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L'héritage Boleyn
Celine Veron Voetelink (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 01/02/2013
Éditeurs :
L'Archipel

L'héritage Boleyn

Celine Veron Voetelink (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 01/02/2013
En 1536, Henry VIII, roi d'Angleterre, a fait décapiter pour adultère, inceste et haute trahison sa deuxième épouse, Anne Boleyn, qui n'a pas enfanté l'héritier mâle qu'il espérait.Quelques jours plus... En 1536, Henry VIII, roi d'Angleterre, a fait décapiter pour adultère, inceste et haute trahison sa deuxième épouse, Anne Boleyn, qui n'a pas enfanté l'héritier mâle qu'il espérait.Quelques jours plus tard, il épouse Jane Seymour, qui lui donnera un fils - le futur Edouard VI - mais décèdera en couches... En 1536, Henry VIII, roi d'Angleterre, a fait décapiter pour adultère, inceste et haute trahison sa deuxième épouse, Anne Boleyn, qui n'a pas enfanté l'héritier mâle qu'il espérait.Quelques jours plus tard, il épouse Jane Seymour, qui lui donnera un fils - le futur Edouard VI - mais décèdera en couches en 1537. Moins de trois ans plus tard, il se marie avec Anne de Clèves dans le cadre d'une alliance avec les Protestants. Mais, incapable de consommer son mariage, il décide d'en obtenir l'annulation pour convoler avec la très jeune Katherine Howard, nièce de l'ambitieux Thomas, duc de Norfolk.Malgré la vigilance de Jane Boleyn, sa dame d'atour alliée du duc, la nouvelle reine noue une liaison avec Thomas Culpepper. En 1542, cette infidélité causera sa perte. Elle aussi subira le sort réservé à sa cousine Anne six ans plus tôt..Trois épouses, trois destins tragiques...Avec brio, Philippa Gregory nous plonge dans les arcanes de la cour, où machinations, intrigues et complots pour accéder ou conserver le pouvoir se succèdent, et dont les femmes sont souvent les premières victimes...
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EAN : 9782352873549
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 508
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782352873549
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 508
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • wbarnood 29/03/2024
    Après avoir lu "Lady Elisabeth" écrit par Alison Weir, j'ai voulu en savoir un peu plus sur les quatrième et cinquième épouses de cet immonde Henri VIII. J'avais le livre idéal dans ma monstrueuse pile à lire puisque ce roman alterne justement les voix d'Anne de Clèves et Catherine Howard, ainsi que celle de Jane Boleyn, épouse de George Boleyn et belle-sœur d'Anne Boleyn. J'avais commencé ce livre il y a un certain temps, mais je l'avais reposé au bout de quelques chapitres, je n'étais pas encore prête à replonger dans cette cour où un roi dément a semé la terreur et la mort pendant trop d'années. Je l'ai donc repris depuis le début et, bien que certains passages m'aient fait froid dans le dos et m'aient révoltée, comme dans "La Malédiction du Roi" de la même autrice, j'ai trouvé passionnant de découvrir ces trois femmes. Jane Boleyn ne m'intéressait pas trop, il faut dire que son témoignage ayant contribué à mener son mari et sa belle-sœur à l'échafaud n'était pas très engageant. Jalouse et vindicative ou manipulée par son oncle ? Probablement un peu des deux, elle contribua également à mener la reine Catherine Howard à sa perte avant de la suivre sur l'échafaud. Parlons en de la si jeune Catherine, une petite-fille dans un corps de femme, une gamine frivole et primesautière, plutôt sotte, qui voulait juste jouir des plaisirs de la vie, jetée en pâture à un immonde vieux porc puant. Son tragique destin m'a fait beaucoup de peine. Seule Anne de Clèves en a réchappé, bien qu'elle dû renoncer à une vie de femme et de mère, et qu'elle dû vivre dans la terreur pendant des années jusqu'au décès du roi qui fut une délivrance pour nombre de ses sujets. Une femme forte et attachante qui avait l'étoffe d'une grande reine. Après cette lecture, ces femmes existent dans notre esprit un peu comme si on les avait connues avec leur humanité, leurs imperfections, et on ne peut que déplorer leur triste destinée. Pauvre petite Cathy Howard dont la fin m'a au moins autant bouleversée que celle de Margaret Pole. Après avoir lu "Lady Elisabeth" écrit par Alison Weir, j'ai voulu en savoir un peu plus sur les quatrième et cinquième épouses de cet immonde Henri VIII. J'avais le livre idéal dans ma monstrueuse pile à lire puisque ce roman alterne justement les voix d'Anne de Clèves et Catherine Howard, ainsi que celle de Jane Boleyn, épouse de George Boleyn et belle-sœur d'Anne Boleyn. J'avais commencé ce livre il y a un certain temps, mais je l'avais reposé au bout de quelques chapitres, je n'étais pas encore prête à replonger dans cette cour où un roi dément a semé la terreur et la mort pendant trop d'années. Je l'ai donc repris depuis le début et, bien que certains passages m'aient fait froid dans le dos et m'aient révoltée, comme dans "La Malédiction du Roi" de la même autrice, j'ai trouvé passionnant de découvrir ces trois femmes. Jane Boleyn ne m'intéressait pas trop, il faut dire que son témoignage ayant contribué à mener son mari et sa belle-sœur à l'échafaud n'était pas très engageant. Jalouse et vindicative ou manipulée par son oncle ? Probablement un peu des deux, elle contribua également à mener la reine Catherine Howard à sa perte avant de la suivre...
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  • leslecturesde_yo 22/09/2023
    Trois femmes, trois destins. Elles ont ceci en commun, être les marionnettes d'hommes avides de pouvoir et c'est là tout leur malheur. Nous sommes en 1539, juste après la mort de la 3ème reine, Jane Seymour. Jane Boleyn, tout d'abord, ex belle-sœur de Marie et d'Anne Boleyn, un temps exilée de la cour, elle y revient afin de servir la nouvelle reine. Mais derrière, son oncle par alliance, le duc de Norfolk, tire les ficelles ! Ensuite, Anne de Clèves, heureuse de devenir reine d'Angleterre, elle fuit un frère cruel pour trouver un époux bien plus cruel encore. Parlant peu et mal l'anglais, saura-t-elle survivre dans ce monde impitoyable qu'est la cour d'Angleterre ? Enfin, Katherine Howard, jeune écervelée, qui sert la reine mais ne pense qu'à la frivolité, là aussi en coulisse, les marionnettistes sont à l'œuvre. Son destin est-il tout tracé ? Philippa Gregory a énormément écrit sur les Tudor, j'en ai lu plusieurs, et l'on peut se fier à la véracité qu'il y a dans ses romans. Cependant, elle prend la liberté de "broder" afin de toujours servir l'histoire. Elle le dit elle-même, c'est un récit fictif d'événements réels ! Dans ce roman, on passe de l'une à l'autre des trois femmes avec une grande facilité, l'écriture est fluide et ponctuée de dialogues. Évidemment, on ne peut pas ne pas parler d'Henri VIII, que l'on trouve ici à un âge "avancé" (48 ans), gros, suant et puant, une blessure à la jambe le fait souffrir atrocement (bien fait ! 😂) et laisse derrière lui une odeur purulente. Un homme à l'humeur instable, colérique et effrayant. On l'adore !Trois femmes, trois destins. Elles ont ceci en commun, être les marionnettes d'hommes avides de pouvoir et c'est là tout leur malheur. Nous sommes en 1539, juste après la mort de la 3ème reine, Jane Seymour. Jane Boleyn, tout d'abord, ex belle-sœur de Marie et d'Anne Boleyn, un temps exilée de la cour, elle y revient afin de servir la nouvelle reine. Mais derrière, son oncle par alliance, le duc de Norfolk, tire les ficelles ! Ensuite, Anne de Clèves, heureuse de devenir reine d'Angleterre, elle fuit un frère cruel pour trouver un époux bien plus cruel encore. Parlant peu et mal l'anglais, saura-t-elle survivre dans ce monde impitoyable qu'est la cour d'Angleterre ? Enfin, Katherine Howard, jeune écervelée, qui sert la reine mais ne pense qu'à la frivolité, là aussi en coulisse, les marionnettistes sont à l'œuvre. Son destin est-il tout tracé ? Philippa Gregory a énormément écrit sur les Tudor, j'en ai lu plusieurs, et l'on peut se fier à la véracité qu'il y a dans ses romans. Cependant, elle prend la liberté de "broder" afin de toujours servir l'histoire. Elle le dit elle-même, c'est un récit fictif d'événements réels ! Dans ce roman, on passe de l'une à l'autre des trois femmes...
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  • Phoenicia 18/06/2023
    Encore une immersion satisfaisante à la cour d'Henri VIII, ce tyran que les différents récits de Philippa Gregory esquisse non sans effroi. Comme elle a pu le faire dans d'autres récits, ici on retrouve le destin de trois femmes, offrant ainsi plusieurs points de vue. La Première est Anne de Clèves. D'elle, je connaissais peu de choses, si ce n'est que le roi a annulé leur union en raison de sa laideur, malgré un tableau appréciateur de Holbein et qu'elle s'en tira au final " à beau compte" en obtenant le statut douteux de "soeur du roi". Philippa Gregory, pour chacune de ses protagonistes, met en avant certains événements saillants afin de nous faire comprendre toute la personnalité de ses héroïnes. Des trois, c'est indubitablement celle à laquelle on s'attache. L'autrice imagine une enfance très austère, avec un frère malsain au possible. Voici cette jeune femme, étrangère, élevée dans la stricte tradition luthérienne et n'ayant en aucun cas les armes et les codes pour survivre à la cour anglaise. On compatit forcément pour son sort et d'elle on garde, à travers ce récit, l'image d'une jeune femme douce, honorable, agissant avec grâce et surtout avide d'une liberté que seul son statut de "soeur du roi" peut lui apporter, non sans gros sacrifices... Les deux autres protagonistes sont, elles, de véritables marionnettes. Si la barrière de la langue et son instruction peut rendre Anne un peu crédule de prime abord, les deux autres le sont d'autant plus. Que dire de Catherine Howard, cette toute jeune fille qui a eu la malchance d'attirer le regard du roi par coquetterie? L'autrice a voulu s'éloigner de cette image de jeune fille sotte. Du moins, c'est ce qu'elle prétend. J'avoue que c'est pourtant ce qui ressors. On a une jeune fille qui manque cruellement d'éducation, superficielle, vaniteuse, cupide. Les entrées de chapitre où elle énumère ce qu'elle possède dresse à eux seuls son portrait. Pour autant, on ne peut que avoir la nausée face à certains éléments de sa vie. Celle d'une jeune fille qui, trop tôt, a été la proie d'hommes libidineux, et ce dès ses 11 ans. L'époque où le consentement des femmes n'était pas envisagé, englobant ainsi toute jeune fille à peu près formée et jolie. Que dire des gestes obscènes et publics que lui fait subir le roi? On a une jeune fille qui obéit. Elle obéit au roi en tout point. Elle obéit à son oncle qui la manœuvre pour ses propres intérêts. Elle obéit à Jane Boleyn. Ce qui me fait arriver au troisième personnage. Si on peut s'attacher à ce personnage, on ne peut manquer de le trouver intéressant. L'autrice a pris le parti risqué de lui donner une voix à cette femme qui, par sa jalousie, a mené son mari et sa belle-soeur au bourreau. On a ici une femme qui s'aveugle. Une femme qui a une once de moralité mais qui est piétiné tant et plus pour se sauver. Qui exécute, dans sa crédulité, les plans de Thomas Howard, en pensant obtenir quelque chose en retour. Dupe jusqu'au bout, on assiste donc à son côté calculateur mais plus encore au fait qu'elle transige de plus en plus avec sa morale. Des trois, c'est indubitablement le profil psychologique qui me semble le plus travaillé, là où Catherine apparaît comme caricaturale et Anne destinée à susciter l'empathie et l'appréciation du lecteur. En toile de fond, on a encore et toujours la personnalité d'Henri VIII, ce tyran aux humeurs changeantes, qui s'aveugle sur son apparence et effraye tout à chacun par ses avis inconstants. C'est la psychologie des personnages, si travaillée, qui font que j'apprécie tant les romans de Philippa Gregory. Par cela, il nous offre une porte sur ce XVI e siècle qui nous glace d'effroi et nous fait compatir pour des femmes qui n'ont que peu la maîtrise de leur destinée...Encore une immersion satisfaisante à la cour d'Henri VIII, ce tyran que les différents récits de Philippa Gregory esquisse non sans effroi. Comme elle a pu le faire dans d'autres récits, ici on retrouve le destin de trois femmes, offrant ainsi plusieurs points de vue. La Première est Anne de Clèves. D'elle, je connaissais peu de choses, si ce n'est que le roi a annulé leur union en raison de sa laideur, malgré un tableau appréciateur de Holbein et qu'elle s'en tira au final " à beau compte" en obtenant le statut douteux de "soeur du roi". Philippa Gregory, pour chacune de ses protagonistes, met en avant certains événements saillants afin de nous faire comprendre toute la personnalité de ses héroïnes. Des trois, c'est indubitablement celle à laquelle on s'attache. L'autrice imagine une enfance très austère, avec un frère malsain au possible. Voici cette jeune femme, étrangère, élevée dans la stricte tradition luthérienne et n'ayant en aucun cas les armes et les codes pour survivre à la cour anglaise. On compatit forcément pour son sort et d'elle on garde, à travers ce récit, l'image d'une jeune femme douce, honorable, agissant avec grâce et surtout avide d'une liberté que seul son...
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  • Bluedove 19/06/2022
    Heureusement que nous ne connaissons pas d’adaptations cinématographiques car je crois que j’aurais moins apprécié l’ouvrage. Je ne dis pas que l’adaptation de « Deux sœurs pour un roi » ne soit pas bien faite mais cela a influencé mon jugement du roman. J’avoue avoir apprécié ce livre car il y avait davantage de détails appréciables mais le film m’a donné, en toute logique, une impression de déjà-vu. En lisant ce deuxième tome, je ne pouvais que penser à la série Tudor que j’ai plus que grandement apprécié. Je me suis attachée à la Reine Anne de Clèves. J’aurais aimé que Marie Carey ait un rôle un peu plus présent. Malgré que cela reste une fiction, comme les Tudors (car il y a quelques anachronismes assez dérangeants), je trouve que c’est un très bon complément aux romans historiques documentés car cela apporte un peu de légèreté à l’histoire.
  • nad_lecture 07/12/2021
    Merci @mybookvision pour ce livre que tu nous fais partager avec #mbvbookclub car vraiment ce roi Henri VIII m'avait beaucoup trop manqué. Encore plus dans cette image qui s'éloigne de plus en plus du prince charmant. Avec sa plaie purulente à la jambe. Ses bisous visqueux, ses mains baladeuses. Les femmes et les hommes aussi d'ailleurs étaient encore moins bien traitées que du bétail et au fur et à mesure que je lis je me dis, je suis heureuse de vivre aujourd'hui dans mon pays où mon oncle ne me force pas à devenir la favorite du roi à 13 ou 14 ans. Très bon choix qui va dans continuité du livre que nous avions lu précédemment La malédiction du Roi. En tous les cas j'aime toujours cette période de trahisons, de manigances. Le matin tu te lèves et tu te dis aurais-je encore ma tête ce soir ? Tout dépendras de l'envie du jour du roi!
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