©Maxime Reychman
Jacques A. Bertrand est un styliste, un de ces écrivains (trop rares) dont il suffit de lire une ligne pour être plongé dans un univers totalement original. Tous ceux qui ont adoré Tristesse de la balance (Bernard Barrault, 1983), Le Parapluie du samouraï (Bernard Barrault, 1987), Je voudrais parler au directeur (Bernard Barrault, 1990), Le Pas du loup (Julliard, 1995) ou Le sage a dit (Julliard, 1997), vont retrouver cette délicieuse jubilation que procure la lecture de ses œuvres.