dans ce contexte plombé, les révolutionnaires croient en des lendemains qui chantent, Enjolras, l’ange racé, le premier, Grantaire, le sceptique, en dernier. Déjà le 7e et avant-dernier tome de l’adaptation en manga des Misérables, porté par un souffle épique qui ne faiblit pas. Comment ne pas être affolé par toute cette jeunesse fauchée en plein rêve : Eponine, Gavroche et toute la coterie de l’ABC dans un bain...
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  • UneVieDesLivres 19/12/2018
    Une plongée dans la révolution de 1832 qui fait vaciller la vie des personnages. Encore une fois, beaucoup d’émotions. Quelques larmes versées. Des dessins qui amplifient les émotions ressenties, d’ailleurs. Beaucoup d’action, donc, dans ce tome. La fin arrive, malheureusement.
  • Lesvoyagesdely 15/08/2017
    La révolte gronde, les barricades sont posées. Advienne que pourra. Ils se battent pour plus d'égalité, de justice dans le monde mais ne pourront tous s'en relever.
  • OverTheMoonWithBooks 26/11/2016
    A Paris la révolte gronde, les esprits s'échauffent, les barricades se dressent, les partisans d'une République s'organisent, les gendarmes arrivent armés de fusils et de canons pour affronter les malheureux qui n'ont plus rien d'autre à perde que leur espoir en une vie meilleure : Paris s'embrase ! Le tome 7 reprend l'un des épisodes où la tension dramatique est à son apogée : c'est celui de la mort de Gavroche et d'Eponine, où Javert joue les infiltrés (sans doute le 1er flic à avoir ce rôle dans la littérature ! ) et où Jean Valjean tente le tout pour le tout pour sauver Marius. Une fois de plus le texte de Victor Hugo est magnifiquement mis en valeur par les graphismes de Takahiro Arai. Un tome où transparaît parfaitement l'idéalisme et l'espoir anéanti par une police royale suréquipée et méprisante de la vie de la "populace" (cette masse de misérables qui n'a pas encore gagné le titre de "peuple"). Un tome où les mots "morts pour la République" prennent tout leur sens. Victor Hugo a su capté l'esprit de ces pauvres hères qui n'avaient ni pain à tous les repas, ni éducation, ni de quoi se vêtir correctement. La misère en ayant fait des bêtes aveuglés par le désir de détrousser leurs semblables à tout prix (comme les Thénardier) ou des idéalistes révolutionnaires prêts à mourir pour leur idéal. Qu'est-ce que l'homme ne serait pas prêt à faire pour un peu de dignité ? Si étranges puissent être leurs choix... Et dans tout ça, Victor Hugo n'oublie pas l'amour. L'amour pour ses enfants, pour l'élu de son cœur ou la solidarité avec ses frères d'armes. C'est peut-être là ce qui différencie la peinture des âmes sous la plume de Victor Hugo d'autres de ses contemporains comme Emile Zola ou Balzac.... Ah la passion de l'idéal.... A Paris la révolte gronde, les esprits s'échauffent, les barricades se dressent, les partisans d'une République s'organisent, les gendarmes arrivent armés de fusils et de canons pour affronter les malheureux qui n'ont plus rien d'autre à perde que leur espoir en une vie meilleure : Paris s'embrase ! Le tome 7 reprend l'un des épisodes où la tension dramatique est à son apogée : c'est celui de la mort de Gavroche et d'Eponine, où Javert joue les infiltrés (sans doute le 1er flic à avoir ce rôle dans la littérature ! ) et où Jean Valjean tente le tout pour le tout pour sauver Marius. Une fois de plus le texte de Victor Hugo est magnifiquement mis en valeur par les graphismes de Takahiro Arai. Un tome où transparaît parfaitement l'idéalisme et l'espoir anéanti par une police royale suréquipée et méprisante de la vie de la "populace" (cette masse de misérables qui n'a pas encore gagné le titre de "peuple"). Un tome où les mots "morts pour la République" prennent tout leur sens. Victor Hugo a su capté l'esprit de ces pauvres hères qui n'avaient ni pain à tous les repas, ni éducation, ni de quoi se vêtir correctement. La...
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