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L'excursion à Tindari
Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 31/01/2013
Éditeurs :
12-21

L'excursion à Tindari

Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 31/01/2013

Une enquête du plus célèbre commissaire sicilien...

Pour un Montalbano bientôt quinquagénaire, le nouveau siècle commence avec la disparition de deux vieux habitants de Vigàta, sa ville légendaire, au cours d’une excursion à Tindari, promontoire au nord...

Pour un Montalbano bientôt quinquagénaire, le nouveau siècle commence avec la disparition de deux vieux habitants de Vigàta, sa ville légendaire, au cours d’une excursion à Tindari, promontoire au nord de la Sicile, où se dressent les restes magiques d’un temple grec. Cette nouvelle enquête le trouble plus qu'il ne voudrait.

Existe-t-il...

Pour un Montalbano bientôt quinquagénaire, le nouveau siècle commence avec la disparition de deux vieux habitants de Vigàta, sa ville légendaire, au cours d’une excursion à Tindari, promontoire au nord de la Sicile, où se dressent les restes magiques d’un temple grec. Cette nouvelle enquête le trouble plus qu'il ne voudrait.

Existe-t-il un lien avec cette autre affaire, l'exécution d'un jeune Don Juan de village ? Et qu'en est-il du mystère qu'entretient Mimi Augello, son adjoint, autour d'informations soi-disant secrètes ?

Pour découvrir la vérité, rien de tel que de longues méditations sous son olivier centenaire, de savoureux déjeuners en compagnie d'un fort joli témoin, et le soutien inconditionnel de son équipe face à la hiérarchie. Reste une question de taille : se résoudra-t-il enfin à épouser Livia, sa fiancée gênoise ?

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EAN : 9782823803204
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823803204
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB2
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • jcjc352 16/07/2021
    "je suis noir mais beau" Tindari est un lieu de pèlerinage et est appelé aussi Sanctuaire de la Vierge Noire car on peut y voir une statue de la "Vierge noire" du XII siècle Montalbano, toujours en disgrâce, est confiné aux « petites choses » le questeur ayant décidé que lui Montalbano et les policiers de Vigata étaient des maffieux Mais voilà , le concurrent pressenti pour les « grandes choses » est cloué au vécés par une bonne chiasse (pour parler comme qui vous savez) et son adjoint a reçu d’un pickpocket une balle dans la jambe( ah ils sont beaux les bellâtres haut placés!) et donc la patate chaude lui revient dans les mains : un meurtre et une double disparition de petits vieux partis en pèlerinage à Tindari Adelina est invisible mais il y a bel et bien des maquereaux dans le frigo et elle a pensé à la pappanozza, purée de pomme de terre avec oignons arrosée d’huile d’olives et de vinaigre fort et saupoudré de poivre noir a manger sous la véranda Livia est à Gênes au bout du téléphone et pas vraiment gracieuse mais lucide Et Mimi entre deux eaux va peut-être quitter Vigata pour suivre sa belle Encore que Montalbano vicieux en diable lui en présente une belle de madone et qui de surcroit habite dans les parages de Vigata et vend des ustensiles de cuisine et...et…et... Un Montalbano, cette fois-ci, plus sous le signe de la littérature que de la cuisine et du rouget de roche frits et de la pasta n'casciata Donc des références à Montale poète italien, Pirandello et les géants de la montagne pour la rêverie sous un olivier sarrasin doublement centenaire , Manzoni incontournable , Choderlos de Laclos pour l’aspect érotique de l’enquête et Montalbán avec Pepe Carvalho (le modèle de Montalbano mais à la différence que Montalbano mange, voire se goinfre, gloutonne ou dévore avec délectation , et se laisse préparer les petits plats par Adelina alors que Carvalho les cuisine lui-même et le prix Pepe Carvalho attribué à Camilleri en 2014) pour la détente et l(hommage reconnaissant de Camilleri. Une bonne enquête : un vieux parrain soi-disant contrit et larmoyant sur sa santé redoutable tueur qui n’a rien perdu de sa perversité et essaye d’entraîner Montalbano dans les embrouilles Le cadavre d'un jeunot adepte d'informatique cochonne deux petits vieux invisibles et pas gracieux du tout Des truands sur le marché de l’érotisme et des organes humains de substitution Enfin tout un tracassin pour Salvo mais avec sa bande de soudards, Catarella compris qui continue a arracher les portes du commissariat, il va faire merveille surtout dans les "petites choses" "je suis noir mais beau" Tindari est un lieu de pèlerinage et est appelé aussi Sanctuaire de la Vierge Noire car on peut y voir une statue de la "Vierge noire" du XII siècle Montalbano, toujours en disgrâce, est confiné aux « petites choses » le questeur ayant décidé que lui Montalbano et les policiers de Vigata étaient des maffieux Mais voilà , le concurrent pressenti pour les « grandes choses » est cloué au vécés par une bonne chiasse (pour parler comme qui vous savez) et son adjoint a reçu d’un pickpocket une balle dans la jambe( ah ils sont beaux les bellâtres haut placés!) et donc la patate chaude lui revient dans les mains : un meurtre et une double disparition de petits vieux partis en pèlerinage à Tindari Adelina est invisible mais il y a bel et bien des maquereaux dans le frigo et elle a pensé à la pappanozza, purée de pomme de terre avec oignons arrosée d’huile d’olives et de vinaigre fort et saupoudré de poivre noir a manger sous la véranda Livia est à Gênes au bout du téléphone et pas vraiment gracieuse...
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  • Tubabasse 08/06/2021
    Un des meilleurs de la série. Camilleri y déchaîne son humour du quotidien, avec les situations cocasses, les travers de ses subordonnés, qu’il connaît par cœur, Fazio et ses manies d’état-civil, Mimi le dragueur ou Catarella qui défonce la porte de son bureau toutes les deux heures, mais qu’il adore quand même, en bon sicilien qu’il est, et cette description de chaque personnage, qui, même quand elle est dressée en quinze mots, se voit d’une précision chirurgicale. Comme chez Vargas, on a un peu l’impression, nous, humbles lecteurs, d’être pinqués discrètement dans un coin du commissariat et de connaître tous ces intervenants comme nos proches voisins. Mine de rien, et bien qu’on soit au milieu d’une fiction, tout le monde en prend un peu pour son grade, les maffieux, bien sûr, mais aussi les bigots, les usuriers, les présentateurs de télévision complètement vendus au système, l’administration carriériste , j’en passe, et des meilleures, et alors, les casse-pieds, là, peu montrent une telle application à les décrire (il y a même un dialogue avec un vieil homme tellement pénible, qu’on a envie d’abréger immédiatement les débats), bon, tout ça sous l’œil à la fois bon enfant et à la fois désabusé de notre commissaire préféré, le tout entre deux engueulades avec sa Livia chérie (bien que génoise). D’une intelligence lucide et obstinée, Salvo n’a quand même pas son pareil pour jouer au con. Avec les témoins, les vieux parrains ou encore le questeur, un poème à lui tout seul. En fond, toujours, bien entendu, il y a les femmes. On les désirerait presque autant quand elles sont jolies qu’on serait dégoûté des laides, sans les connaître en rien, les pauvres, juste à la façon dont le prosateur nous les montre. Il arriverait en peu de temps à en dégoûter le meilleur. Bref, c’est l’Italie, c’est Camilleri, qui nous a quitté en 2019, à un âge avancé, c’est vrai. Mais ce n’est que sa chair qui est partie. Son esprit restera à jamais. Et quel esprit ! Un des meilleurs de la série. Camilleri y déchaîne son humour du quotidien, avec les situations cocasses, les travers de ses subordonnés, qu’il connaît par cœur, Fazio et ses manies d’état-civil, Mimi le dragueur ou Catarella qui défonce la porte de son bureau toutes les deux heures, mais qu’il adore quand même, en bon sicilien qu’il est, et cette description de chaque personnage, qui, même quand elle est dressée en quinze mots, se voit d’une précision chirurgicale. Comme chez Vargas, on a un peu l’impression, nous, humbles lecteurs, d’être pinqués discrètement dans un coin du commissariat et de connaître tous ces intervenants comme nos proches voisins. Mine de rien, et bien qu’on soit au milieu d’une fiction, tout le monde en prend un peu pour son grade, les maffieux, bien sûr, mais aussi les bigots, les usuriers, les présentateurs de télévision complètement vendus au système, l’administration carriériste , j’en passe, et des meilleures, et alors, les casse-pieds, là, peu montrent une telle application à les décrire (il y a même un dialogue avec un vieil homme tellement pénible, qu’on a envie d’abréger immédiatement les débats), bon, tout ça sous l’œil à la fois bon enfant et à la fois désabusé...
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  • bfauriaux 22/05/2020
    Tres bon policier du maitre italien qui nous régale une fois de plus ! A savourer sans modération !
  • lehibook 04/08/2019
    Un pornographe abattu , un couple de petits vieux exécutés main dans la main , voilà des crimes dont le lien et la résolution va mettre à l’épreuve la sagacité de Montalbano . Où Catarella (pirsonnellement en pirsonne mais oui !) se révèle geek et Mimi Augello , Dom Juan invétéré , a des tentations maritales et où bien entendu plane l’ombre de la mafia et de ses sombres secrets . Du rire, de l’émotion et le bonheur de la langue !
  • JeanLibremont 01/08/2019
    Paru en 2000, ce polar de Camilleri me semble etre la dénonciation, sous forme romancée et tres pudique (amateurs de gore s'abstenir), du trafic d'organes commis par le crime organisé, au détriment en particulier des proies faciles que sont les réfugiés adultes ou meme enfants parqués dans les camps dont ils "s'échappent" régulierement pour disparaitre a jamais. Trafic, nous souffle le roman, organisé a l'échelle de la planete tant pour la récolte des organes que le recrutement des malades richissimes ou politiquement influents qui pourront par la suite faire l'objet de chantage pour avoir accepté un organe volé. On le sait depuis les enquetes menées par le procureur général suisse Dick Marty sur les trafics d'organes lors de la guerre du Kosovo, la combinaison entre la demande de la part de malades fortunés, les mafias liées entre elles de par le monde au moyen du "darknet" et bien-sur des chirurgiens ainsi que des politiciens locaux pas bégueules ne manque pas d'aboutir a ce genre de trafic suffisamment monstrueux pour que son existence fasse l'objet d'un consensus général de silence. Littérairement, c'est un excellent polar comme tous ceux de Camilleri avec ce si sympathique et atypique commissaire Montalbano. A ce propos, J'ai lu dans une critique de journaliste spécialisé que Montalbano était un "anti-héros", opinion peut-etre suggéré par la pauvreté relative de la vie sexuelle du commissaire ou son coté résolument non-violent. Un anti-héros c'est un loser, un personnage familier avec l'échec dans certains aspects importants de sa vie, un individu frustré ou alors masochiste. Sans meme parler de son caractere pacifique, le fait que Montalbano ait une vie sexuelle le plus souvent en veilleuse n'est pas une situation d'échec car il a fait le choix d'etre fidele a une fiancée qui vit dans une autre ville et qu'il ne retrouve pas tous les jours. Donc, désolé pour les amateurs de personnages ratés que l'on qualifie volontiers d'anti-héros mais Montalbano se trouve relativement bien dans ses baskets et n'est donc pas plus "anti-héros" qu'un Maigret ou un Colombo.Paru en 2000, ce polar de Camilleri me semble etre la dénonciation, sous forme romancée et tres pudique (amateurs de gore s'abstenir), du trafic d'organes commis par le crime organisé, au détriment en particulier des proies faciles que sont les réfugiés adultes ou meme enfants parqués dans les camps dont ils "s'échappent" régulierement pour disparaitre a jamais. Trafic, nous souffle le roman, organisé a l'échelle de la planete tant pour la récolte des organes que le recrutement des malades richissimes ou politiquement influents qui pourront par la suite faire l'objet de chantage pour avoir accepté un organe volé. On le sait depuis les enquetes menées par le procureur général suisse Dick Marty sur les trafics d'organes lors de la guerre du Kosovo, la combinaison entre la demande de la part de malades fortunés, les mafias liées entre elles de par le monde au moyen du "darknet" et bien-sur des chirurgiens ainsi que des politiciens locaux pas bégueules ne manque pas d'aboutir a ce genre de trafic suffisamment monstrueux pour que son existence fasse l'objet d'un consensus général de silence. Littérairement, c'est un excellent polar comme tous ceux de Camilleri avec ce si sympathique et atypique commissaire Montalbano. A ce propos, J'ai...
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