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Les roses de Guernesey
Corinne Tresca (traduit par)
Date de parution : 07/07/2015
Éditeurs :
Presses de la cité

Les roses de Guernesey

Corinne Tresca (traduit par)
Date de parution : 07/07/2015

Béatrice Shaye, septuagénaire de fraîche date partage sa demeure avec Hélène Feldman, de dix ans son aînée. Les deux femmes paraissent inexplicablement liées par le passé...

Lorsque Franca Palmer, ne se sentant plus le courage de supporter les exigences de son métier d'enseignante, de son mari, de son quotidien, choisit de se réfugier à Guernesey, elle...

Lorsque Franca Palmer, ne se sentant plus le courage de supporter les exigences de son métier d'enseignante, de son mari, de son quotidien, choisit de se réfugier à Guernesey, elle sait qu'elle trouvera chaleur et amitié auprès de la propriétaire de la roseraie du Variouf, un délicieux village du sud...

Lorsque Franca Palmer, ne se sentant plus le courage de supporter les exigences de son métier d'enseignante, de son mari, de son quotidien, choisit de se réfugier à Guernesey, elle sait qu'elle trouvera chaleur et amitié auprès de la propriétaire de la roseraie du Variouf, un délicieux village du sud de l'île. Très vite, une amitié empreinte de pudeur et de réserve naît entre la jeune Allemande et Béatrice. Mais une aura de mystère plane sur la roseraie. Franca va bientôt découvrir que tous les indices semblent mener au passé des deux femmes, à l'époque où l'île était occupée par les troupes allemandes. Peu à peu, les passions s'exacerbent et un nouveau drame éclate, quarante-cinq ans jour pour jour après le premier.

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EAN : 9782258133549
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258133549
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • QUILTADDICT 04/06/2019
    La vie a quelquefois de bien heureux hasards qui font arriver pour quelques jours Franca, jeune femme allemande complètement dépressive, dans la maison de Béatrice sur l’ïle de Guernesey. Les deux femmes se lient d’amitié et vont s’échanger quelques lettres. Lorsque Franca décidera quelques mois plus tard de quitter son domicile et son mari, c’est dans cette maison qu’elle trouvera refuge. Elle va alors découvrir à la fois un chapitre assez mal connu de la deuxième guerre mondiale et l’histoire de Béatrice et d’Hélène. Au fil des jours, Béatrice va se confier à Franca. Elle lui racontera comment elle a passé toutes les années de la guerre dans cette maison occupée par Erich, un officier allemand, et Hélène son épouse et pourquoi Hélène vit toujours avec elle malgré leurs relations mêlées de haine et d’amour. Ce roman a été pour moi une bonne surprise. De façon très habile, l’auteure mélange les époques et les histoires avancent en parallèle. J’ai été particulièrement touchée par l’évocation très réaliste de la période de l’occupation : les relations avec l’armée allemande, le sort des prisonniers de guerre, les privations. Béatrice est un personnage captivant. Nous la voyons faire face à une situation des plus douloureuses avec beaucoup de bravoure. La tension monte dans la maison occupée et la folie s’empare de Erich mais aussi de Hélène. En revanche, l’histoire criminelle qui arrive en fin de roman est beaucoup moins crédible. La vie a quelquefois de bien heureux hasards qui font arriver pour quelques jours Franca, jeune femme allemande complètement dépressive, dans la maison de Béatrice sur l’ïle de Guernesey. Les deux femmes se lient d’amitié et vont s’échanger quelques lettres. Lorsque Franca décidera quelques mois plus tard de quitter son domicile et son mari, c’est dans cette maison qu’elle trouvera refuge. Elle va alors découvrir à la fois un chapitre assez mal connu de la deuxième guerre mondiale et l’histoire de Béatrice et d’Hélène. Au fil des jours, Béatrice va se confier à Franca. Elle lui racontera comment elle a passé toutes les années de la guerre dans cette maison occupée par Erich, un officier allemand, et Hélène son épouse et pourquoi Hélène vit toujours avec elle malgré leurs relations mêlées de haine et d’amour. Ce roman a été pour moi une bonne surprise. De façon très habile, l’auteure mélange les époques et les histoires avancent en parallèle. J’ai été particulièrement touchée par l’évocation très réaliste de la période de l’occupation : les relations avec l’armée allemande, le sort des prisonniers de guerre, les privations. Béatrice est un personnage captivant. Nous la voyons faire face à une situation des plus douloureuses avec...
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  • nelson43 28/10/2013
    seconde guerre mondiale : l'île de Guernesey est envahie par les allemands .Béatrice , 14 ans doit fuir en Angleterre avec ses parents mais à l'embarquement , un mouvement de foule l'isole et elle se retrouve seule . Elle rentre chez elle et doit cohabiter avec Erich un officier allemand et sa femme Hélène .A la fin de la guerre , Hélène va rester dans la maison et l'auteur nous conte cette étrange cohabitation faite d'amour et de haine. Franca arrive sur l'île à la fin du siècle ; elle est allemande et , humilié par un mari autoritaire , elle ne peut vivre sans tranquillisants. Elle loue une chambre chez Béatrice et petit à petit , celle-ci va lui révéler les secrets qui lient les deux femmes. C'est le destin de plusieurs femmes qui nous est décrit à travers les pages tout en faisant une belle part au nazisme
  • brinvilliers 18/04/2013
    comme toujours Charlotte Link nous emmène vers une histoire complexe ou chaque personnage a son rôle à jouer. Durant la guerre, Béatrice se retrouve séparée de ses parents et vit avec Hélène et son mari Erich. Celui-ci officier supérieur allemand a un comportement des plus étranges. Des années plus tard les deux femmes vivent dans la même maison, mais chacune a ses secrets, et Franca, dépressive va sans le vouloir se trouver prise dans le piège.
  • Mamartin 15/07/2012
    Une petite fille se retrouve isolée, en pleine Seconde Guerre Mondiale, sur la petite île de Guernesey occupée par les Allemands. L'histoire retrace ses rêves d'enfant trop vite grandie, les liens (amicaux?) tissés avec les soldats. J'ai beaucoup aimé.
  • Lalivrophile 17/11/2011
    Ce roman, par certains côtés, m'a fait penser à "L'invité de la dernière heure". Certaines constructions, l'évolution des personnages évoquent ce roman. Comme "Les roses de Guernesey" a été écrit avant, je devrais dire que c'est plutôt dans "L'invité de la dernière heure" que Charlotte Link a repris ces aspects. L'attitude du mari de Franca et celle du mari de Karen ne sont pas très éloignées. Tous deux rabaissent sans arrêt leurs femmes, et critiquent ce qu'elles disent et font. De même, l'évolution de Franca et celle de Karen sont semblables. Les deux femmes sont confrontées à une situation à laquelle elles doivent faire face. Elles n'ont aucune autre solution. Elles sont terrorisées, mais sont absolument obligées d'agir. Cela les pousse à prendre des responsabilités, des décisions. Et à la fin du roman, elles sont en bonne voie de guérison. Le personnage de Maya est assez caricatural. Pourtant, il existe des personnes comme ça. Donc, elle est plutôt réaliste. Par contre, son revirement, à la fin, ne l'est pas vraiment. La situation qu'Alan et elle vivent est également assez commune. Là encore, si Alan finit par être sur la voie de la guérison, c'est à cause d'une situation dans laquelle il ne peut pas se permettre de pleurer sur son sort. On voit certaines choses venir. J'ai su très vite qu'il se passait quelque chose avec Kevin. J'avais trouvé certaines autres choses avant les personnages. [...] Lire la suite sur:Ce roman, par certains côtés, m'a fait penser à "L'invité de la dernière heure". Certaines constructions, l'évolution des personnages évoquent ce roman. Comme "Les roses de Guernesey" a été écrit avant, je devrais dire que c'est plutôt dans "L'invité de la dernière heure" que Charlotte Link a repris ces aspects. L'attitude du mari de Franca et celle du mari de Karen ne sont pas très éloignées. Tous deux rabaissent sans arrêt leurs femmes, et critiquent ce qu'elles disent et font. De même, l'évolution de Franca et celle de Karen sont semblables. Les deux femmes sont confrontées à une situation à laquelle elles doivent faire face. Elles n'ont aucune autre solution. Elles sont terrorisées, mais sont absolument obligées d'agir. Cela les pousse à prendre des responsabilités, des décisions. Et à la fin du roman, elles sont en bonne voie de guérison. Le personnage de Maya est assez caricatural. Pourtant, il existe des personnes comme ça. Donc, elle est plutôt réaliste. Par contre, son revirement, à la fin, ne l'est pas vraiment. La situation qu'Alan et elle vivent est également assez commune. Là encore, si Alan finit par être sur la voie de la guérison, c'est à cause d'une situation dans laquelle il ne peut pas...
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