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Jalna. La Saga des Whiteoak - T.8 : Les Whiteoak de Jalna
G. Lalande (traduit par)
Date de parution : 22/02/2018
Éditeurs :
Omnibus

Jalna. La Saga des Whiteoak - T.8 : Les Whiteoak de Jalna

G. Lalande (traduit par)
Date de parution : 22/02/2018
La célèbre saga des Jalna enfin disponible en numérique !
« Mazo De la Roche a créé un microcosme étourdissant de vie, des personnages (Adeline, Renny, Finch et les autres) inoubliables, et bien que ce monument littéraire soit ignoré par... « Mazo De la Roche a créé un microcosme étourdissant de vie, des personnages (Adeline, Renny, Finch et les autres) inoubliables, et bien que ce monument littéraire soit ignoré par la plupart de nos dictionnaires, elle mérite bien de figurer parmi les plus grands écrivains de son pays. » Janet... « Mazo De la Roche a créé un microcosme étourdissant de vie, des personnages (Adeline, Renny, Finch et les autres) inoubliables, et bien que ce monument littéraire soit ignoré par la plupart de nos dictionnaires, elle mérite bien de figurer parmi les plus grands écrivains de son pays. » Janet Erié
En seize romans, la vie de la famille Whiteoak à travers quatre générations, depuis le mariage du capitaine Philippe Whiteoak et d'Adeline Court au milieu du XIXe siècle jusqu'au centenaire de leur bien-aimé domaine de Jalna. Un best-seller mondial depuis les années 1930.
Volume 8 sur 16

 
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EAN : 9782258151642
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258151642
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Aline1102 27/01/2021
    Retrouver les Whiteoaks après un certain temps, c'est un peu comme retrouver des amis longtemps perdus de vue. On se souvient des traits de personnalité de chacun. Leurs petites manies semblent attendrissantes. Et Jalna, la maison de famille, semble accueillante et familière. Pourtant, comme Alayne Archer le ressent bien lors de son propre retour à Jalna, les Whiteoaks sont un clan très fermé. Ils se suffisent à eux-mêmes et n'ont besoin de l'intrusion de personne : les drames et conflits sont réglés en famille, les maladies soignées par la très fiable tante Augusta ou la douce Meg. Et les conflits sont justement nombreux dans ce volume. C'est souvent le jeune Finch qui en fait les frais, car il est très différent du reste de la famille : plus sensible et moins terre-à-terre, il a un besoin presque maladif d'affection et d'approbation, et se sent incompris du reste du clan. [masquer] Le fait qu'il hérite la fortune de sa grand-mère ne l'aide pas à prendre confiance en lui, car ce legs provoque la fureur de ses aînés. Eh oui, vous avez bien lu : la vieille Adeline meurt dans ce roman de la saga. Avec elle, c'est toute une partie de l'histoire des Whiteoak, et même de Jalna, qui s'en va. Les autres romans auront-ils la même saveur sans elle ? [/masquer] J'ai retrouvé avec beaucoup de joie la plume douce et vive de Mazo de la Roche. Ses descriptions de la nature et des paysages entourant Jalna sont toujours aussi somptueuses, et ses personnages profonds et complexes sont encore une fois passionnants à suivre. [masquer] Je n'ai qu'une hâte : me plonger dans la suite de la saga pour connaître le destin de Finch et la façon dont les Whiteoaks s'accommodent de l'absence d'Adeline. [/masquer] Challenge Solidaire 2021 : 3/30Retrouver les Whiteoaks après un certain temps, c'est un peu comme retrouver des amis longtemps perdus de vue. On se souvient des traits de personnalité de chacun. Leurs petites manies semblent attendrissantes. Et Jalna, la maison de famille, semble accueillante et familière. Pourtant, comme Alayne Archer le ressent bien lors de son propre retour à Jalna, les Whiteoaks sont un clan très fermé. Ils se suffisent à eux-mêmes et n'ont besoin de l'intrusion de personne : les drames et conflits sont réglés en famille, les maladies soignées par la très fiable tante Augusta ou la douce Meg. Et les conflits sont justement nombreux dans ce volume. C'est souvent le jeune Finch qui en fait les frais, car il est très différent du reste de la famille : plus sensible et moins terre-à-terre, il a un besoin presque maladif d'affection et d'approbation, et se sent incompris du reste du clan. [masquer] Le fait qu'il hérite la fortune de sa grand-mère ne l'aide pas à prendre confiance en lui, car ce legs provoque la fureur de ses aînés. Eh oui, vous avez bien lu : la vieille Adeline meurt dans ce roman de la saga. Avec elle, c'est toute une partie de l'histoire des Whiteoak,...
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  • Milllie 20/12/2020
    Même si je suis toujours accro à la saga Jalna, j'ai eu du mal avec ce tome 8 que j'ai trouvé bien en deçà des précédents et qui m'a souvent agacée voire ennuyée. Puisqu'on a maintenant repris un rythme chronologique "classique", ce tome commence juste après la fin du précédent et on y retrouve tous les frères Whiteoak même si l'histoire est centrée principalement autour de Finch, jeune adulte dont le goût pour les arts parait bien incongru à son frère aîné. Dans une famille de pionniers, de cavaliers et de propriétaires terriens, vouloir abandonner ses études pour travailler la terre serait compréhensible mais se consacrer à la musique ou au théâtre est inadmissible ! J'ai eu du mal à m'attacher à ce personnage de Finch, qui depuis sa jeunesse est un peu le souffre-douleur de la famille : son indécision, son incapacité à se rebeller ou à s'affirmer, son côté pataud et maladroit accentué par le manque de confiance en lui m'ont vite agacée sans parvenir à vraiment me toucher. Je trouvais à la fois inadmissible qu'il soit aussi mal traité sans que personne n'y trouve à redire et j'étais en même temps souvent irritée par ses maladresses permanentes. C'est sans doute le signe que le portrait qu'en dresse Mazo de la Roche est très réaliste mais cela a rendu ce tome très longuet pour moi. Comme par ailleurs, la partie de l'intrigue centrée autour d'Eden m'a également agacée ([masquer]même pour tout l'amour de Renny, comment Alayne peut-elle accepter de revenir à Jalna soigner Eden après tout le mal qu'il lui a fait ? [/masquer]), c'est vraiment un tome que j'ai eu hâte de finir pour passer à autre chose ! Heureusement les dernières pages laissent présumer pas mal de rebondissements pour les prochains épisodes, j'espère y trouver plus mon compte et parvenir à m'attacher à nouveau aux personnages.Même si je suis toujours accro à la saga Jalna, j'ai eu du mal avec ce tome 8 que j'ai trouvé bien en deçà des précédents et qui m'a souvent agacée voire ennuyée. Puisqu'on a maintenant repris un rythme chronologique "classique", ce tome commence juste après la fin du précédent et on y retrouve tous les frères Whiteoak même si l'histoire est centrée principalement autour de Finch, jeune adulte dont le goût pour les arts parait bien incongru à son frère aîné. Dans une famille de pionniers, de cavaliers et de propriétaires terriens, vouloir abandonner ses études pour travailler la terre serait compréhensible mais se consacrer à la musique ou au théâtre est inadmissible ! J'ai eu du mal à m'attacher à ce personnage de Finch, qui depuis sa jeunesse est un peu le souffre-douleur de la famille : son indécision, son incapacité à se rebeller ou à s'affirmer, son côté pataud et maladroit accentué par le manque de confiance en lui m'ont vite agacée sans parvenir à vraiment me toucher. Je trouvais à la fois inadmissible qu'il soit aussi mal traité sans que personne n'y trouve à redire et j'étais en même temps souvent irritée par ses maladresses permanentes. C'est...
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  • Gwen21 20/02/2020
    En achevant la lecture de ce huitième tome d'une saga qui en compte le double, j'arrive non seulement à mi-parcours mais surtout au point de non-retour. Et bien que l'auteure n'ait pu réellement prévoir ce crescendo émotionnel puisqu'elle n'a pas écrit les tomes dans l'ordre narratif, c'est indéniable, ce tome marque définitivement l'appartenance ou non du lecteur au clan Whiteoak. Si le lecteur n'a pas été ému par les drames qui se nouent et se dénouent entre ces pages, alors il peut en rester là. Pour les autres dont je suis, pour ceux qui auront ri et pleuré, ils sont marqués au fer, ils iront jusqu'au bout ! Si ce commentaire vous semble un brin dramatique, c'est justement parce que la dimension dramatique s'intensifie avec "Les Whiteoak de Jalna". Est-ce de les avoir déjà côtoyés sur plus de deux mille pages ? Plus sûrement qu'à cette familiarité acquise, le lecteur doit son engouement au style incroyablement vivant de Mazo de la Roche. Dans mes chroniques des tomes précédents, j'ai peu abordé ce point mais il faut à présent que je rende hommage à la plume brillante de l'auteure. Mazo de la Roche a créé un univers avec pour cadre un décor de nature farouche enchanteur. Son récit est très équilibré entre descriptions et dialogues, donnant un rythme extraordinaire à la saga. Les dialogues sont enlevés et vifs (comment vous décrire le fluide vital qui court tout au long des nombreuses scènes de querelles familiales !) et les descriptions jamais ennuyeuses. Sous la plume de Mazo de la Roche, la moindre coccinelle, le plus innocent souffle de vent, la plus banale des vaches au pré prennent un relief, une vie et une personnalité phénoménaux qui se fondent dans un ensemble cohérent, parfaitement construit du point de vue narratif, et superbement romanesque. J'ai atteint avec joie le haut de la montagne que constitue cette saga familiale, j'ai couru au sommet, je me jette à présent dans la descente en rempilant pour huit autres tomes, avec au cœur la crainte d'arriver trop vite en bas. Challenge PAVES 2020 Challenge XXème siècle 2020 Challenge MULTI-DÉFIS 2020 Challenge PLUMES FÉMININES 2020En achevant la lecture de ce huitième tome d'une saga qui en compte le double, j'arrive non seulement à mi-parcours mais surtout au point de non-retour. Et bien que l'auteure n'ait pu réellement prévoir ce crescendo émotionnel puisqu'elle n'a pas écrit les tomes dans l'ordre narratif, c'est indéniable, ce tome marque définitivement l'appartenance ou non du lecteur au clan Whiteoak. Si le lecteur n'a pas été ému par les drames qui se nouent et se dénouent entre ces pages, alors il peut en rester là. Pour les autres dont je suis, pour ceux qui auront ri et pleuré, ils sont marqués au fer, ils iront jusqu'au bout ! Si ce commentaire vous semble un brin dramatique, c'est justement parce que la dimension dramatique s'intensifie avec "Les Whiteoak de Jalna". Est-ce de les avoir déjà côtoyés sur plus de deux mille pages ? Plus sûrement qu'à cette familiarité acquise, le lecteur doit son engouement au style incroyablement vivant de Mazo de la Roche. Dans mes chroniques des tomes précédents, j'ai peu abordé ce point mais il faut à présent que je rende hommage à la plume brillante de l'auteure. Mazo de la Roche a créé un univers avec pour cadre un décor de...
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  • sarahdu91 19/08/2019
    Tome 8 de Jalna, on arrive un peu au tome charnière de la saga... sur 16 tomes à découvrir on peut dire que la transition du milieu est assez importante, on ne sait toujours pas à quel moment la matriarche va fermer les yeux et à 101 ans, le temps est tout à fait venu pour repasser le flambeau aux générations qui la suivent. Vient donc le moment où tous les neveux refont surface au domaine, les frères de Renny sont presqu' adultes, les deux aînés mariés et le 3e, Finch peine un peu à s'imposer au domaine car chez les Whiteoak, les arts ne sont pas trop les bienvenus si l'on en croit les valeurs familiales. La vieille Adeline, meurt de vieillesse et bien évidemment le domaine est dans le doute quant au futur héritier qui figure sur le testament mais qui n'était connu de personne sauf par la vieille dame. La surprise sera de taille car malgré le fait que Renny ait repris le domaine après la mort de son père pour le gérer  eh bien ce n'est donc pas ce petit fils qui héritera de la fortune de la grand mère.
  • ZeroJanvier79 29/08/2018
    J'avais dévoré tout Jalna quand j'étais adolescent, et si je suis incapable aujourd'hui de me souvenir de chacun des tomes qui composent cette saga gigantesque, je me souviens tout de même que j'avais pris beaucoup de plaisir à découvrir cette famille et ce domaine familial que l'on suit pendant presque un siècle.
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