Les Mystères de Djeddah

À propos de Les Mystères de Djeddah :
« Il convient de saluer l’habilité de Zoë Ferraris à rendre un portrait aussi fascinant que sensible d’un pays qui, en utilisant la religion comme une arme, entretient la paranoïa d’une société obsédée par le sexe, où les femmes sont infantilisées et où les hommes sont émotionnellement diminués. À lire absolument. »
The Guardian

« Plus qu’un roman, Les Mystères de Djeddah est une véritable analyse de la société saoudienne qui nous plonge au cœur des pensées de ces hommes élevés dans la peur des femmes et de la tentation charnelle qu’elles représentent. Aussi claustrophobe qu’original, sans doute l’un des meilleurs romans de suspense psychologique jamais publiés. »
The Independent

« Zoë Ferraris est une romancière d’exception capable de décrire aussi bien le charme subtil de la société saoudienne que la force terrifiante d’une tempête de sable, d’une visite dans une boutique de lingerie saoudienne ou d’une exécution publique. Les Mystères de Djeddah plaira tout autant aux lecteurs de romans à suspense qu’aux amateurs d’œuvres plus littéraires. »
The Boston Globe

« Le portrait saisissant d’un pays moderne étouffé par ses traditions médiévales. »
Kirkus Review

« Une analyse virulente de ces voiles, tout à la fois culturels et religieux, qui se dressent comme des murs entre les femmes musulmanes et le monde moderne. »
Publishers Weekly

« Entre roman policier et roman de mœurs, [Les mystères de Djeddah] dévoile sans complaisance les contradictions d'un pays qui utilise la religion comme une arme pour mieux soumettre les hommes et les femmes. »
Martine Freneuil, Le quotidien du médecin

À propos de La Disparue du désert :
« Pour ce premier roman, Zoë Ferraris nous livre un polar très efficace auquel se mêle la chronique d’une société partagée entre l’envie de la modernité et le respect des traditions. »
Point de vue