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L'Homme qui marche
Date de parution : 18/02/2021
Éditeurs :
Editions Héloïse D'Ormesson

L'Homme qui marche

Date de parution : 18/02/2021
Le Piéton de Paris
Marié, deux enfants, Théophraste Sentiero est un homme sans histoires. Aussi prête-t-il peu d'attention à ces tremblements inopinés qui agitent ses jambes et ses pieds en ce soir de Noël.... Marié, deux enfants, Théophraste Sentiero est un homme sans histoires. Aussi prête-t-il peu d'attention à ces tremblements inopinés qui agitent ses jambes et ses pieds en ce soir de Noël. Hélas, ces trépidations s'accentuent et la médecine n'y entend rien. C'est un vieux libraire cacochyme et presque aveugle qui va... Marié, deux enfants, Théophraste Sentiero est un homme sans histoires. Aussi prête-t-il peu d'attention à ces tremblements inopinés qui agitent ses jambes et ses pieds en ce soir de Noël. Hélas, ces trépidations s'accentuent et la médecine n'y entend rien. C'est un vieux libraire cacochyme et presque aveugle qui va le tirer d'affaire en lui proposant un remède pour le moins surprenant : écouter ses pieds puisqu'ils sont si pressés d'aller quelque part.
Au fil de ses déambulations, Théo croise une faune interlope qui compte ses piliers de comptoir et ses prostituées philosophes. Mais il y a surtout cette sylphide qui lui entrouvre les portes d'un horizon insoupçonné...

Peuplé par des personnages truculents qui surgissent telles les figures du tarot sur le chemin de Théo, L'Homme qui marche est une berceuse enchanteresse. Ode à un Paris évanoui, il envoûtera ceux qui accepteront de s'en remettre à la chance, ou au destin.
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EAN : 9782350877570
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782350877570
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ils en parlent

L'Homme qui marche, le nouveau roman de Jean-Paul Delfino, nous entraîne à la suite de Théophraste Sentiero, un homme sans histoire, dans les rues d'un Paris fabuleux où tout peut arriver...
Encore un petit miracle réalisé par ce conteur merveilleux.
Michèle / Librairie les Pêcheurs d'étoiles

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • AudreySabardeil 10/04/2024
    C'est Noël en famille, et comme toujours, Theophraste Senpiero fête aussi son anniversaire. Il faut bien... Il ne peut pas croire que Mme Jouve, tenancière du Gay-Lussac, prenne sa retraite et vende son cher bistro parisien. Décidément, la vie n'est pas très folichonne pour lui. Et allez savoir pourquoi, un étrange tic l'a pris, et ne veut pas le lâcher ... Cet étrange phénomène va mener cet homme banal à sortir des sentiers battus et à faire des rencontres inattendues. De quoi changer sa vie, à quelques pas de chez lui ... Le roman est une fable étonnante, rafraîchissante mais aussi, l'air de pas y toucher, une vraie réflexion sur ce dont nous faisons nos priorités et nos essentiels. En filigrane aussi, et ce n'est pas la première fois chez Delfino, un métalangage tout à fait intéressant sur l'écriture, le livre et ici surtout, la lecture. Enfin, l'homme qui marche nous prend par la main et nous guide à travers un Paris du peuple, à hauteur d'homme. Et ça, déjà, c'est un voyage ! Et puis, décidément, quelle plume admirable ! J'adore ! --------------------------- Je n'écris pas que des chroniques ! Découvrez mes deux romans : "Le soleil ne brille pas pour tout le monde" "Les Naufragés" (Coup de #x2764 du jury 2023 du Carré des Ecrivains de Marseille) C'est Noël en famille, et comme toujours, Theophraste Senpiero fête aussi son anniversaire. Il faut bien... Il ne peut pas croire que Mme Jouve, tenancière du Gay-Lussac, prenne sa retraite et vende son cher bistro parisien. Décidément, la vie n'est pas très folichonne pour lui. Et allez savoir pourquoi, un étrange tic l'a pris, et ne veut pas le lâcher ... Cet étrange phénomène va mener cet homme banal à sortir des sentiers battus et à faire des rencontres inattendues. De quoi changer sa vie, à quelques pas de chez lui ... Le roman est une fable étonnante, rafraîchissante mais aussi, l'air de pas y toucher, une vraie réflexion sur ce dont nous faisons nos priorités et nos essentiels. En filigrane aussi, et ce n'est pas la première fois chez Delfino, un métalangage tout à fait intéressant sur l'écriture, le livre et ici surtout, la lecture. Enfin, l'homme qui marche nous prend par la main et nous guide à travers un Paris du peuple, à hauteur d'homme. Et ça, déjà, c'est un voyage ! Et puis, décidément, quelle plume admirable ! J'adore ! --------------------------- Je n'écris pas que des chroniques ! Découvrez mes deux romans : "Le soleil ne brille pas pour tout le monde" "Les...
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  • marialyze 27/11/2021
    Ah, on peut en faire des choses avec ses pieds ! Découvrir les personnes de son quotidien, les quartiers de sa ville ( univers que je n'ai pas coutume d'explorer ) , croiser et rechercher une inconnue , aller au travail... C'est ce qui va arriver à Théo dont les jambes fonctionnent malgré lui. En une année et grâce aux discussions avec un vieux libraire sa vie tranquille va changer du tout au tout et il pourra lui raconter le monde non pas " tel qu'il est mais tel que vous, vous le voyez."
  • LPV 07/10/2021
    Sur le bandeau, parce que ses livres ont maintenant droit à un bandeau, on peut lire "Conteur de petits miracles". Ça en jette et ça pose son homme. Et pire, ou ici le meilleur, c'est qu'en plus c'est vrai. Jean-Paul Delfino est un conteur de petits miracles, et celui-ci est magistral dans sa simplicité. Son invisibilité, son silence de naufragé perdu dans la masse des best-sellers bookstagrammés. Bon, c'est presque tant mieux. On se garde sous cape ce petit bijou rien que pour nous et on se le passe en connaisseur. Pour rentrer dans L'homme qui marche, il suffit de faire le premier pas. Il suffit. C'est le plus terrifiant. L'acceptation, la décision. La détermination. Quand notre corps nous connaît mieux que nous-mêmes. Mon corps m'a lâchée. Il m'a parlé et je n'ai pas voulu écouter, alors maintenant, il n'en fait qu'à sa tête. C'est peut-être pour ça que j'y ai été si sensible, aussi. Parce que je lui envie la marche. Celle qui va quelque part, ou peut-être pas. Quel que soit le style, mal assuré ou bringuebalant, il ne faut peut-être pas nécessairement aller quelque part pour avancer. Mais non, ce n'est pas ça. Ce qui marche dans ce livre, ce n'est pas que les pieds de Théo, c'est la poésie insensée dans la prose de Delfino même et surtout quand il décrit la déchéance et la morosité, la franchise du ton et des scènes, la musique du trop-connu, du petit rien, du quotidien. On ne lâche pas ce livre. Quand on est parti, on est parti. Et peu importe pour où tant qu'on est du voyage. tant qu'on est le voyage. Les livres de Jean-Paul sont un voyage. Pas forcément tous au Brésil. Un voyage, une errance. Se perdre pour mieux se retrouver.Sur le bandeau, parce que ses livres ont maintenant droit à un bandeau, on peut lire "Conteur de petits miracles". Ça en jette et ça pose son homme. Et pire, ou ici le meilleur, c'est qu'en plus c'est vrai. Jean-Paul Delfino est un conteur de petits miracles, et celui-ci est magistral dans sa simplicité. Son invisibilité, son silence de naufragé perdu dans la masse des best-sellers bookstagrammés. Bon, c'est presque tant mieux. On se garde sous cape ce petit bijou rien que pour nous et on se le passe en connaisseur. Pour rentrer dans L'homme qui marche, il suffit de faire le premier pas. Il suffit. C'est le plus terrifiant. L'acceptation, la décision. La détermination. Quand notre corps nous connaît mieux que nous-mêmes. Mon corps m'a lâchée. Il m'a parlé et je n'ai pas voulu écouter, alors maintenant, il n'en fait qu'à sa tête. C'est peut-être pour ça que j'y ai été si sensible, aussi. Parce que je lui envie la marche. Celle qui va quelque part, ou peut-être pas. Quel que soit le style, mal assuré ou bringuebalant, il ne faut peut-être pas nécessairement aller quelque part pour avancer. Mais non, ce n'est pas ça. Ce qui marche dans...
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  • Giraud_mm 16/07/2021
    Dominé par son épouse, ignoré par ses enfants, méprisé par sa belle-famille, effrayé par sa concierge, Théophraste Sentiero est un petit employé municipal du service du nettoiement de Paris. Son seul plaisir ? Aller boire un café avec les habitués du Gay-Lu, un bistrot tenu par Mme Jouve, qui sera hélas bientôt vendu... Tout se dérègle quand les pieds de Théo se donnent une vie autonome, que seule la marche peut arrêter. Il croise alors une inconnue sur le Pont-Neuf, dont il tombe immédiatement amoureux, puis rencontre un vieux libraire presque aveugle qui l'embauche. Sa petite vie bien réglée bascule alors... Jean-Paul Delfino livre ici un roman très différent des deux que j'ai lus précédemment. Finis les nuits romancées de Blaise Cendras et Eric Satie (Les pêcheurs d'étoiles) ou les derniers jours d'Émile Zola (Assassins !). Dans L'Homme qui marche, il met en scène un obscur, un sans grade, un sans ambition, mais il le conduit jusqu'à la réalisation de lui-même. Le second personnage principal, Anselme Guilledoux, vieux libraire quasi aveugle, y est excellent dans le rôle du vieux sage, de l'éveilleur de conscience, bien secondé il est vrai par quelques autres... On l'a compris, derrières les mésaventures de Théo et ces personnages très caricaturés (cela commence par le choix des noms !), se cache une réflexion sur la quête du sens de la vie. Encore une différence avec les deux précédents romans... On retrouve ici l'écriture précise et ciselée de l'auteur ; il y ajoute une richesse de vocabulaire qui fait partie intégrante de la narration, et une forme de truculence du discours, sans doute plus proche de Giono que de Pagnol, mais où l'on sent bien les racines provençales. Enfin, même si L'Homme qui marche se situe plus dans le temps long (on y compte en semaines et en mois, pas seulement en heures et en jours comme dans Les pêcheurs d'étoiles ou Assassins !), on y retrouve une sorte d'éloge de la lenteur : prenons le temps du détail et de la description ; donnons du temps au temps pour faire murir la réflexion avant de passer à l'action... Le résultat est un roman surprenant, que l'on prend beaucoup de plaisir à lire.Dominé par son épouse, ignoré par ses enfants, méprisé par sa belle-famille, effrayé par sa concierge, Théophraste Sentiero est un petit employé municipal du service du nettoiement de Paris. Son seul plaisir ? Aller boire un café avec les habitués du Gay-Lu, un bistrot tenu par Mme Jouve, qui sera hélas bientôt vendu... Tout se dérègle quand les pieds de Théo se donnent une vie autonome, que seule la marche peut arrêter. Il croise alors une inconnue sur le Pont-Neuf, dont il tombe immédiatement amoureux, puis rencontre un vieux libraire presque aveugle qui l'embauche. Sa petite vie bien réglée bascule alors... Jean-Paul Delfino livre ici un roman très différent des deux que j'ai lus précédemment. Finis les nuits romancées de Blaise Cendras et Eric Satie (Les pêcheurs d'étoiles) ou les derniers jours d'Émile Zola (Assassins !). Dans L'Homme qui marche, il met en scène un obscur, un sans grade, un sans ambition, mais il le conduit jusqu'à la réalisation de lui-même. Le second personnage principal, Anselme Guilledoux, vieux libraire quasi aveugle, y est excellent dans le rôle du vieux sage, de l'éveilleur de conscience, bien secondé il est vrai par quelques autres... On l'a compris, derrières les mésaventures de Théo et ces personnages...
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  • Tostaky0 12/06/2021
    Comment prendre son pied ? En lisant L'homme qui marche de Jean-Paul Delfino. J'aime marcher, j'aime la randonnée, ça fait un bien fou. La lecture, aussi. Théophraste Sentiéro (tu parles d'un nom de personnage contemporain), lui, n'aime pas lire. Par contre la marche, c'est son dada. Enfin, je vous explique. En fait il y est un peu forcé. Ses pieds ne tiennent pas en place. Agaçants fortement ceux qui partagent sa vie ou qui le côtoient. Au hasard de ses déplacements parisiens, il en fait des rencontres, dont une qui va changer sa vie. Un vieux libraire, aveugle, ou presque, ou pas, Théo (on va abréger, c'est plus simple, d'ailleurs l'auteur lui-même se le permet, comme quoi il n'a pas dû réfléchir beaucoup avant de lui donner ce prénom) en doute, lui conseille d'écouter ses pieds et... de les suivre. (Évidemment, c'est mieux, je nous imagine mal allant, tête et corps d'un côté et pieds de l'autre). Delfino nous embarque donc sur les pas de ce personnage. Avec lui, c'est toute une galerie hétéroclite que nous allons découvrir. Ses proches, femme et belle-mère notamment, la concierge, mère Tapedur et ses pigeons, des piliers de comptoir aux surnoms évocateurs, et d'autres encore tous aussi loufoques, marginaux et originaux. Ce livre c'est un régal, on prend plaisir à ces rencontres. J'ai aimé L'homme qui marche, pour la plume de l'écrivain, pour ses mots choisis, pour l'humour, pour tous ces protagonistes auxquels je me suis attaché. Un roman jubilatoire. Allez, mettez vos meilleures chaussures, laissez vos pieds vous emmener chez votre libraire préféré et offrez-vous ces quelques pages de bonheur... Comment prendre son pied ? En lisant L'homme qui marche de Jean-Paul Delfino. J'aime marcher, j'aime la randonnée, ça fait un bien fou. La lecture, aussi. Théophraste Sentiéro (tu parles d'un nom de personnage contemporain), lui, n'aime pas lire. Par contre la marche, c'est son dada. Enfin, je vous explique. En fait il y est un peu forcé. Ses pieds ne tiennent pas en place. Agaçants fortement ceux qui partagent sa vie ou qui le côtoient. Au hasard de ses déplacements parisiens, il en fait des rencontres, dont une qui va changer sa vie. Un vieux libraire, aveugle, ou presque, ou pas, Théo (on va abréger, c'est plus simple, d'ailleurs l'auteur lui-même se le permet, comme quoi il n'a pas dû réfléchir beaucoup avant de lui donner ce prénom) en doute, lui conseille d'écouter ses pieds et... de les suivre. (Évidemment, c'est mieux, je nous imagine mal allant, tête et corps d'un côté et pieds de l'autre). Delfino nous embarque donc sur les pas de ce personnage. Avec lui, c'est toute une galerie hétéroclite que nous allons découvrir. Ses proches, femme et belle-mère notamment, la concierge, mère Tapedur et ses pigeons, des piliers de comptoir aux surnoms évocateurs, et d'autres encore tous aussi loufoques, marginaux et originaux. Ce livre c'est un régal,...
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