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Lettre à mon juge
Romans durs
Date de parution : 14/06/2012
Éditeurs :
Omnibus

Lettre à mon juge

Romans durs

Date de parution : 14/06/2012
Confession d’un condamné à mort
Condamné pour l’assassinat de sa maîtresse, Charles Alavoine, de la prison où il est incarcéré, écrit au juge. Cette lettre n’est pas destinée à sa défense, elle lui permet de... Condamné pour l’assassinat de sa maîtresse, Charles Alavoine, de la prison où il est incarcéré, écrit au juge. Cette lettre n’est pas destinée à sa défense, elle lui permet de faire le point sur sa vie et sur ce qui l’a conduit là où il est maintenant.
Adapté pour le cinéma...
Condamné pour l’assassinat de sa maîtresse, Charles Alavoine, de la prison où il est incarcéré, écrit au juge. Cette lettre n’est pas destinée à sa défense, elle lui permet de faire le point sur sa vie et sur ce qui l’a conduit là où il est maintenant.
Adapté pour le cinéma en 1952, sous le titre Le Fruit défendu, dans une réalisation de Henri Verneuil, avec  Fernandel (Charles Pellegrin), Françoise Arnoul (Martine Englebert), Claude Nollier (Armande Barthélémy), Jacques Castelot (Boquet), Raymond Pellegrin (Octave), Fernand Sardou (Fontvieille) ; et au théâtre en 2008, dans une adaptation de Robert Benoit, avec Robert Benoit (Charles Alavoine).

Simenon chez Omnibus : les enquêtes du célèbre commissaire Maigret, et les très “noirs” Romans durs
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EAN : 9782258097568
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258097568
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • gabrielbourlard7 18/01/2024
    C'est le premier Simenon que j'ai lu et il fait partie de mes livres préférés. Je l'adore et c'est sûrement lui entre autres qui m'a poussé a m'intéresser a la littérature et aux livres tout simplement. En somme je le conseille vivement et j'espère que vous l'apprecierez autant que moi
  • tienstiensolivier 28/06/2023
    Petite mise en garde. A celles et ceux qui espéreraient juste une critique, un avis ou un résumé du livre, passez votre chemin et n'allez pas plus loin dans la lecture de ce billet, vous y trouverez de tout sauf ça. J'avais envie d'essayer de transmettre ce qui guide mes choix de lecture et les liens que j'essaie de tisser et qui se construisent d'un livre à l'autre. Il y a bien sûr les avis, les échanges et les recommandations d'amis et connaissances mais pourquoi précisément tel livre à tel moment? Je ne crois pas vraiment au hasard et j'ai plaisir à essayer de trouver des signes, des petites passerelles qui peuvent expliquer le pourquoi du comment je suis passé de ce livre ci à celui-là. C'est parfois simplement l'envie de passer à un livre court après avoir lu un pavé. C'est un jeu un peu idiot mais j'aime ça. Ne m'en voulez pas mais j'ai envie de me laisser aller à mes divagations. Et donc, comment expliquer qu'après avoir lu "Crime et châtiment", j'en sois arrivé à "Lettre à mon Juge" de Simenon? Du plus court, du plus léger sans pour autant tomber dans la niaiserie. Ce qui est particulier, c'est que MAIGRET ne m'évoque pas vraiment de bons souvenirs. Sans en avoir lu, je trouve que c'est poussiéreux, lent, sans action. Ça me rappelle des dimanches pluvieux devant la télévision avec ma mère. Elle aimait bien Jean Richard et Bruno Cremer. Moi, en général, je m'endormais aussi rapidement que devant une étape du Tour de France. Et alors? Il est où le lien? J'y arrive. Comme il ne m'a pas laissé de bons souvenirs télévisuels, pourquoi donc essayer les romans? Parce que j'ai découvert que son oeuvre ne se limite pas à son commissaire. Il y a aussi ses "romans durs" dont "Lettre à mon Juge", considéré par certains comme ce que Simenon a produit de mieux. Je ne peux pas émettre d'avis éclairé puisque j'en suis à mon premier Simenon. Je sais, le rapport avec Dostoïevski? J'ai cherché quels étaient les acteurs qui avaient interprété le rôle de Maigret au cinéma et à la télévision hormis les deux pré-cités. Gabin bien-sûr, plus récemment Gégé Depardieu mais aussi Harry Baur et Charles Laughton entre autres. Ma mère adorait Harry Baur. Taras Boulba, Raspoutine, Jean Valjean… et, je vous le donne dans le mille, il a joué le rôle du Juge PORPHYRE dans "Crime et châtiment. Moi, je vénère Charles Laughton, le capitaine Bligh dans "Les révoltés du Bounty". le vieux hein, celui avec Clark Gable, pas la version avec Marlon Brando. Et puis c'est le réalisateur d'un unique film. Mais quel chef d'oeuvre, "La nuit du chasseur", vous voyez. Les lettres LOVE and HATE tatouées sur les phalanges du pasteur, ça vous dit quelque chose ? Et il se fait que ces deux acteurs ont tous les deux tourné une adaptation de "La tête d'un homme" en endossant le rôle du brave Jules. Et, le personnage de Radek est directement inspiré de Raskolnikov. Marrant, non? Il va sans dire que j'ai ajouté "La tête d'un homme" dans mon pense-bête et ce sera mon premier Maigret. En conclusion, je dirais que comme tout le monde je crois, on s'interroge sur la psychologie de l'assassin. Tout le monde aimerait comprendre ce qui se passe dans la tête de Ted Bundy, Guy Georges ou Francis Heaulme. Et le succès des séries et des comptes rendus d'entretiens avec des "Serials killers" le démontre bien. Et donc, qu'ai-je pense de "Lettre à mon Juge"? Une confession, une longue lettre du docteur Charles Alavoine au Juge d'instruction Ernest Coméliau qui explique les raisons ou les motivations qui l'ont poussé à assassiner sa maîtresse, Martine. Une folle passion amoureuse, dévorante vue du côté de l'homme. Cette lecture m'a fait penser a beaucoup d'égards aux "Vingt-quatre heures de la vie d'une femme" de Stefan Zweig. C'est une lecture franchement agréable, pas noeud-noeud, loin de là et s'agissant d'explorer les tréfonds de l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus sombre, de plus mystérieux et de plus noir, il sait faire Simenon. Il est inexcusable le toubib mais vivre dans la même maison avec ses deux filles nées d'un premier lit, sa mère qui choisit pour lui sa deuxième épouse, Armande, femme castratrice qu'il n'a jamais vraiment aimé et sa maîtresse, c'est peut-être un peu compliqué … Okay, ça n'excuse rien. COMPRENDRE MAIS PAS JUGER. Petite mise en garde. A celles et ceux qui espéreraient juste une critique, un avis ou un résumé du livre, passez votre chemin et n'allez pas plus loin dans la lecture de ce billet, vous y trouverez de tout sauf ça. J'avais envie d'essayer de transmettre ce qui guide mes choix de lecture et les liens que j'essaie de tisser et qui se construisent d'un livre à l'autre. Il y a bien sûr les avis, les échanges et les recommandations d'amis et connaissances mais pourquoi précisément tel livre à tel moment? Je ne crois pas vraiment au hasard et j'ai plaisir à essayer de trouver des signes, des petites passerelles qui peuvent expliquer le pourquoi du comment je suis passé de ce livre ci à celui-là. C'est parfois simplement l'envie de passer à un livre court après avoir lu un pavé. C'est un jeu un peu idiot mais j'aime ça. Ne m'en voulez pas mais j'ai envie de me laisser aller à mes divagations. Et donc, comment expliquer qu'après avoir lu "Crime et châtiment", j'en sois arrivé à "Lettre à mon Juge" de Simenon? Du plus court, du plus léger sans pour autant tomber dans la niaiserie. Ce qui est particulier, c'est que MAIGRET ne...
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  • Peluche0706 18/12/2022
    Le docteur Alavoine écrit depuis sa cellule de prison à « son » juge, le juge d'instruction Cormeliau qui a considéré que son crime n'était pas prémédité, et qu'il a eu lieu dans un moment de responsabilité atténué. le docteur Alavoine veut lui prouver au contraire que ce crime était prémédité et a été fait en pleine connaissance de cause. Et pour le lui prouver, il lui raconte ce qui l'a amené à passer à l'acte. Il s'adresse donc à lui, qu'il considère comme quelqu'un de proche, vu que ce juge a passé beaucoup de temps avec lui, un rendez-vous avec lui pendant 6 semaines. le docteur Alavoine s'est donc senti proche de lui et il fait un parallèle entre sa propre vie et celle qu'il imagine du juge. Le docteur Alavoine s'intéressé très peu à son procès car selon lui, ce qui a été rapporté et discuté ne représentait pas la réalité telle que lui la voit. Même la lecture du rapport d'accusation a été pour lui difficile à entendre dans le sens où ce n'étaient que des mensonges. Son avocat lui a reproché son attitude au cours du procès, puisqu'il était tellement détaché qu'il réagissait parfois à outrance. Je trouve qu'il s'agit d'une analyse intéressante sur ce que vivent les accusés lors d'un procès criminel. le ressenti de ce qu'a vécu l'accusé et sur ce que la justice tente de mettre à jour est toujours différent, avec des nuances plus ou moins importantes. La justice retient des éléments pour tenter de reconstituer une histoire, une version nécessairement subjective mais ne rendant pas nécessairement la réalité des choses, telles que l'ont vécu les personnes directement concernées. Il s'agit d'une belle histoire d'amour à la base que je nuancerais tout de même de certains passages (très) problématiques, en soi, et selon moi, quelle que soit la période à laquelle le roman a été écrit. J'ai été freiné par des faits complètement banalisés, qui ne le devraient pas. Malgré tout, j'ai bien aimé l'écriture de cet auteur. J'avais entendu parler de ce livre par une lecture du début du roman par Guillaume Gallienne, sur un podcast, sur une radio (je ne sais plus laquelle à vrai dire). J'avais été complètement hypnotisée par la voie de l'acteur et par ce début de roman qui promettait beaucoup. Depuis, j'ai découvert les Maigret. Je compte lire l'intégralité des Maigret avec grand plaisir. Le docteur Alavoine écrit depuis sa cellule de prison à « son » juge, le juge d'instruction Cormeliau qui a considéré que son crime n'était pas prémédité, et qu'il a eu lieu dans un moment de responsabilité atténué. le docteur Alavoine veut lui prouver au contraire que ce crime était prémédité et a été fait en pleine connaissance de cause. Et pour le lui prouver, il lui raconte ce qui l'a amené à passer à l'acte. Il s'adresse donc à lui, qu'il considère comme quelqu'un de proche, vu que ce juge a passé beaucoup de temps avec lui, un rendez-vous avec lui pendant 6 semaines. le docteur Alavoine s'est donc senti proche de lui et il fait un parallèle entre sa propre vie et celle qu'il imagine du juge. Le docteur Alavoine s'intéressé très peu à son procès car selon lui, ce qui a été rapporté et discuté ne représentait pas la réalité telle que lui la voit. Même la lecture du rapport d'accusation a été pour lui difficile à entendre dans le sens où ce n'étaient que des mensonges. Son avocat lui a reproché son attitude au cours du procès, puisqu'il était tellement détaché qu'il réagissait parfois à outrance....
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  • Baluzo 30/11/2022
    Atypique , original, audacieux, prenant, sombre mais lumineux également ....quel livre ! On retrouve la belle plume de Simenon bien sur mais c'est l'histoire qui vous mène par le bout du nez et la façon de faire monter l'intensité régulièrement d'une façon linéaire...on apprend à connaitre le personnage principal et tout devient évident....A lire!
  • annarosa 16/09/2022
    (...) Qual è l’infingimento, il sofisma, l’alibi cui la sua mente … no, la sua affettività malata ricorre per giustificare la propria furia distruttrice nei confronti della poveretta? “Liberarla” da quelli che chiama i suoi – suoi di lui – “fantasmi”, che poi sono la consapevolezza che lei ha già fatto l’amore con altri uomini, uomini raccattati nei bar che ama frequentare (e a proposito di bar, Simenon li ama perdutamente come ama tutti i territori “ai margini” e ha un suo tipico modo di rappresentarli che porta una chiara impronta esistenzialista). Perchè Alavoine scrive una lettera al suo giudice e non per esempio un diario? E perché prima dell’esito del processo? Perchè è convinto – non si sa se a torto o a ragione – , che egli capisca e anzi intuisca le sue ragioni grazie ad una superiore sensibilità rispetto a tutti gli altri, i quali hanno visto nel suo atto l’esito di una gelosia giustificata dai trascorsi della vittima, la quale in passato aveva avuto molteplici relazioni anche prostituendosi, tanto giustificabili – quella gelosia e perciò l’assassinio – che la moglie si dichiara persino pronta a riaccogliere il marito se assolto. Se Alavoine si suicida e si suicida senza nemmeno aspettare il verdetto, che potrebbe anche non essergli sfavorevole, non è solo perché la vita senza Martine non avrebbe senso, non è solo per seguirla nella morte, ma perché la sua eventuale assoluzione o la riduzione della pena, significherebbe avallare l’idea che ella fosse una donna di poco valore, indegna del suo amore. E questo lui non lo vuole. In un certo senso, è così che le dimostra il suo amore. (...) Qual è l’infingimento, il sofisma, l’alibi cui la sua mente … no, la sua affettività malata ricorre per giustificare la propria furia distruttrice nei confronti della poveretta? “Liberarla” da quelli che chiama i suoi – suoi di lui – “fantasmi”, che poi sono la consapevolezza che lei ha già fatto l’amore con altri uomini, uomini raccattati nei bar che ama frequentare (e a proposito di bar, Simenon li ama perdutamente come ama tutti i territori “ai margini” e ha un suo tipico modo di rappresentarli che porta una chiara impronta esistenzialista). Perchè Alavoine scrive una lettera al suo giudice e non per esempio un diario? E perché prima dell’esito del processo? Perchè è convinto – non si sa se a torto o a ragione – , che egli capisca e anzi intuisca le sue ragioni grazie ad una superiore sensibilità rispetto a tutti gli altri, i quali hanno visto nel suo atto l’esito di una gelosia giustificata dai trascorsi della vittima, la quale in passato aveva avuto molteplici relazioni anche prostituendosi, tanto giustificabili – quella gelosia e perciò l’assassinio – che la moglie si dichiara persino pronta a riaccogliere il marito se assolto. Se Alavoine si suicida e si suicida senza nemmeno aspettare il verdetto, che potrebbe anche non essergli...
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