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L'Infini dans la paume de la main
du Big Bang à l'Eveil
Date de parution : 26/04/2012
Éditeurs :
Nil

L'Infini dans la paume de la main

du Big Bang à l'Eveil

,

Date de parution : 26/04/2012

La science et la spiritualité éclairent chacune à leur façon la vie des hommes : pourquoi ne seraient-elles pas complémentaires ? Mais, nous dit-on, la connaissance scientifique et la connaissance...

La science et la spiritualité éclairent chacune à leur façon la vie des hommes : pourquoi ne seraient-elles pas complémentaires ? Mais, nous dit-on, la connaissance scientifique et la connaissance spirituelle seraient trop étrangères l'une à l'autre pour que leur confrontation puisse être autre chose qu'un dialogue de sourds...
C'est précisément...

La science et la spiritualité éclairent chacune à leur façon la vie des hommes : pourquoi ne seraient-elles pas complémentaires ? Mais, nous dit-on, la connaissance scientifique et la connaissance spirituelle seraient trop étrangères l'une à l'autre pour que leur confrontation puisse être autre chose qu'un dialogue de sourds...
C'est précisément à faire mentir cet antagonisme que s'attachent ici Matthieu Ricard et Trinh Xuan Thuan. Le champ des interrogations est vaste : Quelle est la nature du monde ? de la matière ? du temps ? de la conscience ? Comment mener notre existence ? Comment marier science et éthique ?
Au fil de ce dialogue passionné, animé par un sincère désir de compréhension réciproque, se produit alors l'inattendu : les oppositions s'estompent, les convergences se font jour, et l'on se prend à rêver d'un avenir où foi et raison seraient, enfin, durablement réconciliées.

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EAN : 9782841114979
Façonnage normé : EPUB2
Format : 140 x 225 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782841114979
Façonnage normé : EPUB2
Format : 140 x 225 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LSH 25/04/2021
    Cela fait un moment que j’ai lu ce livre, donc ma critique n’est pas toute fraîche… mais j’en garde un souvenir très agréable. Sa lecture est à conseiller à tous les «#8239;albatros#8239;» en quête d’altitude, souhaitant planer par-delà les basses préoccupations du quotidien. Comme on pouvait se l’imaginer, connaissant les deux auteurs de l’ouvrage, le niveau de discussion est effectivement élevé, tout en restant abordable (pas de jargon technique ou autres) et c’est un véritable régal pour tous ceux qui aiment se griser de réflexions philosophiques. Le seul point faible tient en l’attitude du moine bouddhiste que j’ai trouvée assez peu ouverte à la discussion et campant sur ses positions. Cela donne un sentiment de mépris envers son interlocuteur#8239;: le physicien Trinh Xuan Thuan, qui lui au contraire affiche une attitude beaucoup plus modeste, malgré l’étendu de ses connaissances et la qualité manifeste de ses réflexions. Cette attitude de dédain est même (volontairement#8239;?) visible dès la photo de couverture où le lama se trouve en avant du savant (un peu dans l’idée du maître devant son disciple…). Alors, on me dira que cela fait partie des exercices quotidiens des moines bouddhistes tibétains de défendre bec et ongles les positions officielles de leurs textes sacrés en faisant face aux arguments de leurs compères, mais cela donne au final l’image d’une attitude qui est celle de ceux qui refusent de se remettre en cause. Ceci dit, cela n’enlève rien à l’intérêt de cet ouvrage.Cela fait un moment que j’ai lu ce livre, donc ma critique n’est pas toute fraîche… mais j’en garde un souvenir très agréable. Sa lecture est à conseiller à tous les «#8239;albatros#8239;» en quête d’altitude, souhaitant planer par-delà les basses préoccupations du quotidien. Comme on pouvait se l’imaginer, connaissant les deux auteurs de l’ouvrage, le niveau de discussion est effectivement élevé, tout en restant abordable (pas de jargon technique ou autres) et c’est un véritable régal pour tous ceux qui aiment se griser de réflexions philosophiques. Le seul point faible tient en l’attitude du moine bouddhiste que j’ai trouvée assez peu ouverte à la discussion et campant sur ses positions. Cela donne un sentiment de mépris envers son interlocuteur#8239;: le physicien Trinh Xuan Thuan, qui lui au contraire affiche une attitude beaucoup plus modeste, malgré l’étendu de ses connaissances et la qualité manifeste de ses réflexions. Cette attitude de dédain est même (volontairement#8239;?) visible dès la photo de couverture où le lama se trouve en avant du savant (un peu dans l’idée du maître devant son disciple…). Alors, on me dira que cela fait partie des exercices quotidiens des moines bouddhistes tibétains de défendre bec et ongles les positions officielles de leurs textes sacrés en faisant...
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  • MOTUS 16/11/2020
    Un big bang à atteindre. Tout est interdépendant. La religion bouddhiste et la science ne s'opposent pas Habilement, elles se complètent.
  • Jipi 19/06/2020
    "La «réalité» est-elle à jamais soustraite à notre connaissance? Oui, si nous persistons à vouloir faire émerger du monde phénoménal des «choses» qui existent en elles-mêmes. Non si nous nous attachons à connaitre leur nature ultime, leur vide d'existence propre." Rien ne nous empêche de penser que tous les humains possèdent une conscience hologramme leur permettant de voir la même chose au même instant. Telle la vision d'un arc en ciel manifestant sa présence par des phénomènes inconsistants que chacun d'entre nous matérialise de la même manière par des perceptions sensitives. Nous nous évertuons à tout nommer alors qu'a l'origine tout n'est que vacuité et le restera pour toujours. Sauf si nous acceptons de nous délocaliser de l'emprise perpétuelle de toutes les choses sensibles qui nous entourent et que nous prenons plaisir à définir afin d'en fortifier les différentes matrices émotionnelles dont dépendent nos determinations thématiques. Notre monde dépendant de son énergie le forçant à se réaliser sans cesse dans le contexte historique de son époque ne peut s'empêcher de fonctionner sans concepts sensoriels. Tout un monde thématisé revisité et entretenu continuellement par les ressources temporelles de sa propre substance dans l'incapacité de dérouler sa phénoménologie dans un vide sans devenir. Un vide pourtant fédérateur d'un confort intuitif novateur transportant quelques audacieux vers un nouveau monde. Un silence dont il ne faut pas prononcer le nom afin de l'empêcher de se découvrir un sens détériorant à jamais sa chose en soi. La sauvegarde impérative d'une nudité cérébrale ayant conquis son apaisement en se réfugiant dans la conscience de son inconscience. Le délice intense de ne plus avoir l'apparence d'une enveloppe charnelle devant toujours lutter pour exister. "La «réalité» est-elle à jamais soustraite à notre connaissance? Oui, si nous persistons à vouloir faire émerger du monde phénoménal des «choses» qui existent en elles-mêmes. Non si nous nous attachons à connaitre leur nature ultime, leur vide d'existence propre." Rien ne nous empêche de penser que tous les humains possèdent une conscience hologramme leur permettant de voir la même chose au même instant. Telle la vision d'un arc en ciel manifestant sa présence par des phénomènes inconsistants que chacun d'entre nous matérialise de la même manière par des perceptions sensitives. Nous nous évertuons à tout nommer alors qu'a l'origine tout n'est que vacuité et le restera pour toujours. Sauf si nous acceptons de nous délocaliser de l'emprise perpétuelle de toutes les choses sensibles qui nous entourent et que nous prenons plaisir à définir afin d'en fortifier les différentes matrices émotionnelles dont dépendent nos determinations thématiques. Notre monde dépendant de son énergie le forçant à se réaliser sans cesse dans le contexte historique de son époque ne peut s'empêcher de fonctionner sans concepts sensoriels. Tout un monde thématisé revisité et entretenu continuellement par les ressources temporelles de sa propre substance dans l'incapacité de dérouler sa phénoménologie dans un vide sans devenir. Un vide pourtant fédérateur...
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  • domisylzen 09/11/2016
    Vous croyez aux signes ? Aux livres qui vous appellent ? J'avais déjà "Dune" et "Rosinha mon canoë", en voilà un troisième. Depuis quelques temps je rencontrais le titre de ce bouquin à divers occasions : reportages, articles de presse, télé, internet, etc. Acheté et lu à sa sortie, je n'en n'avais plus trop de souvenir. Les vacances d'été propices à des moments de rêveries tardives, le nez collé au ciel et le cul dans un relax ont réactivé mon intérêt pour ce qui touche à l'astronomie. C'était aussi la reprise de la méditation après quelques temps difficiles à surmonter. Aussi ce livre tombait à point nommé. Il y avait certainement des choses à y glaner pour accroitre mes connaissances sur les deux sujets et répondre aux diverses interrogations que la plupart des humains se posent : Qui suis-je ? D’où viens-je ? Ou cours-je ? Pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Ou se situe le siège de ma conscience ? Etc. Signe final : le jour où j'ai voulu refaire le plein de livres à la bibi de Pont Saint Pierre, celle-ci été fermée. Zou les conditions étaient réunies pour devenir un sage qui comprend les mystères de l'univers aidé en cela par deux maitres. Et dès le début du livre je tombe sur cette évocation de Matthieu Ricard : On cite le cas d'un homme qui interrogea le Bouddha sur certains points de cosmologie. Ce dernier prit une poignée de feuilles et demanda au visiteur : #8223;Y a-t-il plus de feuilles dans mes mains, ou dans la forêt ?” #8223;Il y en a certes bien plus dans la forêt,” répondit l'homme. Le Bouddha poursuivit : #8223;Eh bien, les feuilles que je tiens dans ma main représentent les connaissances qui conduisent à la cessation de la souffrance.” Boum descendez on vous demande ! Si tu veux accéder à la sagesse, il faut désapprendre. Merde et les mystères de la vie ? J'en fais quoi ? Et le bouquin je continue à le lire ou pas ? M'est revenue une phrase du fond des temps, à l'époque où nous étions jeunes et larges d'épaules, où nous refaisions le monde, et où nous évoquions les mystères de l'univers avec mon pote dans la salle de notre bar préféré. Le patron, le père Dudj', s'est approché et nous a déclaré : "les gars, l'univers à bien une fin ". "Oui" qu'on lui a répondu de concert. "Alors y a quoi de l'autre côté ? Hein ? "  Aïe aïe aïe les nœuds au cerveau ! Alors c'est un super livre, hyper complet, mais du coup je me demande toujours s'il faut le lire ? Bon je vais continuer à chercher, c'est cool y a pas loin à aller. Vous croyez aux signes ? Aux livres qui vous appellent ? J'avais déjà "Dune" et "Rosinha mon canoë", en voilà un troisième. Depuis quelques temps je rencontrais le titre de ce bouquin à divers occasions : reportages, articles de presse, télé, internet, etc. Acheté et lu à sa sortie, je n'en n'avais plus trop de souvenir. Les vacances d'été propices à des moments de rêveries tardives, le nez collé au ciel et le cul dans un relax ont réactivé mon intérêt pour ce qui touche à l'astronomie. C'était aussi la reprise de la méditation après quelques temps difficiles à surmonter. Aussi ce livre tombait à point nommé. Il y avait certainement des choses à y glaner pour accroitre mes connaissances sur les deux sujets et répondre aux diverses interrogations que la plupart des humains se posent : Qui suis-je ? D’où viens-je ? Ou cours-je ? Pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Ou se situe le siège de ma conscience ? Etc. Signe final : le jour où j'ai voulu refaire le plein de livres à la bibi de Pont Saint Pierre, celle-ci été fermée. Zou les conditions étaient réunies pour devenir un sage qui comprend les mystères de l'univers aidé en cela par deux maitres. Et dès...
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  • Krout 09/03/2015
    Si l'on peut admettre relativement aisément que des loi similaires règlent l'infiniment petit et l'infiniment grand, que ces deux mondes ne sont qu'un et se ressemblent plus qu'ils ne se différencient, j'ai été autrement surpris par les concordances dans les conclusions entre approche scientifique et pure méditation. Evidemment nous sommes tous à la fois composés d'atomes, de particules élémentaires et de poussières d'étoiles, mais delà à imaginer que sans aucun support scientifique, sans vérification d'expérience, sans ordinateurs par la seule force de l'esprit grâce à la méditation il soit possible de découvrir le big-bang je suis abasourdi. Un magnifique dialogue entre deux grands esprits, beaucoup de respect mutuel, un même émerveillement vis-à-vis de la beauté du monde. A lire aussi pour combattre l'effet de certains obscurantismes par la propagations d'idées et d'ondes positives.
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