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L'Homme qui voulait vivre sa vie
Bernard Cohen (traduit par)
Date de parution : 23/08/2010
Éditeurs :
Belfond
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L'Homme qui voulait vivre sa vie

Bernard Cohen (traduit par)
Date de parution : 23/08/2010

De New York aux splendides paysages du Montana, une histoire d'amour et d'émotion, et un héros extraordinairement attachant, prêt à payer le prix pour vivre sa vie.

Aux États-Unis, de...

De New York aux splendides paysages du Montana, une histoire d'amour et d'émotion, et un héros extraordinairement attachant, prêt à payer le prix pour vivre sa vie.

Aux États-Unis, de nos jours.

Ben Bradford a réussi. La trentaine, avocat compétent, un beau poste dans l’un des plus grands cabinets de Wall...

De New York aux splendides paysages du Montana, une histoire d'amour et d'émotion, et un héros extraordinairement attachant, prêt à payer le prix pour vivre sa vie.

Aux États-Unis, de nos jours.

Ben Bradford a réussi. La trentaine, avocat compétent, un beau poste dans l’un des plus grands cabinets de Wall Street, un salaire à l’avenant, une femme et deux fils tout droit sortis d’un catalogue Gap. Sauf que cette vie, Ben la déteste. Il a toujours rêvé d’être photographe, et son couple part à vau-l’eau.

Quand il découvre que sa femme a une liaison avec un mauvais photographe, il est dévasté. Il va chez l’amant, leur confrontation dégénère et Ben le tue par accident.

Que faire ? Se rendre ou fuir ? Il n’hésite pas : s’arrangeant pour que le corps ne soit pas identifiable, il fait croire à sa propre mort, puis endosse l’identité du défunt et disparaît, ayant pris soin d’envoyer à sa femme une lettre de rupture signée « Gary ». Installé à l’autre bout des États-Unis, dans une petite ville du Montana, il commence une nouvelle vie.

Combien de temps pourra-t-il échapper à son passé ?

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EAN : 9782714449801
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
Belfond
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DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Clem_ence 15/04/2023
    Ce roman est une sorte de road trip qui dévoile peu à peu un univers psychologique assez impressionnant. C'est une écoute assez lente (pas loin de 15h) ce qui rend l'histoire très immersive. J'adore avoir les points de vue côté Homme et je suis servie car nous suivons uniquement Ben Bradford. Son histoire est très touchante. Il semble avoir une vie heureuse mais on découvre peu à peu qu'il n'a fait suivre que ce que lui disait son père et sa femme. L'occasion de changer de vie s'offre à lui quand l'amant de sa femme meurt (ce n'est pas un spoil, c'est écrit sur la 4eme de couverture). Chaque choix qu'il fait lui ouvrir d'autres choix plus durs les uns que les autres. Finira-t-il pas vivre la vie sont il revait ? Va-t-il se faire rattraper par son passé et ses erreurs ? Il va vous falloir le lire sinon je vous spoile tout lol. Certains événements peuvent paraître non crédibles mais, déjà, on est aux Etats Unis, certaines choses peuvent se faire là-bas et non ici. Et puis, je pense que ce roman est surtout là pour montrer que tous les choix doivent s'assumer et qu'il y a souvent un revers de fortune. Le... Ce roman est une sorte de road trip qui dévoile peu à peu un univers psychologique assez impressionnant. C'est une écoute assez lente (pas loin de 15h) ce qui rend l'histoire très immersive. J'adore avoir les points de vue côté Homme et je suis servie car nous suivons uniquement Ben Bradford. Son histoire est très touchante. Il semble avoir une vie heureuse mais on découvre peu à peu qu'il n'a fait suivre que ce que lui disait son père et sa femme. L'occasion de changer de vie s'offre à lui quand l'amant de sa femme meurt (ce n'est pas un spoil, c'est écrit sur la 4eme de couverture). Chaque choix qu'il fait lui ouvrir d'autres choix plus durs les uns que les autres. Finira-t-il pas vivre la vie sont il revait ? Va-t-il se faire rattraper par son passé et ses erreurs ? Il va vous falloir le lire sinon je vous spoile tout lol. Certains événements peuvent paraître non crédibles mais, déjà, on est aux Etats Unis, certaines choses peuvent se faire là-bas et non ici. Et puis, je pense que ce roman est surtout là pour montrer que tous les choix doivent s'assumer et qu'il y a souvent un revers de fortune. Le côté psychologique prend le dessus sur l'histoire même qui nous est racontée selon moi. Ce personnage est très attachant et la voix de Sylvain AGAESSE lui va vraiment comme un gant. Il a un très beau panel d'expressions et de timbres de voix qui m'accroché tout le long. Mon premier roman de cet auteur que je relirais ou écouterais bien volontiers. Quel titre me conseillerez-vous ?
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  • Binchy 11/04/2023
    J'ai lu cet ouvrage dès sa sortie en broché il y a bien longtemps mais je m'en souviens comme si je venais de refermer ce formidable livre. On passe par toutes les émotions au travers ce roman que je vous recommande. C'est le premier livre que j'ai lu de Douglas Kennedy que j'ai par la suite rencontré plusieurs fois dont une fois à la librairie Lucioles de Vienne où il était venu dédicacer : La femme du Ve. Bonne lecture à vous toutes et à vous tous. Amitiés livresques. Bernadette. Blogueuse littéraire. Les lectures de Berny (page Facebook littéraire) Binchy and her hobbies (blog littéraire et photos). "Le suspense est habilement mené, sans temps mort, dans un mélange subtil d'humour et d'émotion. C'est par moments drôle et terrifiant. La réussite de Douglas Kennedy est qu'il parvient à nous attacher à son personnage, à faire en sorte que le lecteur s'identifie à fond au héros de l'histoire. On imagine le film que Hitchcock eût de ce suspens envoûtant...". François Jodin, La Liberté de l'Est.
  • BAudoye 10/04/2023
    Troisième livre de cet auteur. Ce que j'aime chez lui est son écriture fluide et ses histoires campées dès les premières lignes. Les personnages sont cohérents et identifiables. Les pages s'enchaînent. Et pour une fois, l'histoire décolle assez vite alors que les autres m'avaient paru lents. Ce qui m'a lassé dans ce livre : les marques et prix à répétition. Je comprends qu'il souhaite critiquer la société américaine et que c'est un livre américain, mais je suis sûr que même eux s'en lassent. Franzen la critique bien mieux sans rentrer dans autant de détails.
  • PatriceG 23/03/2023
    Je suis persuadé que Douglas Kennedy a écrit de grandes choses auxquelles je suis totalement passé à côté, mais je ne désespère pas un jour de le rencontrer. Je pense même qu'il est un des grands prosateurs contemporains sur des thèmes qui me passionnent, qui sont éternels, comme les rapports harmonieux, et plus dysharmonieux entre les êtres qui s'aiment, puis qui se déchirent ; ainsi va la vie !.. Un grand étudieur de moeurs, voire exceptionnel ; un grand émancipateur de codes humains qui abêtissent, irrévérencieux, . Eh puis, j'ai envie de dire en l'approchant que je conçois comme ça l'écriture, un écrivain c'est celui qui écrit. Je regrette déjà de ne pas l'avoir lu, et peut-être qu'on dira après, sans moi, que c'était un des plus grands écrivains américains contemporains et que j'aurai traversé toute ma vie en l'ignorant, sans être témoin de rien du tout, qui me soit passé sous le nez comme un nigaud irrésolu. A chaque fois que je vois un nouveau Douglas Kennedy en librairie, je l'ouvre, je le feuillette et me dis qu'il faudra bien un jour que je le lise ; une ambiance, une atmosphère me prend aux tripes, un parfum de vérité... Je suis persuadé que Douglas Kennedy a écrit de grandes choses auxquelles je suis totalement passé à côté, mais je ne désespère pas un jour de le rencontrer. Je pense même qu'il est un des grands prosateurs contemporains sur des thèmes qui me passionnent, qui sont éternels, comme les rapports harmonieux, et plus dysharmonieux entre les êtres qui s'aiment, puis qui se déchirent ; ainsi va la vie !.. Un grand étudieur de moeurs, voire exceptionnel ; un grand émancipateur de codes humains qui abêtissent, irrévérencieux, . Eh puis, j'ai envie de dire en l'approchant que je conçois comme ça l'écriture, un écrivain c'est celui qui écrit. Je regrette déjà de ne pas l'avoir lu, et peut-être qu'on dira après, sans moi, que c'était un des plus grands écrivains américains contemporains et que j'aurai traversé toute ma vie en l'ignorant, sans être témoin de rien du tout, qui me soit passé sous le nez comme un nigaud irrésolu. A chaque fois que je vois un nouveau Douglas Kennedy en librairie, je l'ouvre, je le feuillette et me dis qu'il faudra bien un jour que je le lise ; une ambiance, une atmosphère me prend aux tripes, un parfum de vérité s'en dégage, dévastateur, à chaque fois ; un regard intransigeant sur l'humanité, voilà ce que je ressens à travers lui : il reste juste quoi pour m'inviter subrepticement dans son monde littéraire, non aucunement la crainte d'être déçu, mais un angle vivant de rencontre, un voyage, de longues soirées d'hiver à côté de ma cheminée dans mon fauteuil rouge, quelqu'un peut-être aussi avec qui partager ma lecture, je ne sais trop .. En tout cas il faut que je brise ce silence envers cet écrivain qui rend imbécile un bonheur frustré de lecture possible, non consommé ! Et me laisserais-je distraire alors quand j'entends un tel dire d'une nouvelle parution d'un Douglas Kennedy qu'il est moins bon, que ça ne vaut pas ?.. Demain j'irai voir à la librairie s'ils n'ont pas le dernier Douglas Kennedy, histoire de prendre un peu d'avance sur mon retard inexplicable ! De retour de librairie, on m'annonce que le prochain livre de Douglas Kennedy : Les Hommes ont peur de la lumière sortira le 1er juin 2023. Je vais donc prendre le train en marche avec "Les Hommes ont peur de la lumière", et si j'aime comme je le pense, je comblerai mon retard petit à petit. Cette remontée dans le temps qui n'est pas pour me déplaire, c'est arrivé combien de fois ! je la ferai avec délectation. Ca tombe bien, j'ai un créneau considérant que j'ai largué quelques auteurs au long cours qui ne tiennent pas leurs promesses.
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  • franceflamboyant 13/03/2023
    Ben Hartford est un avocat prospère de Wall Street mais sa réussite professionnelle ne va pas de pair avec sa vie sentimentale car, bien que marié et père de deux enfant, ben ne peut que constater que son couple périclite. Quand il se rend compte que Beth, son épouse, a une liaison avec un photographe sans renom, Gary Summers, l'avocat voit rouge et commet un meurtre sous l'emprise de la colère. Force est au lecteur de reconnaître que très rapidement il recouvre ses esprits, s'emploie à faire disparaître le corps et surtout à s'emparer de l'identité du photographe méconnu. Dès lors, Ben, devenu Gary, est en fuite et doit se réinventer... Je mentirais en disant que cette lecture m'a ennuyée mais je n'ai pas vraiment vibré à sa lecture. J'ai trouvé la première partie assez longue (les démêlés conjugaux de Ben et le meurtre) et ensuite, j'ai noté des "tours" assez faciles (le journaliste ivrogne qui devient maître chanteur) et une fin rapide. Ceci reste bien évidemment mon ressenti et je comprends qu'on puisse adorer un tel roman. J'ai bien aimé le lire pour ma part mais n'en ressors pas éblouie...
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